Bon... 1H28 de copie carbone du principe de Destination Finale matiné de rendez-vous avec la peur. Ici dans le monde de surfers et tourné en Espagne.
C'est avec la jolie Eliza Dushku (Wrong Turn et Bring it on) et le joli Mike Vogel et pleins d'autres jolis acteurs insipides.
Ca commence par une scène de torture pendant l'inquisition, avec arachage d'ongle et autres joyeusetés. Torture porn? Presque. sauf que passé le générique expliquant que le jeu est fait de la peau de la sorcière torturée, avec ses dents et tout ça... ben...rompiche-rompiche.
Pendant une heure, on va assister au jeu des jeunes cons et à la mort programmée un par un des joueurs. Et des effets spéciaux numériques d'une laideur remarquable
le serpent est atroce, mal incrusté. les crabes supposés faire peur, ben... ça fait juste rire 
Sans compter des incohérences spectaculaires : le jeu date du XIVe siècle, mais les cartes encore entières sont écrites... en anglais
Ca s'arrange un peu la dernière demi-heure avec un rebondissement
Spoiler : :
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La fin est juste
avec là aussi des effets numériques affreux - et un final d'une connerie monumentale. Pourquoi? Ben... parce que. C'est en gros ce qu'on file au spectateur.Bref, c'est ce que j'appelle "un film de repassage" (en gros, on peut repasser ses chemises, faire la cuisine, récurer, se couper les ongles ou écrire à sa grand-mère tout en regardant le film, on ne manque rien du tout)
Le DVD de chez Zylo est juste pénible. UN VF à chier, en dolby digital 2.0, 1.78:1 avec 16/9 et c'est tout. Accès chapitré à minima.
Beurk.