Cinémadness
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Cinémadness
A noter une initiative ce jour de sorties de quatre films d'horreur dans le cadre d'une programmation dite "cinemadness" qui a lieu dans deux Mega CGR (Torcy et Rivesaltes).
Au programme :
"Confession d'un cannibale" (= "Grimm Love" de Martin Weisz)
Critique sur le site de l'EF :
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
"Petits suicides entre amis" (= "Wristcutters: A Love Story" de Goran Dukic)
Critique sur le site de l'EF :
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
"Donkey Punch" d'Oliver Blackburn :
Thread devil :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... lit=donkey
Critique sur le site de l'EF :
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
"Grace" de Paul Solet
Critique devildead :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... Page=grace
Thread devil
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... ilit=grace
Critique sur le site de l'EF
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
Au programme :
"Confession d'un cannibale" (= "Grimm Love" de Martin Weisz)
Critique sur le site de l'EF :
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"Petits suicides entre amis" (= "Wristcutters: A Love Story" de Goran Dukic)
Critique sur le site de l'EF :
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
"Donkey Punch" d'Oliver Blackburn :
Thread devil :
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... lit=donkey
Critique sur le site de l'EF :
http://www.fantastiquezine.fr/index.php ... Itemid=104
"Grace" de Paul Solet
Critique devildead :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... Page=grace
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Re: Cinémadness
Petit ajout : cette programmation se joue aussi au Publicis pour les parisiens !
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Re: Cinémadness
Excellente initiative plombée par une absence quasi-totale de communication... 12 entrées au Publicis en deux séances 

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Cinémadness
Y a quand même quelques pages dans Mad, par contre rien sur Devil je crois... mais bon en plein milieu des vacances c'est chaud...
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Re: Cinémadness
Celles et ceux qui pleurent que les films d'horreur passent pas sur les écrans ont du être en effet en vacances. A peine 4 000 entrées, soit une moyenne pénible de 100 entrées par cinéma
.
Pour ici, je ne crois pas qu'on ait été contacté (je m'avance peut-être, mais en tous cas, je n'étais pas courant!).
A noter que la société de distribution (Kanibal (!)) indique "Opus 1" - est-ce à dire qu'i y aura une seconde salve? (j'ai comme un doute, là)

Pour ici, je ne crois pas qu'on ait été contacté (je m'avance peut-être, mais en tous cas, je n'étais pas courant!).
A noter que la société de distribution (Kanibal (!)) indique "Opus 1" - est-ce à dire qu'i y aura une seconde salve? (j'ai comme un doute, là)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Cinémadness
Ça c'est ce qu'on sort à chaque fois quand des films font des bides.Superwonderscope a écrit :Celles et ceux qui pleurent que les films d'horreur passent pas sur les écrans ont du être en effet en vacances.

Si les mecs avaient eu un Gaumont Pathé, j'y serais allé avec ma carte mais je pense qu'ils en ont rien à foutre de ce genre de films si tu n'as pas une promo de 3 semaines dans le métro, ce qui est normal dans ce monde où la thune est reine.
Mais y a une différence entre ce style de projet et la Horde qui ne sort à pas à l'Ugc Créteil ou le Pathé Belle Epine, 2 grosses salles de la banlieue sud.
Et puis c'est vrai qu'on est tellement habitué au gratos que de payer c'est dur

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Re: Cinémadness
Sempiternel débat.... Il y avait un Gaumont Pathé et un UGC : le Publicis qui accepte les deux cartes. Mais faut bouger ses fesses pour cela et pour les parisiens et banlieusards, ça semble dur.
C'est quoi une "bonne date"? Il y en de meilleures que d'autres (vacances scolaires, opérations commerciales dans les cinémas, et encore, les beaux jours sont finis!) mais à la base, la "bonne date" n'existe pas. Un produit bien pensé en amont, positionné correctement, avec une campagne de communication orchestrée de manière adroite et ciblée, oui. Cellule 211 en fait partie, par exemple. Malgré un large concurrence, une sortie en plein mois d'été, un nombre restreint de copies, le film fonctionne plutôt bien.
Et à mon sens, ça dépasse le simple cadre de la pub dans le métro. Ce n'est pas parce que tu as des affiches en vue que tu vas faire venir le chaland, il faut avoir pour cela une communication un peu plus fine Pour des produits aussi peu 'grand public'.
Il y a des exemples de sorties tout aussi discrètes qui ont été couronnées de succès(là comme ça à brûle pourpoint, je pense à May et Audition, j'ai pas d'exemples autres en tête) Mais ça ne remplacera pas une chose, c'est la curiosité du public visé.
Il y a une chose qui se voit quand même depuis longtemps : le cœur de cible se déplace moins ou plus au cinéma.
