Creation (Jon Amiel,2010)
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dario carpenter
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Creation (Jon Amiel,2010)
Sortie technique avec seulement 9 salles-France pour le dernier film du couple Jennifer Connelly/Paul Bettany...kikavu?
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Re: Creation (Jon Amiel,2010)
Vu au Publicis Vendredi dans une salle comble (8 personnes dans la salle 2 
) et bon étrange tout de même cette sortie en catimini car sans être grandiose le film est assez classe,joliment photographié,interprété,musicalisé (Christopher Young ) et touchant par instants...de la belle ouvrage qui méritait un petit peu mieux que cette non distribution
) et bon étrange tout de même cette sortie en catimini car sans être grandiose le film est assez classe,joliment photographié,interprété,musicalisé (Christopher Young ) et touchant par instants...de la belle ouvrage qui méritait un petit peu mieux que cette non distributionRe: Creation (Jon Amiel,2010)
Encore un ratage manifeste signé Jon Amiel ! Et là, franchement, je me dis que pondre un truc aussi fade en évoquant une théorie encore aujourd’hui aussi sujette à débat, considérée (dixit le carton du générique de début) comme « la plus grande idée intellectuelle de l’Histoire », c’est quand même une belle contreperformance.
L’idée d’axer le récit sur la petite histoire, soit la difficulté du couple Darwin à surmonter la perte d’un de leur enfant - elle se réfugiant dans la religion, lui trouvant là matière à développer sa future théorie - n’était pas foncièrement mauvaise. Sauf qu’au final, les malheurs de Charles et sa femme sont traités avec beaucoup trop de distance pour nous toucher, et qu’aucune réflexion pertinente sur le Darwinisme ne découle de cette approche. Amiel tente bien de dynamiser l’ensemble en misant sur une narration non linéaire, mais ça ne change rien à l’affaire : Creation demeure pesamment académique, prodigieusement ennuyeux.
L’idée d’axer le récit sur la petite histoire, soit la difficulté du couple Darwin à surmonter la perte d’un de leur enfant - elle se réfugiant dans la religion, lui trouvant là matière à développer sa future théorie - n’était pas foncièrement mauvaise. Sauf qu’au final, les malheurs de Charles et sa femme sont traités avec beaucoup trop de distance pour nous toucher, et qu’aucune réflexion pertinente sur le Darwinisme ne découle de cette approche. Amiel tente bien de dynamiser l’ensemble en misant sur une narration non linéaire, mais ça ne change rien à l’affaire : Creation demeure pesamment académique, prodigieusement ennuyeux.