Nouvelle incursion française dans le registre du cinéma horrifique. CAPTIFS ne fait pas dans l'original mais dispose malgré tout de quelques atouts, dont une interprétation de qualité.
Chronique en avant-première à lire ici : http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... fs--caged-
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Attention à ne pas trop spoiler en citant certaines références quand même !
Spoiler : :
Parler de Paradise Lost et Train, ça équivaut à écrie noir sur blanc qu'on a là affaire à des trafiquants d'organes !
Sinon, la critique ne donne pas trop envie (C'est pas la faute de la critique hein, mais du sujet du film semblant en effet ultra rabâché !) même si la perspective de voir des acteurs correctes dans un film d'horreur français peut être motivant vu que c'est si rare !
Oui c'est le frère de Gad. C'est (c'était ?) aussi le mec de Virginie Ledoyen. Et il a fait qques films, je pense que le plus connu c'est "L'ecole pr tous" d'Eric Rochant
Bon je suis méchant, il est pas fondamentalement mauvais dans ce que j'ai vu... Mais bon...
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Marre de ces titres de films d'horreurs français! Toujours un mot unique, super bateau et interchangeable: Captifs, Martyrs, Frontières, Vertiges, Humains, ... Franchement ça fait pas envie, on les confond tous, ça ne m'étonne pas qu'ils fassent un bide à chaque fois...
Une certaine exposition dans les medias (Zoe Felix en tête) mais un film en largage complet sur les écrans. 75 copies France et 3 600 entrées. Nouveau bide, là aussi dans l'indifférence générale.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
riffraph a écrit :Marre de ces titres de films d'horreurs français! Toujours un mot unique, super bateau et interchangeable: Captifs, Martyrs, Frontières, Vertiges, Humains, ... Franchement ça fait pas envie, on les confond tous, ça ne m'étonne pas qu'ils fassent un bide à chaque fois...
J'avoue commencer à perdre patience avec la production fantastique nationale. Je me sens de moins en moins obligé d'aller les voir en rafale. J'ai pourtant fait l'effort d'aller voir ce "Captifs"... Et, à nouveau, une déception...
Très fauché (la projection numérique n'aide vraiment pas), tourné dans une cambrousse bien franchouillarde qu'on tente difficilement de faire passer pour la Yougoslavie, racontant une intrigue archi-archi-rabattue (le spoiler mentionné par Dragonball n'en est pas vraiment un, car révélé très tôt)... Avec en plus une histoire de trauma plaquée de manière bien lourde. Je me suis vraiment ennuyé durant la plupart du métrage, qui multiplie les scènes de remplissage (la tentative d'évasion ratée) pour étayer péniblement ces 84 petites minutes de métrage.
Pourtant, "Captifs" a quelques qualités à faire valoir. Il a un scénario. Un scénario de court-métrage, certes, mais un scénario quand même. Il choisit aussi de ne pas jouer la surenchère gore gratuite, devenue un des clichés les plus pénibles de l'épouvante franchouillarde. Il préfère tenter de jouer la carte du suspens, de la mise en scène. Ce qui est en soi très méritoire. Mais le résultat n'est définitivement pas à la hauteur...
Mouais
Le genre de film qui ne sert pas à grand chose, qui ne sort pas du lot. Histoire bidon (dire que je pensais que celui de Last Caress était bidon), acteurs tranquilles mais vu l'épaisseur des rôles heureusement qu'ils ne sont pas mauvais. Bon on balance un trauma qui ne sert à rien histoire de donner de l'épaisseur au personnage principal. Mise en scène pépère, un réal qui peut finir tranquille sur Canal+. Sans âme sans rien. Quelques bons effets gores au milieu d'un vide intersidéral. Un réal qui se fout en fait du genre, faisant son petit film d'horreur histoire après de passer à autre chose.
2.
La meute était mauvais mais possédait un petit univers à soi. Là c'est plat, ça aurait pu être filmé par n'importe qui au monde, ça pisse pas loin, on s'emmerde presque alors que le film ne dure qu'1h20. C'est un peu la honte.