Cap sur les étoiles - Harry Winer - 1986
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Cap sur les étoiles - Harry Winer - 1986
Titre original: Space Camp
C'est une production pour les ados des années 80 rêvant de conquête et de navette spatiales et d'ami robotique . L'histoire est peu crédible mais le film est agreable même si il est assez anecdotique. Les effets spéciaux sont soignés. A noter que ce film à la gloire de la NASA s'est planté car sa sortie a dû être repoussée suite à l'explosion de la navette Challenger le 28/01/1986.
Même si ce n'est pas un chef d'oeuvre, il est dommage que cdiscount n'ait sorti q'une VF au format recadré 4/3
C'est une production pour les ados des années 80 rêvant de conquête et de navette spatiales et d'ami robotique . L'histoire est peu crédible mais le film est agreable même si il est assez anecdotique. Les effets spéciaux sont soignés. A noter que ce film à la gloire de la NASA s'est planté car sa sortie a dû être repoussée suite à l'explosion de la navette Challenger le 28/01/1986.
Même si ce n'est pas un chef d'oeuvre, il est dommage que cdiscount n'ait sorti q'une VF au format recadré 4/3
Modifié en dernier par KX69 le dim. juin 11, 2006 9:43 pm, modifié 2 fois.
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Une teen comedy US de SF gentillette qui nous fait suivre les aventures d'une bande d'ados recrutés par la NASA pour un entrainement spatial qui tourne mal..
Tout y est y compris les stereotypes ados habituel: La punkette, la blondasse, l'intello etc.. et le robot indispensable à toute aventure depuis Star wars...
On notera la présence de Lea Thompson echappée de L'aube rouge et future copine zoophile de Howard le canard.
Bref, toute l'amérique des 80s en 90mn..
Tout y est y compris les stereotypes ados habituel: La punkette, la blondasse, l'intello etc.. et le robot indispensable à toute aventure depuis Star wars...
On notera la présence de Lea Thompson echappée de L'aube rouge et future copine zoophile de Howard le canard.
Bref, toute l'amérique des 80s en 90mn..
Modifié en dernier par eric draven le dim. juin 11, 2006 5:34 pm, modifié 1 fois.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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j'avais vu le film sur la vhs locative CBS/FOX en grand admirateur de Williams que je suis et pour tout dire je n'étais même pas allé jusqu'au bout !
Le film donnait vraiment trop l'impression d'être destiné à être servi avec un Happy Meal Mc Do - dépliant promo pour Cap Canaveral à destination des têtes blondes pas trop remplies. Sans grand interêt !
Le film donnait vraiment trop l'impression d'être destiné à être servi avec un Happy Meal Mc Do - dépliant promo pour Cap Canaveral à destination des têtes blondes pas trop remplies. Sans grand interêt !
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1986 :
Vu au Cinéma à l'époque (il y a bien longtemps au feu Gaumont Dijon -soupir-)... C'est assez pénible, longuet, bourré de bons sentiments qui bavent de partout... courage, amitié, patience, devouement..quelqu'un me souffle que la femme de Spielberg est l'héroïne adulte de la chose...hasard?
Bref, un film TV pour les gamins, pas méchant mais en droite ligne des produits 80's reaganiens de l'époque. Un beau flop d'ailleurs, qui conduisit la société de prod (ABC Motion Pict) à fermer ses portes définitivement.
2004 :
Le réalisateur a été catapulté à nouveau aux réal TV (de là où il venait d'ailleurs)
Kate Capshaw a fait un joli mariage avec un réalisateur de série B (faciiiile)
Lea Thompson a vu sa carrière décliner lorsqu'elle est devenue adulte (et donc, comme on l'a dit, avoir été reconnue coupable de relations sexuelles avec un canard (WC)
Kelly Preston a sombré dans la scientologie avec son travolta bouffi de mari (ce qui l'a aidé à maintenir sa carrière à flot parce qu'on peut pas dire que côté talent...)
