The Babadook - Jennifer Kent (2013)
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The Babadook - Jennifer Kent (2013)
On vous en avait déjà parlé il y a presque un mois, avec les premières images:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8557
et le film s'est retrouve en compétition officielle à Gérardmer 2014.
En voici la critique sur le site dès ce matin :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8614
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8557
et le film s'est retrouve en compétition officielle à Gérardmer 2014.
En voici la critique sur le site dès ce matin :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8614
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Des infos sur une éventuelle distribution française ?
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Rien de définitif à ce jour pour le cinéma, sauf news récente...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Le film sera distribué par Wild Bunch Distribution (Le petit nicolas 2, Sinister...) à partir du 20 août 2014. Si aucun changement n'a lieu, il sera en concurrence avec Catacombes, la grosse sortie du jour étant Expendables 3.
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Sortie aujourd'hui 30 juillet en salles.
Noyre review pour mémoire :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8861
Noyre review pour mémoire :
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8861
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
"Mister Babadook" :
Promu plusieurs fois à Gerardmer, "Mister Babadook" n'est pas réellement ce qu'il prétend :
Entre film d'angoisse et film psychologique, il se classe dans autant l'un que l'autre.
Partant d'une histoire de base déjà vue, rappelant sans problèmes les films de Wan, le métrage commence assez lentement, mettant en avant l'aspect monoparental usé de la famille. Dès lors, on réalise que le jeu d'acteur est très bien mené, mais que cela risque d'être irritant sur le long terme. En effet !
Dès l'apparition du "livre" mystérieux (et très bien fait entre parenthèses), le climat d'angoisse se fait très bien sentir, et on rentre très facilement dans le film ! Cependant, beaucoup de question se posent et aucunes questions ne sont élucidées : Pourquoi ce livre ? D'où sort-il ? Pourquoi cette famille ? Comment est-il arrivé là ? Bref, le film ne répond jamais à ces questions lors d'une première lecture du film.
Une fois donc ce climat installé, assez angoissant en salle, le film ne sombre jamais dans le grand spectacle, à la différence des films de Wan. Et c'est à la fois une qualité, mais le défaut du film : Reposant sur des choses déjà vue milles et unes fois (des portes qui s'ouvrent, des coups de téléphones mystérieux, etc ..), le métrage ne montre jamais directement la fameuse "chose" du livre, le fameux Babadook. Ou du moins, dans dans plans très très rapides, dans la pénombre. On aurait peut-être préféré en voir plus .. tout dépend des goûts, mais en tout cas, les apparitions sont assez limités.
Concernant le fameux "Babadook", il est très réussi, faisant références à nos vieilles histoires pour enfant, mais avec un look de "Slenderman". Et c'est là que l'on se rend compte que tout cela fonctionne très bien ! Le mélange de la tendresse enfantine, fusionné avec le macabre rend ce livre et ce personnage assez dérangeant, mettant le spectateur mal à l'aise de l'apparition du fameux livre. Une scène clé du film !
Dès la première heure passée, on se rend compte que l'on tourne en rond et que les choses commencent un peu à être longue, car si effectivement, le mélange de possession et d'histoire de fantômes marche plutôt bien, les crises d'hystérie et de colère, soit de la mère, que du fils, commencent à irriter fortement, et sans méchanceté, on attend que la mort d'un des deux, car les différent cris sont insupportables sur la longueur !
Mais force est que le jeu d'acteur est très réaliste et bien joué ! Tout comme la photographie et le jeu de lumière/ombre, et là réside une autre force du film ! Entre apparence sombre et éclairage clinique, l’alternance des deux dans une même scène (notamment vers la fin), rend très très bien !
Mais cette fin, à la fois ambiguë (comme tout la dernière demi-heure) et ouverte, menant à un faux happy-end, car malgré les apparences, rien n'est fini, et les questions fusionnent car, au premier degré, on peut se demander : SPOILER - "Pourquoi cette chose est-elle maintenant installée en bas ? Que signifie cette soudaine tranquillité chez la famille ?" ..
