de Richard Harmon, qui semble revenir à un sujet dans le style de son "Hitcher".
Un tueur en série obsédé par l'automobile a pour particularité de provoquer sciemment des accidents mortels, pour son plaisir sadique. Rennie, un homme dont l'épouse a été tuée par le dément, traque ce fou à travers toute l'Amérique...
Mouais, mouais, mouais, on aurait bien aimé y croire, mais, malheureusement, ce n'est pas gagné. L'idée de départ est prometteuse, et donne même lieu à un début efficace (l'accident dans le tunnel) qui, malheureusement, s'essouffle vite. Ce mélange de "Mad Max", "Duel" et autres "Une virée en enfer" souffre de scènes de poursuites incompréhensibles (la casse), molles et d'un final décevant. Il y a des bonnes idées (le tueur estropié), mais cela aboutit vite à de sérieuses invraisemblances (SPOILERSComment le tueur fait-il monter de force la fille dans sa voiture ?). Cela ne manque pas de rythme, Cazaviel est intéressant dans son rôle, et la dutrée du métrage est suffisamment ramassée pour ne pas faire un métrage ennuyeux. Mais tout cela s'oublie tout de même très vite...
"Highwaymen" (2003)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Sutter Cane
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Re: "Highwaymen" (2003)
Ah, fuck ! Encore un p'tit film pour le père Harmon (l'homme d'un seul film ? Mais quel film 
!!!). Je me doutes que ce n'est pas top, mais je vais y aller quand même (en bon maso), en souvenir du bon temps d'Hitcher.
!!!). Je me doutes que ce n'est pas top, mais je vais y aller quand même (en bon maso), en souvenir du bon temps d'Hitcher.-
hitcher
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Je l'attendais depuis longtemps celui là, revant à ce que Harmon renouvelle son exploit.
J'ai voulu y croire jusqu'au bout (même quand le film a commencé dans une salle de 10 spectateurs/dur pour un 1er soir) mais bon, j'avais quand même un doute, et au final le resultat est tres moyen.
Loin d'Hitcher, mais (heureusement) loin également de THEY son dernier navet, Highwaymen comporte quelques passages tres reussi, mais ils sont trop peu nombreux (les fans de voitures se rattraperont sur la presence d'une musclecar).
Highwaymen rappele à plusieurs reprises Hitcher, parce qu'il marche dans les mêmes traces, mais le film ne decolle jamais vraiment.
Même Mark Isham qui a rempilé, semble peu inspiré, et son score n'apporte rien au film, alors qu'il avait su insuffler une ambiance fantastique dans Hitcher.
Bref, ça se regarde sans ennui, mais quel dommage tout de même que Harmon ne nous ait pas fait un vrai Hitcher2
(et franchement, la derniere minute, c'est vraiment n'importe quoi!)
PS: si vous voulez le voir, faites vite, il ne jouera plus la semaine prochaine, c'est sûr.
J'ai voulu y croire jusqu'au bout (même quand le film a commencé dans une salle de 10 spectateurs/dur pour un 1er soir) mais bon, j'avais quand même un doute, et au final le resultat est tres moyen.
Loin d'Hitcher, mais (heureusement) loin également de THEY son dernier navet, Highwaymen comporte quelques passages tres reussi, mais ils sont trop peu nombreux (les fans de voitures se rattraperont sur la presence d'une musclecar).
Highwaymen rappele à plusieurs reprises Hitcher, parce qu'il marche dans les mêmes traces, mais le film ne decolle jamais vraiment.
Même Mark Isham qui a rempilé, semble peu inspiré, et son score n'apporte rien au film, alors qu'il avait su insuffler une ambiance fantastique dans Hitcher.
Bref, ça se regarde sans ennui, mais quel dommage tout de même que Harmon ne nous ait pas fait un vrai Hitcher2
(et franchement, la derniere minute, c'est vraiment n'importe quoi!)
PS: si vous voulez le voir, faites vite, il ne jouera plus la semaine prochaine, c'est sûr.
Si on m'avait dit qu'un jour le forum Devil Dead tomberait dans les mains de personnes woke et intolérantes.
Et pourtant...
Dur, dur ce film. Tant d'incohérences dans un récit rend la narration difficile à digérer. La mis en scène pourtant parfois inspirée sombre souvent dans le ridicule (la scène de l'accident de la femme de Caviezel que l'on voit deux fois!), on n'y croit pas vraiment et on s'ennuie ferme. Un comble pour un film d'1h25.
X
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Comme creep.
Le scénario est totalement raté et oscille entre incohérences (énormes), psychologie de bistrot (chaque personnage a son propre petit traumatisme lié a la route...pour l'originalité faudra repasser), et quelques lenteurs.