Tom Skeritt a sombré dans les obscurs seconds roles
Pareil pour Barry Primus (avec une carrière de réal aux toilettes)
Idem pour Terry O'Quinn (les trois derniers sont loin d'etre dépourvus de talent, bien au contraire)
Tate Donovan n'a jamais su transformer son essai et jeune premier et est abonné aux obscurs seconds roles de quarantenaires en devenir.
...il n'y a guère que Joaquin Phoenix qui a eu de la chance dans ce truc. le seul à avoir survécu à ce naufrage interstellaire qui a largué tout le monde en route.
très dispensable.
Vu au Cinéma à l'époque (il y a bien longtemps au feu Gaumont Dijon -soupir-)... C'est assez pénible, longuet, bourré de bons sentiments qui bavent de partout... courage, amitié, patience, devouement..quelqu'un me souffle que la femme de Spielberg est l'héroïne adulte de la chose...hasard?

Bref, un film TV pour les gamins, pas méchant mais en droite ligne des produits 80's reaganiens de l'époque. Un beau flop d'ailleurs, qui conduisit la société de prod (ABC Motion Pict) à fermer ses portes définitivement.
2004 :
Le réalisateur a été catapulté à nouveau aux réal TV (de là où il venait d'ailleurs)
Kate Capshaw a fait un joli mariage avec un réalisateur de série B (faciiiile)
Lea Thompson a vu sa carrière décliner lorsqu'elle est devenue adulte (et donc, comme on l'a dit, avoir été reconnue coupable de relations sexuelles avec un canard (WC)
Kelly Preston a sombré dans la scientologie avec son travolta bouffi de mari (ce qui l'a aidé à maintenir sa carrière à flot parce qu'on peut pas dire que côté talent...)
Tom Skeritt a sombré dans les obscurs seconds roles
Pareil pour Barry Primus (avec une carrière de réal aux toilettes)
Idem pour Terry O'Quinn (les trois derniers sont loin d'etre dépourvus de talent, bien au contraire)
Tate Donovan n'a jamais su transformer son essai et jeune premier et est abonné aux obscurs seconds roles de quarantenaires en devenir.
...il n'y a guère que Joaquin Phoenix qui a eu de la chance dans ce truc. le seul à avoir survécu à ce naufrage interstellaire qui a largué tout le monde en route.
très dispensable.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Juste une précision; ce n'est pas Joaquim Phoenix mais l'autre frère de River qui joue dans le film, Leaf Phoenix. 

Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
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Trouvé le DVD ce WE ce qui m'a permis de revoir ce film point revu depuis sa sortie.. Petite review:
Réalisé alors que la réputation de la NASA est au plus bas afin de redorer son blason, SpaceCamp est une sorte d'ode qui lui est dédiée mais qui pourtant fut un cuisant échec à sa sortie, la mission Challenger ayant en lus échoué.
Pourtant, SpaceCamp n'est pas un vilain film en soi, il est même plaisant à suivre et a de plus bien vieilli.
SpaceCamp c'est toute la splendeur de la jeunesse américaine ici representée par 5 ados tout aussi lisses que le crane d'un chauve, plus que désireux de vivre leur rêve d'aller dans l'espace ce que ces Camps leur offre en simulation.
Courage, vertu, dévotion, entraide et amitié, voilà le stereotype parfait du film de famille modèle le tout baigné dans l'enivrante BO de John Williams.
SpaceCamp peut se voir à deux niveaux: ce déluge de bons sentiments peut crisper au même titre que ces 5 ados tout plus caricaturaux les uns que lse autres.
On a droit à la godiche branchée, le jeune draguer, l'intelo parfaire et le gamin qui vità travers Star wars et dont l'unique ami est un robot, l'indispensable a tout film depuis SW qui cete fois est une boule à tentacules sur laquelle on a greffé la voix de N°5.
