VF : La Maison qui tue.
Film à sketch de la firme Amicus, qui sortit chez Bach Films en DVD, arrivent Blu Ray chez Scream en 05/2018:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=10463
The House that Dripped Blood / La maison qui tue - Peter Duffell (1971)
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The House that Dripped Blood / La maison qui tue - Peter Duffell (1971)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The House that Dripped Blood - Peter Duffell (1971)
Comme le signalait Marija dans sa chronique sur le site, "La maison qui tue" est une jolie réussite du film à sketchs gothique, avec surtout une superbe distribution, un ton maîtrisé, une succession d'histoires sans vrai point faible, et sans ennui...
Vu il y a longtemps, sur le dvd bach...
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Re: The House that Dripped Blood / La maison qui tue - Peter Duffell (1971)
N'ayant pas vu Le Jardin Des Supplices et les Contes Aux Limites de la Folie, difficile de se faire une idée précise sur lequel est le moins réussit des films de cette série produit par la Amicus. Pourtant j'avoue ne pas avoir adhérer complétement a cette Maison qui Tue. Pour moi s'est clairement malgré son succès en salle, le film qui m'aura bien le plus déçu de par son rythme et la simplicité des histoires.
Des segment à chaque fois trop classique et jamais réellement originaux, le seul qui essaye de s’extirpe un peut de cela est le dernier avec cette histoires de vampire traité de manière plus légère avec un humour typiquement Britannique. Ont est bien loin de l'efficacité des Contes d'Outre-Tombe, du Caveau de la Terreur ou de Asylum. la touche Milton Subotsky contrairement à celle de Robert Block (Psychose) qui allais directement droit à l'essentiel. Tel l'esprit des EC Comics d'où étaient tirés ces histoires.
Ici se n'est pas le cas, ont sent que le réalisateur Peter Duffell issu de la TV, parait presque s'être complétement effacé derrière le romancier Robert Block comme le dis si bien Laurent Akenin dans les bonus. Ces sketchs bien que très réussit sur la forme (surtout le premier) peine à intéresse leur spectateur actuel, du moins s'est mon cas.
En jouant finalement que peut sur un retournement de situation final, une fin trop souvent accompagnés, et qui ne laisse aucun place au doute en dehors du premier sketch avec Denholm Elliott, là n'est clairement pas la force de ces courts-métrage. Se sont bien sûr plus les acteurs comme Christopher Lee plus habituer à être du mauvais coté, qui sont ici les seul bénéficiaire de se genre de revirement.
Clairement des sketchs qui laisse sur leurs fin et bien trop long et loin donc de l'efficacité de ceux qui viendrons par la suite, mais qui ne connaitrons pas le même succès non plus....
Par contre coté copie HD, cette Maison qui Tue est certainement celle à avoir bénéficier du meilleurs matériel sur le support DVD/BR, une copie qui brille de mille feux, avec un jolie grain argentique qui fera les beaux jours des passionnés du support physique. Rien que pour ça l'édition ESC vaut clairement le coup d’œil. Cela ne m'étonnerais pas que le master utiliser soit le même que celui sortie par Shout Factory, voir test Bluray.com
https://www.blu-ray.com/movies/The-Hous ... 81/#Review

Des segment à chaque fois trop classique et jamais réellement originaux, le seul qui essaye de s’extirpe un peut de cela est le dernier avec cette histoires de vampire traité de manière plus légère avec un humour typiquement Britannique. Ont est bien loin de l'efficacité des Contes d'Outre-Tombe, du Caveau de la Terreur ou de Asylum. la touche Milton Subotsky contrairement à celle de Robert Block (Psychose) qui allais directement droit à l'essentiel. Tel l'esprit des EC Comics d'où étaient tirés ces histoires.
Ici se n'est pas le cas, ont sent que le réalisateur Peter Duffell issu de la TV, parait presque s'être complétement effacé derrière le romancier Robert Block comme le dis si bien Laurent Akenin dans les bonus. Ces sketchs bien que très réussit sur la forme (surtout le premier) peine à intéresse leur spectateur actuel, du moins s'est mon cas.
En jouant finalement que peut sur un retournement de situation final, une fin trop souvent accompagnés, et qui ne laisse aucun place au doute en dehors du premier sketch avec Denholm Elliott, là n'est clairement pas la force de ces courts-métrage. Se sont bien sûr plus les acteurs comme Christopher Lee plus habituer à être du mauvais coté, qui sont ici les seul bénéficiaire de se genre de revirement.
Clairement des sketchs qui laisse sur leurs fin et bien trop long et loin donc de l'efficacité de ceux qui viendrons par la suite, mais qui ne connaitrons pas le même succès non plus....

