Au final pas déçu, mais j'ai quand même trouver sa très long (131mn quand même). On retrouve bien ce coté crépusculaire dans le thème mélange de musique traditionnel et de saxophone jazz propre à cette fin de période prolifique du cinéma Nippon.
Un film de Yakuza qui tant complétement du coté de la tragédie Shakespearienne, avec un Tatsuya Nakadai encore une fois posséder par son personnage, on est pas loin du cinéma d'Okamoto.
Alors j'irais pas dire que j'ai trouvé ça aussi bon que Goyokin, non celui-ci est désormais intouchable difficile d'arrivé à mélanger aussi adroitement autant de genre en un seul film. Dans tous les cas je l'est plus apprécier que Hitokiri qui lui m'avait laisser sur un grand sentiment d'indifférence.
On sent bien que le cinéma de Gosha, que le cinéma Japonais tous court allait être différent après ce genre de neo polar à la sauce Yakuza. Si il y a bien quelques passage d'un érotisme teinté, pour Gosha sa semble le dernier grand film avec un thème fort et des personnages masculin tout autant. A l'aube des années 80 les films Japonais de genre n'auront plus du tout la même influence, Gosha devra tourner son cinéma dans une autre direction, en étant toujours proche de l'univers des Yakuzas.
Je précise que je n'est toujours pas vu les 4 films du 3ème coffret HK consacré à Hideo Gosha.