Tant de choses déballées à la fin, qui peuvent s'expliquer sous une seconde lecture par la psychologie monoparental de la mère, par la détresse, le stress et la fatigue, la rendant complètement hystérique et hallucinatoire. Mister Babadook ne serait que la matérialisation de ses problèmes et de son anxiété, et de sa lamentation ? surement, expliqué par le crachas de la choses noire en elle, lors des 5 dernières minutes.
Beaucoup de choses dans ce Mister Babadook, finalement, horreur psychologique, à mi chemin entre un Polanski (Rosmary's Baby) et un Wan (Insidious), mais qui risque cependant de diviser le public, car la lenteur de certaines scènes, et surtout le coté psychologique trop envahissant. Un film bien mené, qui risque cependant d'être boudé par le public .. quoi qu'il en soit, il mérite bien une seconde vision pour bien cerner toute l'histoire !
Promu plusieurs fois à Gerardmer, "Mister Babadook" n'est pas réellement ce qu'il prétend :
Entre film d'angoisse et film psychologique, il se classe dans autant l'un que l'autre.
Partant d'une histoire de base déjà vue, rappelant sans problèmes les films de Wan, le métrage commence assez lentement, mettant en avant l'aspect monoparental usé de la famille. Dès lors, on réalise que le jeu d'acteur est très bien mené, mais que cela risque d'être irritant sur le long terme. En effet !
Dès l'apparition du "livre" mystérieux (et très bien fait entre parenthèses), le climat d'angoisse se fait très bien sentir, et on rentre très facilement dans le film ! Cependant, beaucoup de question se posent et aucunes questions ne sont élucidées : Pourquoi ce livre ? D'où sort-il ? Pourquoi cette famille ? Comment est-il arrivé là ? Bref, le film ne répond jamais à ces questions lors d'une première lecture du film.
Une fois donc ce climat installé, assez angoissant en salle, le film ne sombre jamais dans le grand spectacle, à la différence des films de Wan. Et c'est à la fois une qualité, mais le défaut du film : Reposant sur des choses déjà vue milles et unes fois (des portes qui s'ouvrent, des coups de téléphones mystérieux, etc ..), le métrage ne montre jamais directement la fameuse "chose" du livre, le fameux Babadook. Ou du moins, dans dans plans très très rapides, dans la pénombre. On aurait peut-être préféré en voir plus .. tout dépend des goûts, mais en tout cas, les apparitions sont assez limités.
Concernant le fameux "Babadook", il est très réussi, faisant références à nos vieilles histoires pour enfant, mais avec un look de "Slenderman". Et c'est là que l'on se rend compte que tout cela fonctionne très bien ! Le mélange de la tendresse enfantine, fusionné avec le macabre rend ce livre et ce personnage assez dérangeant, mettant le spectateur mal à l'aise de l'apparition du fameux livre. Une scène clé du film !
Dès la première heure passée, on se rend compte que l'on tourne en rond et que les choses commencent un peu à être longue, car si effectivement, le mélange de possession et d'histoire de fantômes marche plutôt bien, les crises d'hystérie et de colère, soit de la mère, que du fils, commencent à irriter fortement, et sans méchanceté, on attend que la mort d'un des deux, car les différent cris sont insupportables sur la longueur !
Mais force est que le jeu d'acteur est très réaliste et bien joué ! Tout comme la photographie et le jeu de lumière/ombre, et là réside une autre force du film ! Entre apparence sombre et éclairage clinique, l’alternance des deux dans une même scène (notamment vers la fin), rend très très bien !
Mais cette fin, à la fois ambiguë (comme tout la dernière demi-heure) et ouverte, menant à un faux happy-end, car malgré les apparences, rien n'est fini, et les questions fusionnent car, au premier degré, on peut se demander : SPOILER - "Pourquoi cette chose est-elle maintenant installée en bas ? Que signifie cette soudaine tranquillité chez la famille ?" ..
