Beigbeder continue (sa ligne de coke?) sa lançée dans le crachat au bassinet de ses amis et employeurs d'époque. là ce n'est pas plus triste que dans 99F, voire pire. le délire s'oriente dans du vent et qq rires dans les habitudes salaces de vieux russes boostés de drogues et naiades.
ça fuse quand même assez rapidement et incisivement dans les dialogues ou slogans, faut réussir à suivre ou faire qq marches arrières quand ça décolle, mais c'est plus de la provoc visuelle qu'un vrai raisonnement sur ces milieux. et au final on n'en retient pas grand chose pourtant, tellement c'était en mode déséqulibré, lent ou accéléré. pire, la fin toute mielleuse niveau morale, est bien ratée et retombe encore plus bas.