Les scènes de bagnoles sont plutot pas mal, malgrès un montage assez brouillon. Quant a la mis en scène, elle est toalement aléatoire : on passe de scènes plutot soignée (dans la photo, les mouyvement de caméra), a des scènes qui repoussent les limites du ridicule (mention spécaile au ralenti le plus foireux depuis la pub royal canin).
Bref, pas grand chose a sauver de ce qui aurait pu être un film sympathique.
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Le scénario est totalement raté et oscille entre incohérences (énormes), psychologie de bistrot (chaque personnage a son propre petit traumatisme lié a la route...pour l'originalité faudra repasser), et quelques lenteurs.
Les scènes de bagnoles sont plutot pas mal, malgrès un montage assez brouillon. Quant a la mis en scène, elle est toalement aléatoire : on passe de scènes plutot soignée (dans la photo, les mouyvement de caméra), a des scènes qui repoussent les limites du ridicule (mention spécaile au ralenti le plus foireux depuis la pub royal canin).
Bref, pas grand chose a sauver de ce qui aurait pu être un film sympathique.
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Et le seul dernier argument qui pourrait me décider d'aller voir ce film et que vous n'avez pas abordé, c'est : comment est Rhona Mitra ? 
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Force Bleue
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- Localisation : A bord de mon biorobot
Le film est pas génial, c'est vrai, c'est parfois brouillon mais ça se laisse regarder. Un peu déçu que le tueur ne soit pas un peu plus sadique (comme dans Hitcher quoi), par exemple, dans le tunnel, je l'aurais bien vu rouler sur la fille avant de partir. gniarf, gniarf.
Et sinon, Rhona Mitra n'a pas un décolleté comme dans Beowulf.
Et sinon, Rhona Mitra n'a pas un décolleté comme dans Beowulf.
Interdisons les signatures!
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MadXav
- DeVilDead Team
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- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Le film est correct mais c'est dommage qu'on retrouve pas la même tension et le même sadisme que dans Hitcher. Le méchant est très charismatique mais moins "taré" et follement "incompréhensible" que ne l'était Hauer. Peu de scène de gros stress (à la place, on a des poursuites et du gros son) et surtout, Rhona Mitra n'est pas terrible, ce qui est quand même bien dommage quand on voit son potentiel dans Beowulf ou quand elle jouait à la Lara Croft...
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Souvenir très faisandé de ce film découvert complètement par hasard l'été dernier.
Robert Harmon essaie misérablement de retrouver sa gloire passée en nous ressortant son histoire de barjot routier. Cazievel fait le métier, mais on se demande quand même dans quel état il devait être pour accepter un truc pareil. Par humanité je passerai sur le bad guy, le premier méchant du cinéma dont on doit vider la poche d'urine 3 fois par jour...
Robert Harmon essaie misérablement de retrouver sa gloire passée en nous ressortant son histoire de barjot routier. Cazievel fait le métier, mais on se demande quand même dans quel état il devait être pour accepter un truc pareil. Par humanité je passerai sur le bad guy, le premier méchant du cinéma dont on doit vider la poche d'urine 3 fois par jour...
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Superwonderscope
- DeVilDead Team
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Série B en roue libre pendant 1H17 (durée du Z2).
Une piste DTS toute mollassone. Ne perd pas de temps et rentre dans le vif du sujet de suite. A oublié de ce fait un minimum de cohérence et de faire vivre ses personnages. On suit donc des poursuites en voitures pendant ce temps, entrecoupées de scènes d'exposition sans grand intéret.
La scène finale est à vomir d'auto-justice à l'américaine. Gratuit et puant.
SPOILER
Y'a rien à faire il FAUT que les méchants meurent de manière violente. Ce n'est même plus un spoiler tant TOUT est joué d'avance.END SPOILER
Professionnellement réalisé mais sans âme. A oublier, donc.
Une piste DTS toute mollassone. Ne perd pas de temps et rentre dans le vif du sujet de suite. A oublié de ce fait un minimum de cohérence et de faire vivre ses personnages. On suit donc des poursuites en voitures pendant ce temps, entrecoupées de scènes d'exposition sans grand intéret.
La scène finale est à vomir d'auto-justice à l'américaine. Gratuit et puant.
SPOILER
Y'a rien à faire il FAUT que les méchants meurent de manière violente. Ce n'est même plus un spoiler tant TOUT est joué d'avance.END SPOILER
Professionnellement réalisé mais sans âme. A oublier, donc.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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rusty james
- Messages : 6532
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 7:41 am
Pas grand monde pour défendre ce film ici. Je m'en charge.