Tant de choses déballées à la fin, qui peuvent s'expliquer sous une seconde lecture par la psychologie monoparental de la mère, par la détresse, le stress et la fatigue, la rendant complètement hystérique et hallucinatoire. Mister Babadook ne serait que la matérialisation de ses problèmes et de son anxiété, et de sa lamentation ? surement, expliqué par le crachas de la choses noire en elle, lors des 5 dernières minutes.
Beaucoup de choses dans ce Mister Babadook, finalement, horreur psychologique, à mi chemin entre un Polanski (Rosmary's Baby) et un Wan (Insidious), mais qui risque cependant de diviser le public, car la lenteur de certaines scènes, et surtout le coté psychologique trop envahissant. Un film bien mené, qui risque cependant d'être boudé par le public .. quoi qu'il en soit, il mérite bien une seconde vision pour bien cerner toute l'histoire !
Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Même avis en tout point que celui d'Omega. Visuellement le film est classe, il rappelle un peu Stoker avec ses tons diaphanes, et l'interprétation est au diapason. Par contre une fois saisi de quoi il retourne (c'est un peu évident) cela perd un poil en intérêt et on a vite fait de prendre en grippe soit le môme, soit la mère, voire les deux... Mais le film sort clairement du lot de la production fantastique habituelle par ses qualités. Donc à voir.
Spoiler : :
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Première grosse déception de cette fin d'année. Malgré des critiques plutôt positives, et vantant un film toutes autres.... Il n'en est rien. Si le film est loin des canons "Hollywoodiens" du genre, production indépendante Australienne oblige. Il repose en grande partie sur son duo d'acteur excellent et habité par leurs rôles commun, tellement que la première demi-heure pourra paraitre pénible (mon cas
) lorsque le "petit"
pique ces crises....
Un film qui joue essentiellement sur de la psychologie, et très loin de l'efficacité d'un Insidious ou d'un Sinister, s'est même l'antithèse de ces films là. Le frisson garantie n'étant définitivement pas au rdv de mon coté. Reste une esthétique léché, que se soit la photo du décor, l'éclairage de cette maison est saisissant. On sent un gros travail a ce niveau. En dehors de ça ? Une impression de vouloir à tous pris rationalisé encore une fois le genre, lui enlevé l'essence même de ce qui est une réussite chez d'autres (Candyman, Morse, l'Emprise...) du coup ont reste complétement sur sa fin lorsque arrive le deuxième acte. Bref j'aurais oublié sa rapidement très rapidement
A voir et au revoir... Tous cette attente pour ça


Un film qui joue essentiellement sur de la psychologie, et très loin de l'efficacité d'un Insidious ou d'un Sinister, s'est même l'antithèse de ces films là. Le frisson garantie n'étant définitivement pas au rdv de mon coté. Reste une esthétique léché, que se soit la photo du décor, l'éclairage de cette maison est saisissant. On sent un gros travail a ce niveau. En dehors de ça ? Une impression de vouloir à tous pris rationalisé encore une fois le genre, lui enlevé l'essence même de ce qui est une réussite chez d'autres (Candyman, Morse, l'Emprise...) du coup ont reste complétement sur sa fin lorsque arrive le deuxième acte. Bref j'aurais oublié sa rapidement très rapidement

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Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
S'est aussi un film dramatique puisque que ces deux protagoniste l'enfant et la mère on subit un traumatisme et n'arrive pas à l'évacuer, après on y ajoute la sauce fantastique et on essaye de rationalisé le tous, sauf que là ou des Candyman par exemple son un exemple parfait de réussite et dans un contexte d'époque (la crise sociale des banlieues) ou par exemple ce film Irlandais plutôt pas mal qu'est Cidatel reposant sur les critère du jeune père confronté a un malaise identique.Winston Z. a écrit :Spoiler : :
Babadook lui ce contente de jouer simplement sur une peur infantile vraiment moindre avec un scénario minimaliste mille fois vu ailleurs. Un autre contre exemple de film réussit et Australien : The Loved Ones méritais les différents prix qu'il avait reçu à Gérardmer, et qui pour le coup m'avait bien plus secouer, que ce Babatruc....


