
A croire que je vais devenir un spécialiste dans le genre particulier du film inutile, après Assassin Creed, un nouveau massacre. Jusqu'alors ont avait eu droit à des adaptations comics qui éventuellement accouchais d'un spectacle distrayant car la base le comics dont il était issu avait le minimum de potientiel syndicale qui se prêtait à l'exercice du film d'action à grand spectacle (The Losers par exemple).
Aujourd'hui s'est clairement plus le cas, au vu de ce qu'est le graphic novel The Coldest City et à l'arrivé se qu'il donne à l'écran, et pourtant sa partait plutôt bien Charlize Theron qui avait déjà eu la malchance de tenté l'aventure par le passé dans le genre (Aeonflux) pouvait pas se loupé à ce point de nouveau, s'est simple s'est pire que le film de Karyn Kusama. Surtout que quand ont le comparer par exemple à deux autres films d'une actrices que j'apprécie peut à l'écran Angelina Jolie, les films de Timur Bekmambetov (Wanted dans lequel ont retrouve également James McAvoy bien plus inspiré) ou celui de Philip Noyce (Salt) passe largement pour des spectacles que je recommanderais chaudement comparer à cette tiédasse pellicule qu'a été le visionnage de Atomic Blonde.
On jurerais que Leitch à construit sont film autour d'une ou deux séquences d'actions, et qu'il n'y aurais rien autour. Sa parle de guerre froide, de mur séparant l'est et l'ouest, d'espions, d'agent double, triple, de taupe, tout les stéréotypes y sont... Pourtant s'est mauvais surtout si ont le comparer directement au récent Agents Très Spéciaux -Code U.N.C.L.E-.
Dés les premières minutes l'intrigue centrale est expédier plus aucun doute sur l'identité du traitre, à aucun moment je n'est eu le minimum empathie devant ces cyborg mal dégrossi à l'écran. Là ou Michael Caine arrivait à intréssé sont spectateur avec son personnage ultra froid de Harry Palmer sur la partition de John Barry, sa fonctionnais. Sur ce Atomic Blonde ont vous colle le joli morceau de Bowie Cat People (Putting Out Fire) qui faisait parti du remake du remake de la Féline mais sa fonctionne pas. Ont a une sorte de Jason Bourne, mais on y croit a aucun moment. Ces personnages d'agents, mal interpréter, presque surjoué. Une Charlize Theron qui se bat mieux qu'une armé surentrainé de tueur d'élite, ok d'accord. Mais à coté qui passe le plus clair de son temps à descendre des verres de vodka plus vite qu'un routier Polonais....

Leitch avec se troisième métrage que je découvre, viens de prouvé qu'il n'est en rien d'autre qu'un réalisateur de seconde équipe seulement capable de monter des séquences, d'actions, clairement la réussite de Deadpool 2 n'est en rien de son ressort. Il est un simple et heureux exécutif au service des gens qui le payent. Donc a déconseiller à moins d'avoir près de 2H à perdre de son temps
