Babycall - Pal Sletaune (2010)

[Superwonderscope]

Nouveau thriller du réalisateur de Naboer/Fantasmes sanglants

pour mémoire :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... s--naboer-

qui s'adjoint les services de Noomi Rapace (Lisbeth Salander dans la série Millenium) qui joue le rôle d'une jeune mère de famille possessive affaiblie par un divorce difficile et qui s'installe dans un immeuble avec son jeune fils. Elle achète un babycall afin de mieux surveiller son enfant, mais l'appareil est curieusement branché sur une autre fréquence. Elle entend ainsi part hasard une conversation sur le meurtre prochain d'un enfant.

On retrouve également l'acteur de Naboer et de Skjullt, à savoir Kristoffer Joner.

Sortie en février 2011 en Norvège et donc probablement au marché du film de cannes en mai 2011...

[Superwonderscope]

Le film a obtenu le Grand prix du Festival Gerardmer 2012, ainsi que le prix de la critique.

Il s'apprete à sortir au cinéma en France le 2 mai 2012 (par la société Jour2fete)

[Jarlow]

Mouais... c'est bien mou tout ca. Grand moment de solitude du scenariste qui jouait au petit malin jusqu'au dernier acte... enfin bon l'actrice est extra, et je suppose que c'est le type de film qu'il faut pour offrir une certaine vision "respectable" du cinoch' de genre. Mais je persiste: il y avait mieux sur Gerardmer, notamment loin de la compet.

[Superwonderscope]

Le film est sorti mercredi dernier dans une relative indifférence. Verdict : 1 424 entrées france sur 36 copies. Va falloir se dépêcher pour le voir sur grand écran.

[Shinji]

C'est du même genre que La Chambre du Fils dans Peliculas para no dormir ?

[savoy1]

Passe encore la mise en scène très concernée, style "art et essai" nordique plombée. Ou le jeu sans nuances, les épaules voûtées, de Noomi Rapace, sans qui le film le film n'aurait certainement pas eu l'heur de la sortie salle.
Mais au bout d'un bon tiers de métrage, l'héroine avoue avoir des trous de mémoire et interpréter la réalité. Grande excuse alors pour le réalisateur pour se dédouaner de toute tentative de rationalisation de l'intrigue. Idem pour la mise en scène qui peut dès lors tout se permettre sans complexe. Sûr que pour une fois, le(s) twist(s) et la résolution finale ne nécessiteront pas une deuxième vision afin d'en déceler les prémices.
Sinon, ça se laisse suivre.