Une fois de plus, s'il y avait visiblement quelques pages dans Mad, ça aurait du piquer la curiosité du fan qui lit et qui apparemment, est la cible rêvée ? Visiblement non. Il faut donc plus.
Ceci dit, je te rejoins sur l'ère du gratuit qui fait perdre la vraie notion de valeur d'un film.
Pour le cas présent... je ne sais pas qui il y a derrière ce Ciné Madness et je ne sais pas quelles étaient leurs aspirations, mais : l'initiative est plaisante et ils se sont totalement plantés sur l'art et la manière de mettre en avant les films.
C'est quoi une "bonne date"? Il y en de meilleures que d'autres (vacances scolaires, opérations commerciales dans les cinémas, et encore, les beaux jours sont finis!) mais à la base, la "bonne date" n'existe pas. Un produit bien pensé en amont, positionné correctement, avec une campagne de communication orchestrée de manière adroite et ciblée, oui. Cellule 211 en fait partie, par exemple. Malgré un large concurrence, une sortie en plein mois d'été, un nombre restreint de copies, le film fonctionne plutôt bien.
Et à mon sens, ça dépasse le simple cadre de la pub dans le métro. Ce n'est pas parce que tu as des affiches en vue que tu vas faire venir le chaland, il faut avoir pour cela une communication un peu plus fine Pour des produits aussi peu 'grand public'.
Il y a des exemples de sorties tout aussi discrètes qui ont été couronnées de succès(là comme ça à brûle pourpoint, je pense à May et Audition, j'ai pas d'exemples autres en tête) Mais ça ne remplacera pas une chose, c'est la curiosité du public visé.
Il y a une chose qui se voit quand même depuis longtemps : le cœur de cible se déplace moins ou plus au cinéma.
Une fois de plus, s'il y avait visiblement quelques pages dans Mad, ça aurait du piquer la curiosité du fan qui lit et qui apparemment, est la cible rêvée ? Visiblement non. Il faut donc plus.
Ceci dit, je te rejoins sur l'ère du gratuit qui fait perdre la vraie notion de valeur d'un film.
Pour le cas présent... je ne sais pas qui il y a derrière ce Ciné Madness et je ne sais pas quelles étaient leurs aspirations, mais : l'initiative est plaisante et ils se sont totalement plantés sur l'art et la manière de mettre en avant les films.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Cinémadness
C'est quoi Cellule 211 ?
Je ne savais pas que le Publicis acceptait les 2 cartes. Par contre c'est à 1h de chez moi donc clairement si j'y passe c'est que je sors la journée donc rarement vu le taf. Comparé au 10min avec 2 pathé (Belle Epine, Imax Vitry) et un Ugc Créteil c'est clair que c'est difficile. Sans compter le Mk2 Biblio à 15mn.
Mais je disais que ce n'est pas le genre de film qui est balancé dans 100 salles en France donc là les gens ne gueulent pas trop car ils préfèrent le Dvd. Ils gueulent quand de grosses pointures sont balancées n'importe où et dégagent au bout d'une semaine.
Une bonne date, c'est quand les gens sont chez eux par exemple. Y a des dates où Le chat qui fume vend moins de Dvd comme maintenant et d'autres plus. Si personne ne sort de Dvd en juillet et août c'est qu'il y a une raison. Alors effectivement maintenant on sort un peu plus de films en juillet août mais bon ...
Quand je parlais de pub métro c'était en général. Si la pub n'attirait pas le chaland, y aura plus de pub. Logique. Mais là je parlais de grosses pointures. Il est clair que ce n'est pas le cas avec ces films là.
Et les mecs qui lisent mad n'habitent pas tout près des 3 salles
Clairement se sont des films pour le marché de la vidéo ou soutenu par une grosses sociétés qui pourra faire parler d'eux plus facilement.
En tout cas c'était suicidaire je suis d'accord avec toi. Après ça peut se tenter si tu n'as pas foutu plein de thune dans le projet.
Je ne savais pas que le Publicis acceptait les 2 cartes. Par contre c'est à 1h de chez moi donc clairement si j'y passe c'est que je sors la journée donc rarement vu le taf. Comparé au 10min avec 2 pathé (Belle Epine, Imax Vitry) et un Ugc Créteil c'est clair que c'est difficile. Sans compter le Mk2 Biblio à 15mn.
Mais je disais que ce n'est pas le genre de film qui est balancé dans 100 salles en France donc là les gens ne gueulent pas trop car ils préfèrent le Dvd. Ils gueulent quand de grosses pointures sont balancées n'importe où et dégagent au bout d'une semaine.
