Hwang et Jung, deux anciens camarades de classe, se retrouvent après 15 ans. Au cours du repas, occultant leurs échecs respectifs, ils se remémorent la terreur et les attaques des élèves des milieux sociaux plus aisés.
Enfin vu cet électrochoc du renouveau du cinéma d'animation Coréen présenté à la quinzaine des réalisateurs à Cannes en 2012, derrière se drame le réalisateur du très gros succès au box office du Dernier Train pour Busan et de sa préquelle animé Station Seoul.
Un film d'animation qui a couté 150 000 $ avec une animation basique, mais à l'écran sa ne se ressent à aucun moment se manque de budget. Bien au contraire on a même droit a quelques belle prouesse technique. Preuve que même avec peut de dollars quand le talent est au rdv sa crève l'écran.
Et en effet Yeon Sang-Ho avec son histoire d'ancien élève qui ont subit la terreur de petit frappe et se retrouve bien des années plus tard évite les clichés qu'ont pourrait retrouvé par exemple dans un des romans Stephen King, non ici s'est pas Stand by My mais plutôt Délivrance de Boorman
En Corée du Sud tout est loin d'être rose dans les collège et lycée, et s'est bien une claque auquel ont assiste sur plus d'une heure trente (le métrage fait tout de même 96mn).
S'est efficace et Yeon Sang-Ho à intégré à son animé la manière de faire d'un vrai film fait en live. Se qui fait qu'ont est pris par se drame, avec cette violence qui marque durablement. Et puis il y a se twist final, qui montre qu'un animé peut-être à la hauteur des plus grand films tourner sur pellicule.
Vu sur le BR éditer par Spectrum Films encore une fois rien à reprocher à cette copie HD en tout point parfaite. En bonus, une bande-annonce ainsi qu'une intervention de Julien Sévéon (15m). Certes s'est peut mais le métrage se suffit à lui même.
