Rubber - Quentin Dupieux (2010)
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Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Le film le plus buzzzzzzzzzzzzzz du moment avec son pneu qui tue sortira finalement sous la bannière UFO le 10 novembre 2010.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
10 novembre ?
Hey ben, j'aurais du aller à l'avant première !
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Pareil
C'est loin....
Un de mes plus grosses attentes de l'année en tout cas !

C'est loin....

Un de mes plus grosses attentes de l'année en tout cas !

"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Avec un thème pareil, le film risque de sortir sur un nombre réduit de copies, pour certains, il va falloir attendre la sortie vidéo.DPG a écrit :Pareil![]()
C'est loin....![]()
Un de mes plus grosses attentes de l'année en tout cas !
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
M'en fous, je suis parisien ! 

"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Encore plus bizarre que Steak mais mieux maîtrisé.
Bizarrement même si on ne voit pas le temps passer j'ai difficilement accroché. Un très bon début et puis le pneu... Trop absurde pour moi mais je peux concevoir que d'autres adorent.
C'est tout chaud la pour moi.
Bizarrement même si on ne voit pas le temps passer j'ai difficilement accroché. Un très bon début et puis le pneu... Trop absurde pour moi mais je peux concevoir que d'autres adorent.
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
J'ai hâte! Ca fait du bien de voir encore des gens qui essaient de faire des choses vraiment nouvelles.
Petite interview de Quentin Dupieux sur le film : http://www.youtube.com/watch?v=81uwiq4MbSY
Petite interview de Quentin Dupieux sur le film : http://www.youtube.com/watch?v=81uwiq4MbSY
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Clairement avec le recul, les 2 grosses scènes avec le flic sont au top.
Un gros délire qui aurait fait un super moyen métrage.
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
En fait, ce sera entre 25 et 30 copies, dont 7 sur Paris.
Et un choix de le diffuser uniquement en 35mm (?!)
Et un choix de le diffuser uniquement en 35mm (?!)
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
le film buzzzz fait un dérapage incontrolé en salles : 80 entrées sur les 5 copies parisiennes aux deux premieres séances de mercredi. La province ne fait guère mieux.. ca roule pas sur l'or et ça sent les traces de frein.
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
le film s'est rattrapé en soirée et termine à 2 900 entrées sur ses 25 copies. Pas vraiment en roue libre. il va falloir concrètement accélérer pour voir le film en salle.
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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Peu convaincu pour ma part...une idée de départ amusante qui aurait bien mieux convenue à un court métrage car là ça devient vite répétitif,ennuyeux et creux... 

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Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Partout, il n’y en a que pour le pneu. Alors qu’à mon avis l’autre grand intérêt du film est dans le dispositif de recréation surréaliste de la séance de cinéma en extérieur, avec un échantillon savoureux de spectateurs bien représentatif de nos salles, qui suivent, aux jumelles, le cours des événements concernant notre personnage en gomme. Mais une séance qui deviendrait la vie, du matin au soir, du fait de spectateurs (nous, les passionnés ?) sans cesse en demande. Une séance sans fin qui interfèrerait sur le cours de l’œuvre, quitte à ce que celle-ci, en quête d’indépendance, fasse appel à un démiurge (la scène de la dinde) afin de pouvoir cesser sa fuite en avant (matérialisée par notre pneu), ici dans le gore. Alors seulement le film pourrait vivre de lui-même, sans l’apport du regard extérieur. Ne reste plus qu’à partir à l’assaut du bastion hollywoodien, et l’indépendance de l’artiste sera totalement acquise. Quoique, quid des journalistes et critiques, monsieur Dupieux ?
Re: Rubber - Quentin Dupieux (2010)
Rien compris !savoy1 a écrit :Partout, il n’y en a que pour le pneu. Alors qu’à mon avis l’autre grand intérêt du film est dans le dispositif de recréation surréaliste de la séance de cinéma en extérieur, avec un échantillon savoureux de spectateurs bien représentatif de nos salles, qui suivent, aux jumelles, le cours des événements concernant notre personnage en gomme. Mais une séance qui deviendrait la vie, du matin au soir, du fait de spectateurs (nous, les passionnés ?) sans cesse en demande. Une séance sans fin qui interfèrerait sur le cours de l’œuvre, quitte à ce que celle-ci, en quête d’indépendance, fasse appel à un démiurge (la scène de la dinde) afin de pouvoir cesser sa fuite en avant (matérialisée par notre pneu), ici dans le gore. Alors seulement le film pourrait vivre de lui-même, sans l’apport du regard extérieur. Ne reste plus qu’à partir à l’assaut du bastion hollywoodien, et l’indépendance de l’artiste sera totalement acquise. Quoique, quid des journalistes et critiques, monsieur Dupieux ?

Il y a un p'tit détail qui me chiffonne