Une bonne date, c'est quand les gens sont chez eux par exemple. Y a des dates où Le chat qui fume vend moins de Dvd comme maintenant et d'autres plus. Si personne ne sort de Dvd en juillet et août c'est qu'il y a une raison. Alors effectivement maintenant on sort un peu plus de films en juillet août mais bon ...
Quand je parlais de pub métro c'était en général. Si la pub n'attirait pas le chaland, y aura plus de pub. Logique. Mais là je parlais de grosses pointures. Il est clair que ce n'est pas le cas avec ces films là.
Et les mecs qui lisent mad n'habitent pas tout près des 3 salles

En tout cas c'était suicidaire je suis d'accord avec toi. Après ça peut se tenter si tu n'as pas foutu plein de thune dans le projet.
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Re: Cinémadness
Comme souvent, ça fuse de part et d’autre, et au final pour une raison ou pour une autre, chacun en ayant toujours une bonne, personne ne se déplace … Indépendamment des questions financières et des obligations familiales, ne peut-on vraiment plus concevoir de faire une heure de route pour aller au cinoche ?
Quant à l’effet de niche, force est définitivement de constater que, comme on dit, « y’a que de la gueule » … Là encore, pleins de raisons pour parler de tout et de rien, et peu de motivation au final. Je ne vise personne ici, mais les milliers de lecteurs et forumers de Mad Movies pour lesquels la mobilisation hors canapé pourrait sembler ne pas être leur fort (je sens que je vais me faire des ennemis, mais j’ai des exemples). Le magazine Mad dans lequel, depuis au moins trois mois, une pleine page avec l’affiche Cinemadness pouvait inciter au minimum de curiosité, les sorties étant alors annoncées pour mai puis juillet. Et le site affichait en bonne place une bannière de fort belle taille. (Ceci dit, je devrais également m’auto-flageller, sachant que j’aurais pu m’investir personnellement en ouvrant un sujet ici même à l’époque …)
Dont acte.
Pour ma part, ça se sera traduit par trois visionnages sur les quatre films proposés. Pour un bilan ma foi bien positif.
Grace. Malgré la sensation, inévitable pour ce genre de pitch choc, d’assister à un court étiré en longueur, une atmosphère poisseuse et les divers sujets de société abordés (le végétalisme, les médecines parallèles, les conséquences de la maternité du côté des grands-mères (ah ! le malaise concernant ce dernier point)) assurent tout l’intérêt de ce métrage.
Donkey punch. J’ai toujours eu un faible pour les histoires de huis-clos qui partent en sucette. Là encore pari assez réussi, puisque avant de s’attaquer au vif du sujet, le film prend le temps de présenter longuement ses personnages. L’empathie n’en peut être que plus efficace. Surtout que les affrontements psychologiques sont privilégiés aux scènes gores et de castagne. On pouvait craindre l’inverse au vu de l’évolution dernière du genre, le traitement crû ici appliqué est donc bienvenu.
Confession d’un cannibale. Là, c’est carrément une réussite. Quel plaisir ( !) de pouvoir visionner ce genre de métrage en salle, là où habituellement la sortie directe vidéo est assurée. Une mise en scène lourde et appliquée, un travail sur les formats photos, en font un visionnage purement immersif, pour qui goûte ( !) à ce genre de sujet s’entend. Soit la descente dans la psyché torturée et la plus noire d’êtres humains dans nos sociétés dites civilisées. Ici pas moins de trois destinées à suivre en parallèle. Le futur cannibale, étouffé par sa mère, amateur de mondos chocs, et charnellement refoulé (saisissante scène de la chambre froide humaine). La victime consentante, homosexuel, catholique rongé par la culpabilité concernant la mort de sa génitrice, masochiste en devenir. Et l’étudiante thésarde qui étudie ce cas, happée et effrayée à la fois par le voyeurisme morbide qui peu à peu s’empare d’elle. Tout ça est monté en parallèle avec force flash-backs d’enfance et sautes temporelles. Prenant.
Ces projos au Publicis (merci à eux), avec des copies numériques de bonne tenue, les différents travaux photos bien rendus. Avec le volume sonore qui dépote, coutumier à cette salle, chouette pour apprécier les effets atmosphériques de Grace et de Grimm love, et surtout la bande musicale de Donkey punch. Juste à signaler quelques fantaisies de sous-titrage pour le Donkey punch, soit les traditionnelles alignées de caractères accentués se substituant aux mots (et où était passé le « K », heureusement fort peu sollicité dans notre langue ? n’est-ce pas chère « im » ?).
Bref du tout bon pour de l’ « indépendant » de genre. Vivement l’opus 2, n’en déplaise aux manques de volonté.