J'ai vraiment eu l'impression que la sélection à Gérardmer était minimaliste cette année et qu'il faillais donner des prix au peu de films affichant un certain niveau de professionnalisme à l'écran que l'ont ne trouvais pas chez les autres, et qu'il a été retenue simplement sur ce critère là.
Donc, Une vrai déception à la hauteur de l'attente qu'il a suscité, mais je me répète dsl

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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
J'ai bien marché pour ma part. Même au-delà de que je pouvais penser à la basE. C'est juste un des films de genre les plus intelligents que j'ai vu ces derniers temps. Dire que certains se gargarisent de panouilles branchées surgonflées comme It Follows (entre autres) et de voir la maitrise et la finesse représentées ici...
Pas vu passer les 93mn d'un film qui oscille entre drame psychologique, schizophrénie, film de genre, fantastique... le film construit lentement sa progression. c'est bien ce qui m'a plus, de voir se dégrader graduellement l'état psychologique de la mère et son glissement progressif vers sa folie assassine. On reste constamment dans sa tête, sans bien savoir qi elle est gagnée par les visions persistantes de son fils, s'il s'agit de sa peur du vide affectif qui se matérialise (ou pas), si elle perd pied (ou pas) ou si simplement le Babadook existe vraiment.
Le dernier tiers est quand même exemplaire - sans avoir à affaire à la grosse machine à frissons : genre les basses qui enflent, la musique qui s'accélère et qui fonce dans le aigus, les effets de manche de caméra... la cinéaste reste au plus près des corps, des visages, mais ne sacrifie en rien à l'efficacité. Une manière de filmer quasi naturelle pour son sujet surnaturel.
Les deux acteurs principaux sont quand même hallucinants
mention à l'enfant, insupportable - mais dans le bon sens du terme, puisque la mise en scène (et une incroyable direction d'acteur! je me demandais comment elle avait réussi à le rendre aussi pourvoyeur d'émotions vu le sujet
) réussit à la fois à le rendre à buter, tout comme il ménage de l'attendrissement et de la pitié.
Idem pour la mère, quelle performance d’actrice! Et quel lien fort entre les deux.
Je n'ai trouvé à aucun moment que le scénario était minimaliste. Bien au contraire, il fourmille de détails relationnels, tout comme il agrège les petites peurs familières pour grossir démesurément vers le(s) climax. De faire grimper la tension sans céder à la peur où l'épouvante, je trouve ça quand même non seulement gonflé0 (résister aux sirènes du film de genre pour ados, entre autres) mais aussi fin et sachant ce qu'il veut.
J'aime énormément les deux dernières scènes qui dessinent une fine frontière
Bref, j'ai vraiment accroché.
Vu sur le BD UK de chez Icon. DTS HD MA 5.1 absolument remarquable! le début du film est enregistré super bas, avec des dialogues provenant uniquement de la voix centrale. les 4 autres (et le caisson de basses) ne servant qu'à alimenter les bruits d'environnement. Pour ensuite grimper petit à petit, la puissance venant au gré des interventions du Babadook, avec des sifflements, acouphènes qui emplissent l'ensemble des canaux. Techniquement bien pensé et adéquat avec l'ambiance du film.
2.40:1
93mn
sta
as encore vu tous les bonus featurettes + un making ok et le trailer, juste sur celui des cascades du film.
Pas vu passer les 93mn d'un film qui oscille entre drame psychologique, schizophrénie, film de genre, fantastique... le film construit lentement sa progression. c'est bien ce qui m'a plus, de voir se dégrader graduellement l'état psychologique de la mère et son glissement progressif vers sa folie assassine. On reste constamment dans sa tête, sans bien savoir qi elle est gagnée par les visions persistantes de son fils, s'il s'agit de sa peur du vide affectif qui se matérialise (ou pas), si elle perd pied (ou pas) ou si simplement le Babadook existe vraiment.
