House where Evil Dwells / Fantômes à louer - Kevin Connor (1982)

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Superwonderscope
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House where Evil Dwells / Fantômes à louer - Kevin Connor (1982)

Message par Superwonderscope »

Fantômes à Louer ou La Maison des Spectres en VF

Film de fantômes saignants se déroulant au Japon, avec eddie Albert, Susan George et Doug McClure... bientôt en Blu Ray US :

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9804
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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antropophagus
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Re: House where Evil Dwells - Kevin Connor (1982)

Message par antropophagus »

Les plus :
- Le film est assez soigné et bénéficie d'un certain standing. La réal de Kevin Connor (Motel Hell) est propre, on sent qu'il y a du savoir-faire.
- La tuerie du prologue est vraiment sympa, bien sanglant, et l'atmosphère médiévale japonaise très bien rendue.
- Un zeste d’érotisme qui est toujours bon à prendre.
- L’attaque des crabes ! Le moment fort du film, vraiment surprenant. Si ça avait été du Fulci, la gamine se serait probablement fait dévorer vivante, mais bon...
- La radicalité de la fin, même si on la voit venir à dix kilomètres, et l’humour involontaire du combat final.

Les moins :
- L’histoire n’est guère palpitante : ça se résume à un adultère et à une vengeance finale.
- Des péripéties de maison hantée très quelconques et déjà vues en mieux dans des films comme Amityville (le robinet qui coule tout seul, la lumière qui s’éteint, etc.).
- Les apparitions des fantômes font leur petit effet au début puis deviennent assez peu convaincantes, mention spéciale pour le spectre grimaçant dans un bol de soupe. :mrgreen:
- Le film s’étire inutilement entre deux manifestations surnaturelles, comme s’il ne savait pas trop quoi faire de ses personnages (le prêtre en particulier).

La seule vraie originalité de cette histoire de fantômes est qu’elle se déroule au Japon. Le mélange folklore local / horreur 80s fonctionne plutôt bien, et le fait que ce soit tourné sur place apporte une touche d’authenticité (décors, costumes, etc.) même si le casting principal est américain. Par contre, la tension ne suit pas et le rythme reste franchement mou. Au final, c’est une petite curiosité qui mérite le coup d’œil mais pas plus.
Man-eater
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