Quant à l’effet de niche, force est définitivement de constater que, comme on dit, « y’a que de la gueule » … Là encore, pleins de raisons pour parler de tout et de rien, et peu de motivation au final. Je ne vise personne ici, mais les milliers de lecteurs et forumers de Mad Movies pour lesquels la mobilisation hors canapé pourrait sembler ne pas être leur fort (je sens que je vais me faire des ennemis, mais j’ai des exemples). Le magazine Mad dans lequel, depuis au moins trois mois, une pleine page avec l’affiche Cinemadness pouvait inciter au minimum de curiosité, les sorties étant alors annoncées pour mai puis juillet. Et le site affichait en bonne place une bannière de fort belle taille. (Ceci dit, je devrais également m’auto-flageller, sachant que j’aurais pu m’investir personnellement en ouvrant un sujet ici même à l’époque …)
Dont acte.
Pour ma part, ça se sera traduit par trois visionnages sur les quatre films proposés. Pour un bilan ma foi bien positif.
Grace. Malgré la sensation, inévitable pour ce genre de pitch choc, d’assister à un court étiré en longueur, une atmosphère poisseuse et les divers sujets de société abordés (le végétalisme, les médecines parallèles, les conséquences de la maternité du côté des grands-mères (ah ! le malaise concernant ce dernier point)) assurent tout l’intérêt de ce métrage.
Donkey punch. J’ai toujours eu un faible pour les histoires de huis-clos qui partent en sucette. Là encore pari assez réussi, puisque avant de s’attaquer au vif du sujet, le film prend le temps de présenter longuement ses personnages. L’empathie n’en peut être que plus efficace. Surtout que les affrontements psychologiques sont privilégiés aux scènes gores et de castagne. On pouvait craindre l’inverse au vu de l’évolution dernière du genre, le traitement crû ici appliqué est donc bienvenu.
Confession d’un cannibale. Là, c’est carrément une réussite. Quel plaisir ( !) de pouvoir visionner ce genre de métrage en salle, là où habituellement la sortie directe vidéo est assurée. Une mise en scène lourde et appliquée, un travail sur les formats photos, en font un visionnage purement immersif, pour qui goûte ( !) à ce genre de sujet s’entend. Soit la descente dans la psyché torturée et la plus noire d’êtres humains dans nos sociétés dites civilisées. Ici pas moins de trois destinées à suivre en parallèle. Le futur cannibale, étouffé par sa mère, amateur de mondos chocs, et charnellement refoulé (saisissante scène de la chambre froide humaine). La victime consentante, homosexuel, catholique rongé par la culpabilité concernant la mort de sa génitrice, masochiste en devenir. Et l’étudiante thésarde qui étudie ce cas, happée et effrayée à la fois par le voyeurisme morbide qui peu à peu s’empare d’elle. Tout ça est monté en parallèle avec force flash-backs d’enfance et sautes temporelles. Prenant.
Ces projos au Publicis (merci à eux), avec des copies numériques de bonne tenue, les différents travaux photos bien rendus. Avec le volume sonore qui dépote, coutumier à cette salle, chouette pour apprécier les effets atmosphériques de Grace et de Grimm love, et surtout la bande musicale de Donkey punch. Juste à signaler quelques fantaisies de sous-titrage pour le Donkey punch, soit les traditionnelles alignées de caractères accentués se substituant aux mots (et où était passé le « K », heureusement fort peu sollicité dans notre langue ? n’est-ce pas chère « im » ?).
Bref du tout bon pour de l’ « indépendant » de genre. Vivement l’opus 2, n’en déplaise aux manques de volonté.
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Re: Cinémadness
De là à savoir si Opus 2, il y aura, je ne sais pas.
Seconde semaine : 297 entrées au Publicis (contre 1500 la semaine dernière...)
Seconde semaine : 297 entrées au Publicis (contre 1500 la semaine dernière...)
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Re: Cinémadness
Chiffres pour le moins intéressants à connaître (pour rappel les salles du Publicis ont une capacité respective de 400 et 200 places).Seconde semaine : 297 entrées au Publicis (contre 1500 la semaine dernière...)
Reste à savoir maintenant si l'on a la possibilité de connaître le saupoudrage de ces entrées sur les quatre films en lice. Sachant que Grace bénéficiait du double de séances de ces trois confrères. Aurais-tu ces données quelque part dans ta besace, éminent spécialiste des chiffres ?
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- DeVilDead Team
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Re: Cinémadness
Malheureusement non, la remontée des entrées s'effectue par l'opération (avec les 4 films) en elle-même, pas sur le nom des films. Il n'y a guère que le cinéma qui pourrait apporter ces précisions. En même temps, si Grace possède plus de séances, il y a fort à parier qu'il s'agit de ce film qui a du etre pus visionné que les autres
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Re: Cinémadness
Cinémadness arrive au Brady cette semaine du 25 août avec deux séances hebdo en fin de soirées pour chacun des quatre films.