Le dernier tiers est quand même exemplaire - sans avoir à affaire à la grosse machine à frissons : genre les basses qui enflent, la musique qui s'accélère et qui fonce dans le aigus, les effets de manche de caméra... la cinéaste reste au plus près des corps, des visages, mais ne sacrifie en rien à l'efficacité. Une manière de filmer quasi naturelle pour son sujet surnaturel.
Les deux acteurs principaux sont quand même hallucinants


Idem pour la mère, quelle performance d’actrice! Et quel lien fort entre les deux.
Je n'ai trouvé à aucun moment que le scénario était minimaliste. Bien au contraire, il fourmille de détails relationnels, tout comme il agrège les petites peurs familières pour grossir démesurément vers le(s) climax. De faire grimper la tension sans céder à la peur où l'épouvante, je trouve ça quand même non seulement gonflé0 (résister aux sirènes du film de genre pour ados, entre autres) mais aussi fin et sachant ce qu'il veut.
J'aime énormément les deux dernières scènes qui dessinent une fine frontière
Spoiler : :
Vu sur le BD UK de chez Icon. DTS HD MA 5.1 absolument remarquable! le début du film est enregistré super bas, avec des dialogues provenant uniquement de la voix centrale. les 4 autres (et le caisson de basses) ne servant qu'à alimenter les bruits d'environnement. Pour ensuite grimper petit à petit, la puissance venant au gré des interventions du Babadook, avec des sifflements, acouphènes qui emplissent l'ensemble des canaux. Techniquement bien pensé et adéquat avec l'ambiance du film.
2.40:1
93mn
sta
as encore vu tous les bonus featurettes + un making ok et le trailer, juste sur celui des cascades du film.
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Clairement non pour moi elle pète un câble et puis c'est tous !Superwonderscope a écrit :Pas vu passer les 93mn d'un film qui oscille entre drame psychologique, schizophrénie, film de genre, fantastique... le film construit lentement sa progression. c'est bien ce qui m'a plus, de voir se dégrader graduellement l'état psychologique de la mère et son glissement progressif vers sa folie assassine. On reste constamment dans sa tête, sans bien savoir qi elle est gagnée par les visions persistantes de son fils, s'il s'agit de sa peur du vide affectif qui se matérialise (ou pas), si elle perd pied (ou pas) ou si simplement le Babadook existe vraiment.

Seulement là ou un Jacques Audiard ou un Thomas Alferdson font un des chose génial (je pèse mes mots

Enfin se n'est que mon avis, vu qu'il a pas mal été apprécier un peu partout de part le monde.
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Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Le film accroche bien, réalisation sans fioriture, grand sens des effets distillés avec parcimonie et du côté de l'interprétation c'est tout bonnement du grand art. La mère et le môme sont juste parfaits.
Il n'en demeure pas moins que c'est un film qui laisse sur un grand sentiment de tristesse, et laisse le spectateur sur un vrai trouble persistant. On n'est vraiment pas bien, une fois fini, mais c'est remarquable.
Il n'en demeure pas moins que c'est un film qui laisse sur un grand sentiment de tristesse, et laisse le spectateur sur un vrai trouble persistant. On n'est vraiment pas bien, une fois fini, mais c'est remarquable.
Re: The Babadook - Jennifer Kent (2013)
Je l'avais vu à sa sortie et j'étais resté sur une impression de relative déception par rapport à sa brillante réputation. J'ai trouvé qu'on marchait dans les pas d'un certain cinéma fantastique d'alors, "Insidious" (sans l'énergie et la créativité), "Mama" surtout... Des maisons hantés avec des fantômes dans des penderies et sous le lit des enfants... "The Babadook" est certes dans le haut du panier, par une approche retenue, élégante, plus psychologue, mais je ne peux pas dire que j'ai été bouleversé ou que j'ai trouvé qu'il se démarquait tant que cela de sa concurrence...