The new daughter - Luiso Berdejo (2009)

[Plisken]

Réalisé par Luiso Berdejo
Avec Kevin Costner, Ivana Baquero

Synopsis : Affecté par un divorce douloureux, John James décide de venir habiter seul avec ses deux enfants dans une ferme. Rapidement, il va remarquer le comportement étrange de sa fille. Il suspecte les sépultures, dans le champ tout proche, d’en être la cause.



A priori pas de sortie ciné Le Blu-ray US sort le 18 mai !

[Plisken]

Excellent film de terreur qui commence comme un film de fantômes et...

Kevin Costner vieilli super bien et Ivana Baquero a bien grandi depuis Le Labyrinthe de Pan.

Du cinéma classique, bien filmé, bien joué avec un scénario qui réserve son lot de bonnes surprises... pas un classique mais une œuvre réfléchie et menée avec talent

[manuma]

Mêmes sentiments que Plisken ...

Voilà pourtant bien un titre qui ne m’inspirait pas beaucoup sur le papier. Que se soit le sujet, le générique ou même l'affiche originale, tout cela fleurait bon le projet de seconde main. Peut-être aurais-je dû simplement me fier au flair de Kevin Costner, qui parvient encore régulièrement à nous surprendre agréablement en apparaissant régulièrement dans des projets souvent plus marquants qu’on ne l’aurait imaginé au départ (Open range, The Upside of anger, Swing vote) car l’ensemble s’avère en définitive tout à fait recommandable.

Une petite réussite d’autant plus estimable que l’histoire ne présente rien d’extraordinairement original dans son développement, à une petite surprise près. C’est essentiellement dans le soin qu’il porte à l’instauration et au maintien du suspense – longs et lents travellings, musique adéquate, photographie automnale – que The New daughter se démarque agréablement de ses concurrents. Par ailleurs, j'ai trouvé la conclusion de l’intrigue plutôt bien vue, même si là encore pas spécialement novatrice dans le concept. Enfin, Kevin Costner est très bien dans son rôle de divorcé dépassé par ses nouvelles fonctions de papa à temps plein.

Du cinéma d’épouvante grand public bien troussé, parvenant assez bien à jongler avec les rouages un peu usés de son sujet. Premier long métrage de l’espagnol Luiso Berdejo, scénariste de [Rec] et sa suite, le film est une adaptation de la nouvelle éponyme de l’irlandais John Connolly issue du recueil Nocturnes. Titre français : Instinct de survie.

[Superwonderscope]

Mouais... je vous trouve bien gentils. C'est effectué de manière compétente mais c'est tellement conventionnel dans son approche, ses rebondissements... rien ne le distingue de la cohorte de thrillers fantastiques à gamin venus avant (ou après). Esther reste sans conteste une pierre blanche de la décade.
Costner fait son numéro habituel (à la Dragonfly, qui lui ressemble quelque peu), il est en pilotage automatique, impôts obligent. Quand un acteur de série A s'aventure sur le terrain de la série B, c'est que le compte en banque va mal.
Quelques idioties de passage (pourquoi laisse-t-il son fils tout seul?), des stéréotypes comme s'il en pleuvait (ces pauvres enfants adoptés qui foutent le bordel, hein et ces pauvres indiens avec leur cimetière qu'on foule en pleine terre...les scénaristes n'apprendront-ils donc jamais?)
Ca n'est pas un mauvais film, la premi§ère partie est assez adroite, mais comme on nage en pleine formule, l'intérêt redescends rapidement... ça fait passer le temps (et encore, je trouve l'histoire un peu courte pour 1h50) mais c'est juste sans intérêt. Aucune étonnement à ce qu'il ne soit jamais sortie en salle quasiment partout sauf en espagne, of course, où il s'est d'ailleurs lourdement planté.

[comte vonkrolock]

Acheté car le film est basé d'une nouvelle de John Connolly, je voulais voir s'il arrivais à rendre justice à cet excellent écrivain.

Au premier abord tous se que j'ai retrouvé de l'ambiance qui se dégageais de ces écris sur grand écran, s'est un peut du bayou de la Louisiane. Donc pas grand chose en somme

Par contre coté film, une bonne surprise du samedi soir. Une petite série B sans surprise certes comme le dis Superwonderscope, avec par contre un acteur de série A, bien seconder dans cette coprod. américano-espagnole. Le scénariste de [REC] sans sort très bien malgré les situtations téléphoner, et beaucoup de stéréotype issu de ce genre là.

Le tous est tellement bien emballé pour un premier film, avec un sens du rythme et du suspense et aussi efficace que sa série Espagnole qui la fait connaitre outre Atlantique n'a pas a rougir la comparaison avec cet Instinct de Survie. Un thriller qui mute presque aussi vite que la petite ado du Labyrinthe de Pan.
Et en plus la photo est vraiment pas dégueux bien au contraire, il y un joli travail sur l'éclairage lors des séquences de nuit, et tous cela dans un décor minimale une maison et ces abords. Moi je dis chapeau à Luiso Berdejo qui sur près d'une 1H50 arrive à maintenir son petit suspense, alors que d'autres passe près de 2H30 finalement sans arriver à tenir la distance, la je pense au Conjuring 2 clairement

En gros je le conseil, pas un grand film, mais j'ai passer un très bon moment et s'est bien cela l'essentiel.



Vu sur l'excellent BR sorti par Metropolitan une image à tombé, des noirs juste parfaitement rendu, une HD de ouf comme souvent chez cette éditeurs. Et qui ont contribué pleinement à me faire rentré dedans