Symbole de la fin d'une civilisation (destruction d'Atlantis,sac de Rome par les troupes d'Alaric) ou de la fin de l'oppression (Babylone la Grande biblique), la destruction des centres de pouvoir, réelle ou fantasmée, fait partie de l'imaginaire collectif occidental depuis Platon. Le cinéma, en tant que reflet de cet imaginaire n'échappe pas à cela.
Evacuons d'emblée ces films qui, tels 2012, Armageddon ou Le jour d'après, permettent à des scénaristes et réalisateurs psychopathes refoulés d'exterminer le genre humain par paquets d'un milliard pour nous concentrer sur des événements, certes de moindre ampleur, mais tout aussi spectaculaires.
Du rasage de près de Tokyo par Godzilla en 1954 à la récente coupe au rasoir de New-York dans Cloverfield, les cités capitales en ont pris pour leur grade ! Dans ce domaine, Londres s'en est pris plein la figure: de sa destruction par la mamouchka du chérubin Gorgo à la destruction de la population londonienne par infection virale zombifiante (28 jours plus tard, 28 semaines plus tard, Doomsday) en passant par son dézingage par une acorte extraterrestre et ses sbires dans Lifeforce, la vie londonienne semble présenter quelques risques...
Alors faisons-nous du bien et laissons transparaitre notre anti-jacobinisme primaire en nous remémorant ces plaisirs coupables... A vous de jouer !
Quand Babylone brûle...
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Quand Babylone brûle...
De Mortderiribus non est rigolandum.
Re: Quand Babylone brûle...
Quelques grands classique : grand classique, "Armaggedon" rase Paris !

"Les soucoupes volantes attaquent" Washington...

"Mothra" se fait Tokyo avec ses petites pattes...

"Independence Day" se paie la maison blanche (et New York)

"Le règne du feu" goes to London...

Rome dévasté dans "Fusion"

Et San Francisco par la même occasion

"Volcano" règles les problèmes de circulation à Los Angeles...

Néron met le feu à rome - littéralement...

"Les derniers jours de Pompei" vus par Willis O Brien

"San Francisco" dévasté avec Clark Gable

Leone applatit Rhodes et son colosse...


"Les soucoupes volantes attaquent" Washington...

"Mothra" se fait Tokyo avec ses petites pattes...

"Independence Day" se paie la maison blanche (et New York)

"Le règne du feu" goes to London...

Rome dévasté dans "Fusion"

Et San Francisco par la même occasion

"Volcano" règles les problèmes de circulation à Los Angeles...

Néron met le feu à rome - littéralement...

"Les derniers jours de Pompei" vus par Willis O Brien

"San Francisco" dévasté avec Clark Gable

Leone applatit Rhodes et son colosse...

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Re: Quand Babylone brûle...
Comment ? Seul notre Grand Maître Manolito se lâche ? N'y aurait-il que des acharnés du centralisme démocratique ? Que des Montagnards et point de Girondins dans cette noble assemblée ? 

De Mortderiribus non est rigolandum.