Send me No Flowers ( Ne m'envoyez pas de fleurs) - Norman Jewison (1964)

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Superwonderscope
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Send me No Flowers ( Ne m'envoyez pas de fleurs) - Norman Jewison (1964)

Message par Superwonderscope »

Un hypochondriaque (Rock Hudson) apprend par erreur qu'il ne lui reste quelques semaines à vivre. il décide alors de trouver un nouveau mari à sa femme (Doris Day) afin de lui assurer un bonheur le plus parfait possible.

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Dernière collaboration pour le couple Hudson/Day qui avait quelque peu secoué la comédie US à la fin des 50's / début 60's avec Confidences sur l'Oreiller. Un film avec Doris day était le succès assuré. Epitome de la prude américaine virginale faussement révoltée, elle remporta un énorme succès avec the Thrill of it all, cette fois-ci en compagnie de James Garner - et par Norman Jewison, qui rempile ici.

La comédie s'avère hélas moins réussie. cette fois-ci, Hudson et day ne cherchent plus à consommer avant le mariage, car ils sont mariés. Les quiproquos sur a situation d'Hudson et ce que comprend Day comme étant une supercherie pour qu'il couche ailleurs prend un peu de temps à décoller. Hudson est un peu réduit à pas grand chose à faire, si ce n'est d'entr'ouvrir sa chemise. Day se démène comme elle peut, mais une fois de plus, ce sont les seconds roles comme Tony Randall (rendu dépressif et alcoolique à l'annonce de la mort prochaine de son meilleur ami) ou Paul Lynde en responsable de cimetière qui font le job.

Ca n'est pas désagréable à suivre, le tempo est plutôt bien donné dans le genre farce domestique tendance Feydeau 60's, mais c'est quand même le moins bon des 3 films du couple. Un peu de slapstick au début donne à espérer un peu de fantaisie, mais pas vraiment.

Le films era néanmoins encore un gros succès pour Day et Universal (sauf en France où elle ne brillera plus vraiment passé Un Soupçon de Vison en 1962), elle aura encore un numéro 1 avec la chanson du film et son mari (Marvin Melcher) continuera à la flouer pour des projets qui commenceront à sentir le roussi, qu'elle ne voulait plus vraiment faire à compter de Caprice - jusqu'à la banqueroute en 1969, au grand dam de l'actrice/chanteuse qui se retirera du grand écran...

lE BLU rAY US Universal est pas vraiment formidable. Il est all zone, avec une piste VO DTS HD MA 2.0 , avec des sta et stf, plus le film annonce. 1.85:1 et 100mn
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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