L'arrivée du sexe, de l'amour, du rock n' roll et de la culture vont bouleverser les vies tranquilles et stéréotypées des personnages d'un feuilleton se situant dans les années 50.
On oscille entre la quatrième dimension, retour vers le futur et Edward au main d'argent (pour l'ambiance banlieusarde américaine aseptisée).
Le film entre comédie et drame est un hymne au changement, à la nouveauté, à la différence, et à l'expression personnelle.
Il se dégage pourtant une forte nostalgie pour une époque et un style de vie qui n'a en réalité jamais existé puisque Pleasantville est une version télévisuelle policée de la société américaine des années 50.
Le film est servi par d'excellent acteurs dont les émouvants Joan Allen, William Macy et Jeff Daniels interprétant des personnages dont la vie va être bouleversée par cette très poétique éclosion de la couleur dans un monde en noir et blanc.
du morceau des Beatles en clôture du film, ma préférée avec celle de Laibach. Le clip est de Paul Thomas Anderson
tous ça pour ça je serais presque tenté de dire. 2 bonne heure pour voir des pompiers perdu devant un arbre qui prend feu, ou des gens terrorisé par la pluie. Attention techniquement le film est incroyable se mélange de personnages/éléments en couleurs au milieu d'un univers monochrome est splendide, mais en dehors de cette performance. Je suis rester pratiquement amorphe, limite le sommeil a commencer a me gagner arriver juste à mi-parcourt.