Le film est truffé de references à SW et amusant ou irritant, c'est en évoquant la Force que le gamin sauvera l'astronaute en péril. Les dialogues dans la VF du moins alternent niaiserie et fadeur sonnant aussi vide que le l'espace intersideral et bien entendu tout est bien qui finit bien dans le plus parfait heroïsme.
Sur un autre plan, SpaceCamp séduit par ses décors et ses F/X qui aujourd'hui encore passent encore trés bien et le plus agréable reste peut être la part de rêve qu'il pavient à véhiculer, cette attirance pour l'espace qu'on a tous quelque part en nous et ce désir de se propulser à travers les étoiles quand nous étions enfants.
Aux commandes de la navette, Tom Skeritt et la Capshaw
entourés d'une bande d'adolescents tous plus ingrats les uns que les autres mais qui firent tous une enorme carrière contrairemnt à ce que SWS déclare: Tate Donovan qui a fait une fulgurante carrière TV, Kelly Preston en godiche déjà vue dans Christine, Metalstorm et aux cotés de Thomas Howell dans Secret admirer ou Tiger's tale avant de faire carrière tout aussi explosive à la TV, Joaquim Phoenix en gamin tête à claques et l'insupportable Lea Thompson, la Thompson dans son rôle habituel de fille modèle.
Sympathique film tout mievre soit il avec ses airs de pellicule pour têtes blondes américaines parfaites, future élite
, idéal donc pour une distraction familliale ou pour plaisir solitaire un soir de rêverie cosmique quand on se sent l'âme pure et immaculée.
Le DVD propose malheureusement le film recadré et uniquement en VF.
Dispo a 3E à Auchan actuellement pour les interessés..
Réalisé alors que la réputation de la NASA est au plus bas afin de redorer son blason, SpaceCamp est une sorte d'ode qui lui est dédiée mais qui pourtant fut un cuisant échec à sa sortie, la mission Challenger ayant en lus échoué.
Pourtant, SpaceCamp n'est pas un vilain film en soi, il est même plaisant à suivre et a de plus bien vieilli.
SpaceCamp c'est toute la splendeur de la jeunesse américaine ici representée par 5 ados tout aussi lisses que le crane d'un chauve, plus que désireux de vivre leur rêve d'aller dans l'espace ce que ces Camps leur offre en simulation.
Courage, vertu, dévotion, entraide et amitié, voilà le stereotype parfait du film de famille modèle le tout baigné dans l'enivrante BO de John Williams.
SpaceCamp peut se voir à deux niveaux: ce déluge de bons sentiments peut crisper au même titre que ces 5 ados tout plus caricaturaux les uns que lse autres.
On a droit à la godiche branchée, le jeune draguer, l'intelo parfaire et le gamin qui vità travers Star wars et dont l'unique ami est un robot, l'indispensable a tout film depuis SW qui cete fois est une boule à tentacules sur laquelle on a greffé la voix de N°5.
Le film est truffé de references à SW et amusant ou irritant, c'est en évoquant la Force que le gamin sauvera l'astronaute en péril. Les dialogues dans la VF du moins alternent niaiserie et fadeur sonnant aussi vide que le l'espace intersideral et bien entendu tout est bien qui finit bien dans le plus parfait heroïsme.
Sur un autre plan, SpaceCamp séduit par ses décors et ses F/X qui aujourd'hui encore passent encore trés bien et le plus agréable reste peut être la part de rêve qu'il pavient à véhiculer, cette attirance pour l'espace qu'on a tous quelque part en nous et ce désir de se propulser à travers les étoiles quand nous étions enfants.
Aux commandes de la navette, Tom Skeritt et la Capshaw


Sympathique film tout mievre soit il avec ses airs de pellicule pour têtes blondes américaines parfaites, future élite


Le DVD propose malheureusement le film recadré et uniquement en VF.
Dispo a 3E à Auchan actuellement pour les interessés..
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
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