Par contre coté copie HD, cette Maison qui Tue est certainement celle à avoir bénéficier du meilleurs matériel sur le support DVD/BR, une copie qui brille de mille feux, avec un jolie grain argentique qui fera les beaux jours des passionnés du support physique. Rien que pour ça l'édition ESC vaut clairement le coup d’œil. Cela ne m'étonnerais pas que le master utiliser soit le même que celui sortie par Shout Factory, voir test Bluray.com
https://www.blu-ray.com/movies/The-Hous ... 81/#Review

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
Snake Plisken Escape from NY

Snake Plisken Escape from NY
Re: The House that Dripped Blood / La maison qui tue - Peter Duffell (1971)
Revu sur le blu ray de ESC.
La première histoire nous montre un couple emménager dans la maison. L'homme est un auteur ne tarde pas à voir des apparitions inquiétantes de son personnage fictif. C'est assez réussie et plaisant, une bonne entrée en matière.
Dans la seconde histoire, un retraité découvre, dans un musée de cire, une statue qui ressemble étrangement à une femme qu'il a aimée.
Cela reste assez bien, et finalement assez classique, mais on reste un peu sur notre faim.
Dans la troisième histoire, un homme engage une institutrice à domicile pour qu'elle s'occupe de sa jeune fille qu'il isole des autres.
Christopher Lee est très bon dans ce segment, mais c'est surtout le trio qu'il forme entre cette enfant et l'institutrice qui est intéressant. Sans doute, mon histoire préférée du film.
La quatrième histoire nous montre un acteur, dépité par le film qu'il tourne, acheter une cape aux pouvoirs spéciaux. Ce segment ajoute un peu d’humour et de charme (par la présence de Ingrid Pitt). Il est assez différent des autres et très sympathique.
C'est le segment qui rejoint le fil de l'histoire, avec un inspecteur de police venu enquêter sur une disparition.
Et il faut dire que c'est assez ingénieux et l'ensemble est bien ficelé.
L’ensemble est pas mal du tout, même s'il manque, sans doute, une histoire aussi excellente que celle des aveugles qui clôturait Histoires d'outre-tombe.
La copie est très bonne. Son sans problème.
Par contre, il y a quelques rares sous-titres, qui ont disparu. Un manque de vigilance de ESC.
Les suppléments :
Toujours la même présentation de la Amicus et une présentation du film, par Laurent Aknin, agréable mais partielle.
La première histoire nous montre un couple emménager dans la maison. L'homme est un auteur ne tarde pas à voir des apparitions inquiétantes de son personnage fictif. C'est assez réussie et plaisant, une bonne entrée en matière.
Dans la seconde histoire, un retraité découvre, dans un musée de cire, une statue qui ressemble étrangement à une femme qu'il a aimée.
Cela reste assez bien, et finalement assez classique, mais on reste un peu sur notre faim.
Dans la troisième histoire, un homme engage une institutrice à domicile pour qu'elle s'occupe de sa jeune fille qu'il isole des autres.
Christopher Lee est très bon dans ce segment, mais c'est surtout le trio qu'il forme entre cette enfant et l'institutrice qui est intéressant. Sans doute, mon histoire préférée du film.
La quatrième histoire nous montre un acteur, dépité par le film qu'il tourne, acheter une cape aux pouvoirs spéciaux. Ce segment ajoute un peu d’humour et de charme (par la présence de Ingrid Pitt). Il est assez différent des autres et très sympathique.
C'est le segment qui rejoint le fil de l'histoire, avec un inspecteur de police venu enquêter sur une disparition.
Et il faut dire que c'est assez ingénieux et l'ensemble est bien ficelé.
L’ensemble est pas mal du tout, même s'il manque, sans doute, une histoire aussi excellente que celle des aveugles qui clôturait Histoires d'outre-tombe.
La copie est très bonne. Son sans problème.
Par contre, il y a quelques rares sous-titres, qui ont disparu. Un manque de vigilance de ESC.
Les suppléments :
Toujours la même présentation de la Amicus et une présentation du film, par Laurent Aknin, agréable mais partielle.