Highwaymen c'est un peu la fin de Mad Max étirée sur 1h15. Le combat de 2 hommes hors système, un western urbain. Caviezel n'est plus vraiment humain, c'est une sorte de zombie appelé par la vengeance. Harmon arrive à isoler ce duel de la vie quotidienne. Le film semble se passer dans les années 80 (voitures, téléphone à fils, machine à écrire...), mais peut-être pas. Mark Isham nous rejoue la partition du cauchemar éveillé, faisant glisser le film dans un univers onirique où seul le bitume, les moteurs huileux et le desert existent. L'histoire d'amour est un calque de Vertigo, une reprise pour Caviezel. Le serial killer (paraplégique à cause de Caviezel, lors de l'assassinat de sa femme) veut rejouer la scène et profite de la ressemblance de la jeune femme pour faire une seconde prise à son plan, partiellement raté. La même robe, le même lieu, le même traumatisme, rejoué et accentué. Le méchant ne veut pas seulement tuer Caviezel, il veut son âme, en lui tendant le miroir de son trauma. Taciturne, le héros est un être obsédé par la vengeance, qui ne vit plus que pour et par cette idée de rendre justice à sa femme et à toutes celles qui sont mortes. A méchant hors système, héros hors-système, vengeance (froide) hors-système.
Le film pêche un peu par moment (la scène de la casse comme le soulignait Manolito se termine de manière surréaliste).
Le flic paumé qui fait justice tout seul à la toute fin peut laisser songeur en effet.
Cela n'empêche, le film remplit son contrat je trouve. Il fonce à tout allure, droit au but. Le film est court, il va à l'essentiel. Pas de chichi, on est dans l'épurement du récit. Et surtout, c'est foutrement bien réalisé (la voiture du serial killer est filmé comme un monstre, un requin... Mais aussi les paysages, les ralentis, etc).
Il faut sauver le soldat Harmon. Vraiment.
Highwaymen c'est un peu la fin de Mad Max étirée sur 1h15. Le combat de 2 hommes hors système, un western urbain. Caviezel n'est plus vraiment humain, c'est une sorte de zombie appelé par la vengeance. Harmon arrive à isoler ce duel de la vie quotidienne. Le film semble se passer dans les années 80 (voitures, téléphone à fils, machine à écrire...), mais peut-être pas. Mark Isham nous rejoue la partition du cauchemar éveillé, faisant glisser le film dans un univers onirique où seul le bitume, les moteurs huileux et le desert existent. L'histoire d'amour est un calque de Vertigo, une reprise pour Caviezel. Le serial killer (paraplégique à cause de Caviezel, lors de l'assassinat de sa femme) veut rejouer la scène et profite de la ressemblance de la jeune femme pour faire une seconde prise à son plan, partiellement raté. La même robe, le même lieu, le même traumatisme, rejoué et accentué. Le méchant ne veut pas seulement tuer Caviezel, il veut son âme, en lui tendant le miroir de son trauma. Taciturne, le héros est un être obsédé par la vengeance, qui ne vit plus que pour et par cette idée de rendre justice à sa femme et à toutes celles qui sont mortes. A méchant hors système, héros hors-système, vengeance (froide) hors-système.
Le film pêche un peu par moment (la scène de la casse comme le soulignait Manolito se termine de manière surréaliste).
Le flic paumé qui fait justice tout seul à la toute fin peut laisser songeur en effet.
Cela n'empêche, le film remplit son contrat je trouve. Il fonce à tout allure, droit au but. Le film est court, il va à l'essentiel. Pas de chichi, on est dans l'épurement du récit. Et surtout, c'est foutrement bien réalisé (la voiture du serial killer est filmé comme un monstre, un requin... Mais aussi les paysages, les ralentis, etc).
Il faut sauver le soldat Harmon. Vraiment.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
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comte vonkrolock
- Messages : 10220
- Enregistré le : mer. févr. 28, 2007 6:32 pm
- Localisation : Dans les Carpathes Lyonnaises
Un très bon thriller mécanique, de bon acteurs Caviezel que j'avais pas trouvé aussi bon depuis la Ligne Rouge et un Colm Feore fameux en horrible golem de chair et de métal caché dans sa coquille d'acier, Rhona Mitra dans le rôle de la victime bien mise en valeur dans cette traque.
Un très bon Harmon qu'on croyait justement fini depuis Hitcher et ben non y tourne et c'est plutôt bien mis en scène dynamique et hapre,
EDIT en tout cas un million de fois mieux qu'un Boulvaré de la Morte
Bien vu en tous cas ton texte Machet
pour un film qui était bien passer inaperçue que se soit en salle ou bien en DVD.
et un Colm Feore fameux en horrible golem de chair et de métal caché dans sa coquille d'acier, Rhona Mitra dans le rôle de la victime bien mise en valeur dans cette traque.Un très bon Harmon qu'on croyait justement fini depuis Hitcher et ben non y tourne et c'est plutôt bien mis en scène dynamique et hapre,
EDIT en tout cas un million de fois mieux qu'un Boulvaré de la Morte
Bien vu en tous cas ton texte Machet
pour un film qui était bien passer inaperçue que se soit en salle ou bien en DVD.