Un film de SF australien aux confins de l'univers? C'est par ici que ça se passe avec la critique du Blu Ray français qui est sur le site.
Le film sort après-demain à la vente:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9832
Infini - Shane Abbess (2014)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- DeVilDead Team
- Messages : 21532
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Infini - Shane Abbess (2014)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
-
- Messages : 10220
- Enregistré le : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
Re: Infini - Shane Abbess (2014)
Alors vu et le film a bien des qualités visuelles ou du moins techniques, à l'image de ces joli couloirs bien mise en image dans la pénombres. Shane Abbess s'est y faire pour créer un minimum d'ambiance, tous comme son casting assez impliqué.
Reste qu'au delà de la pure forme, ce film de SF n'a rien d'autre à montrer, si les dialogues paraissent moins pompeux que sur son précédent Gabriel, Infini est quand même bavard, et sur 1H45 sa se ressent pas mal.
La critique d'Antoine Rigaud est objective sur les qualités et défaut de ce deuxième long métrage. Ce qui ma le plus sauté au yeux assez rapidement au vu de ces premières séquences. S'est bien entendu le nombre incalculable de films auquel ont pensent en le regardant, ceux de la critique bien sûr. Mais aussi à d'autre comme se début a la Doom de Bartkowiak, le Supernova de Thomas Lee (Walter Hill) qui partagerais des points de vu proche (voyage spatio-temporel, menace Extraterrestre), mais surtout le Pandorum de l'Allemand Christian Alvart, pour sa paranoïa ambiante qui cherchais a perdre son spectateur.
D'ailleurs du coté des films de SF parano Australien, on pourrait directement faire le comparatif avec le Crawlspace de Justin Dix, qui utilise les même ficelle, mais sans sort largement mieux a presque tous les niveaux (rythme, et histoire) même s'il copiait pas mal.
En gros Infini se laissera voir un samedi soir si on est pas trop regardant et surtout pas trop endormi, et qu'on oubli tous un pan du cinéma SF. Un film qu'ont aura tôt fait d'oublié aussi tellement il arrive après d'autre bien plus marquant. Prés de 2H de dialogue technique sans rien développé finalement des différentes technologies utilisées (téléportation-décalage temporel) un vrai raté de ce coté là
Reste qu'au delà de la pure forme, ce film de SF n'a rien d'autre à montrer, si les dialogues paraissent moins pompeux que sur son précédent Gabriel, Infini est quand même bavard, et sur 1H45 sa se ressent pas mal.
La critique d'Antoine Rigaud est objective sur les qualités et défaut de ce deuxième long métrage. Ce qui ma le plus sauté au yeux assez rapidement au vu de ces premières séquences. S'est bien entendu le nombre incalculable de films auquel ont pensent en le regardant, ceux de la critique bien sûr. Mais aussi à d'autre comme se début a la Doom de Bartkowiak, le Supernova de Thomas Lee (Walter Hill) qui partagerais des points de vu proche (voyage spatio-temporel, menace Extraterrestre), mais surtout le Pandorum de l'Allemand Christian Alvart, pour sa paranoïa ambiante qui cherchais a perdre son spectateur.
D'ailleurs du coté des films de SF parano Australien, on pourrait directement faire le comparatif avec le Crawlspace de Justin Dix, qui utilise les même ficelle, mais sans sort largement mieux a presque tous les niveaux (rythme, et histoire) même s'il copiait pas mal.
En gros Infini se laissera voir un samedi soir si on est pas trop regardant et surtout pas trop endormi, et qu'on oubli tous un pan du cinéma SF. Un film qu'ont aura tôt fait d'oublié aussi tellement il arrive après d'autre bien plus marquant. Prés de 2H de dialogue technique sans rien développé finalement des différentes technologies utilisées (téléportation-décalage temporel) un vrai raté de ce coté là

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

Snake Plisken Escape from NY
Re: Infini - Shane Abbess (2014)
on peut citer aussi "The expanse" désormais en référence..
le film démarrait vite. c'était confus mais entrainant. et puis ça se léthargise pas mal après forcèment..mais l'idée que la molécule?

le film démarrait vite. c'était confus mais entrainant. et puis ça se léthargise pas mal après forcèment..mais l'idée que la molécule?
Spoiler : :