Un film de SF aux couleurs des 70's qui s’apprête à sortir en DVD US le 30/09/14, avec une VF et des stf, selon Sony:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=8975
Space Station 76 - Jack Plotnick (2014)
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Space Station 76 - Jack Plotnick (2014)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Re: Space Station 76 - Jack Plotnick (2014)
Assez élégant dans sa mise en abime de la SF : à savoir un film de SF réalisé comme sic ela était pensé par des auteurs des années 70. Décoration, dialogues, vêtements, coiffures, sentiments... tout est dans le décalage.
La Station spatiale 76 est commandée par Patrick Wilson, bientôt secondé par une nouvelle arrivée (lIV Tyler). Dans la station les couples se battent (Matt Bomer et Marisa Coughlan), tandis qu'un autre s'apprête à partir dans une station plus importante (Jerry O'Connell et Kali Rocha). Mais les calculs d'un ancien pilote (Matthew Morrison) permettant d'éviter les astéroïdes ne sont pas suivis par le capitaine.
Très difficile d'appréhender un film de SF qui n'en est pas tout à fait un; Oui, one st en plein espace, avec une station spatiale joliment animée (certains effets sont splendides) mais on se situe plus sur une satire de dramedy typique 70's avec comme toile de fond l'espace, plus qu'autre chose. Un humour très flegmatique, qui parodie... ben on sait pas trop quoi, justement. Car en comédie, le film fonctionne partiellement car malheureusement, le scénario ne va nulle part. Une alternative heureuse à l'humour gras et épais dont nous ressert quotidiennement et une tentative assez curieuse (voire postmoderne) de recréer un imaginaire SF tel qu'(on pouvait le voir avant La Guerre des Etoiles.
Tout est recréé made in 1976 : les obsessions des femmes, les craintes basées sur le genre et la perception de l'autre. d'ailleurs à ce stade, il y a quelque chose que je n'ai pas bien compris : ça n'est pas très clair.
la fantasmatique masculine, personnifiée par une apparition stellaire de femme à la poitrine dénudée, clin de Farah Fawcett mixée avec Shelley Hack (LE fantasme blonde par excellence); c4EST ASSEZ INTELLIGEMMENT VU, mais un peu vain.
Patrick Wilson excelle en qui remonte à loisir une conversation hologramme
La meilleure d'entre tous est Marisa Coughlan, bourrée de valium, discutant avec un robot-psychothérapeute et totalement salope.(NB : je me souviens d'elle surtout dans Teaching Mrs Tongle où elle imitait une scène de l'Exorciste à ourdir de rire)
Je comprend pourquoi le film n'a pas bénéficier d'une sortie salle : c'est strictement insortable car pas destiné à tous. Ca se veut quelque part meta-fiction, avec des réminiscences de pastiche dont l'improvisation (oui, ça a été improvisé par les acteurs) donne une certaine authenticité. mais ça titille l'intellect plus que ça n'amuse. 95mn pas désagréables, ceci dit, la nostalgie de cette SF jouant aussi pour beaucoup.
Clin d'oeil : Keir Dullea est de la partie dans une des scènes le plus drôles du film.
DVD au format 2.40:1 et 5.1, avec featurette, scènes ratées et film annonce
La Station spatiale 76 est commandée par Patrick Wilson, bientôt secondé par une nouvelle arrivée (lIV Tyler). Dans la station les couples se battent (Matt Bomer et Marisa Coughlan), tandis qu'un autre s'apprête à partir dans une station plus importante (Jerry O'Connell et Kali Rocha). Mais les calculs d'un ancien pilote (Matthew Morrison) permettant d'éviter les astéroïdes ne sont pas suivis par le capitaine.
Très difficile d'appréhender un film de SF qui n'en est pas tout à fait un; Oui, one st en plein espace, avec une station spatiale joliment animée (certains effets sont splendides) mais on se situe plus sur une satire de dramedy typique 70's avec comme toile de fond l'espace, plus qu'autre chose. Un humour très flegmatique, qui parodie... ben on sait pas trop quoi, justement. Car en comédie, le film fonctionne partiellement car malheureusement, le scénario ne va nulle part. Une alternative heureuse à l'humour gras et épais dont nous ressert quotidiennement et une tentative assez curieuse (voire postmoderne) de recréer un imaginaire SF tel qu'(on pouvait le voir avant La Guerre des Etoiles.
Tout est recréé made in 1976 : les obsessions des femmes, les craintes basées sur le genre et la perception de l'autre. d'ailleurs à ce stade, il y a quelque chose que je n'ai pas bien compris :
Spoiler : :
la fantasmatique masculine, personnifiée par une apparition stellaire de femme à la poitrine dénudée, clin de Farah Fawcett mixée avec Shelley Hack (LE fantasme blonde par excellence); c4EST ASSEZ INTELLIGEMMENT VU, mais un peu vain.
Patrick Wilson excelle en
Spoiler : :
Spoiler : :
Je comprend pourquoi le film n'a pas bénéficier d'une sortie salle : c'est strictement insortable car pas destiné à tous. Ca se veut quelque part meta-fiction, avec des réminiscences de pastiche dont l'improvisation (oui, ça a été improvisé par les acteurs) donne une certaine authenticité. mais ça titille l'intellect plus que ça n'amuse. 95mn pas désagréables, ceci dit, la nostalgie de cette SF jouant aussi pour beaucoup.
Clin d'oeil : Keir Dullea est de la partie dans une des scènes le plus drôles du film.
DVD au format 2.40:1 et 5.1, avec featurette, scènes ratées et film annonce
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?