Ca sent en effet de l"horreur comique, et au générique : Udo Kier, Barbara Crampton, Charlene Yi, Nelson Franklin et Thomas Lennon.
Ou en fait, il s'agit d'une convention célébrant les 30 ans des fameux meurtres d'André Toulon, où trois amis vont se retrouver face à des poupées nazies quelque peu déséquilibrées qui vont tenter de tuer tout le monde;
C'est en effet écrit par S. Craig Zahler (Bone Tomahawk, Brawl in cell block 99) et réalisé par les auteurs du pas très bon We Are Monsters.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Manolito a écrit : ven. déc. 07, 2018 12:49 pm
Je prépare la projection de ce samedi soir en m'écoutant la BO du film, signée Fabio Frizzi, disponible notamment sur Tidal...
Vache comme c'est nul. Alors oui c'est Gore mais qu'est-ce que ça rame de tous les côtés... Oubliez les 3 premiers films de la franchise, ici plus personne ne fournit le moindre effort. Le syndrome film spécialement conçu pour les amateurs de nanars a encore frappé. "plus c'est nul, plus ils riront"
Et pour l'avoir vu samedi soir à Gerardmer, je confirme que la plupart des gens ont apprécié. Typiquement le film à voir plutôt sur une télévision que sur grand écran. Sur grand écran, le sentiment de vide est encore plus évident.
C'est vide et c'est moche.
Un peu hard le Romain, je n'ai pas trouvé ça si nul, et au cinéma, cette pochade gore avec ses effets spéciaux traditionnels passent quand même correctement Après, c'est vrai que le fond est un peu pauvre, c'est une suite de scènes un peu dénuée d'âme, mais bon... Je l'avais vu au PIfff 2018 en séance de minuit, après avoir poireauté sous une pluie battante et je ne m'étais pourtant pas senti volé... L'avis que j'avais mis dans le thread du pifff :
"Puis séance de minuit très attendue de "Puppet Master: The Littlest Reich" de Sonny Laguna et Tommy Wiklund, sur un scénario de S. Craig Zahler. Une convention de collectionneurs des marionnettes d'André Toulon se réunit dans un hôtel. A la nuit tombée, la mort se déchaîne.
Le film idéal pour une séance de minuit dans un tel festival, bien photographié en scope, avec pleins d'effets gore garantie 100% live et sans ajout de CGI transgénique. La palme du mauvais goût allant au meurtre de la femme enceinte, à une décapitation dans des toilettes peu ragoutantes, ou au jouet bébé Hitler ! Le film tente une petite déclamation sur l'actualité des "Hate Crimes", mais on est quand même loin de la lourdeur revendicative d'un 'Assassination Nation". Quelques vedettes chers à nos coeurs sont présentes, comme Udo Kier, Michael Paré et Barbara Crampton. Cela étant dit, "Puppet Master: The Littlest Reich" est avant tout une succession, amusante et bien faite, de scènes gore mettant en scène les poupées tueuses : il ne faut pas chercher beaucoup plus loin, mais il se regarde sans ennui et le film a été confectionné avec bien plus de soin que la plupart des bâclages fauchés de Charles Band. Nous n'en demandions pas plus.6/10."
Ha oui, dont le Grand Prix... Là, je trouve que c'est un peu généreux quand même... Mais je n'ai vu que deux films dans le reste dans la sélection, pas terribles à mon sens...
De la photographique aux acteurs, en passant par le scénario ou les effets gores, tout y apparaît ridicule ou fade. Avec un scénario ultra confus et une fin totalement expédiée, ce nouvel opus de la saga Puppet Master brasse le mot "cheap" d'une incroyable force.
Malgré la réunion d'anciennes gloires du cinéma d'exploitation (Kier, Frizzi, Crampton, etc...), la sauce ne prend guère face à la déferlante gore et d'humour noir à base de racisme et pipi/caca.
Doté d'une photographie passable, les effets spéciaux s'avèrent tantôt agréables (l'animation des Puppets), tantôt profondément cheap, voir volontairement cheap. Et c'est là, la plus grande faiblesse du film : plutôt que d'assumer la faible portée du produit, ça se raccroche aux branches par le ridicule des situations, les effets cheaps et grand-guignolesque. Voir même la vulgarité des scènes (du cul, du cul, et de la pisse).
Un film de geek pour geeks, au point que j'ai cru à une version gore de Big Bang Theory (tout y est : les geeks ratés, la petite amie, l'irritable ami égocentrique, les blagues juives, les références méta..). Cependant, toutes les minorités sont ici présentes : les cases ont bien été cochées.
Le film n'ayant plus rien à voir avec la classe que pouvait avoir les premiers opus, il ne reste que peu en mémoire, et s'inscrit dans la vague des DTV ridicules actuels, dont l'humour gras et la vulgarité des effets / scènes n'apportent rien, si ce n'est descendre davantage le sujet.
Même la très discrète bande son signée en partie par Frizzi n'apporte rien, et seul le thème initial de Richard Band évite la méprise totale de l'épisode.
Je suis quand même moins dur que toi... Les blagues à base de pipi sont pas super nombreuse (une seule dans mes souvenirs) et celles sur le caca encore plus rares (d'où peut-être ma déception).
C'est juste que l'ensemble est trop cheap. La scène en ouverture censée se passer en 1989 ... Heureusement qu'il y a un comptoir pour nous faire accepter l'idée que ce soit un bar. On se croirait vraiment dans un Full Moon de Ted Nicolaou.
Et le nouveau design de Blade craint. Rendez-moi RETRO PUPPET MASTER!