Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- Messages : 6311
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
- Contact :
Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Quels sont vos enthousiasmes et rejets cinéphiles de l'année?
Je me lance...:
TOP, du plutôt très bon au sympa...:
"Douleur et gloire"
"Joker"
"Retour à zombieland"
"Marie Stuart reine d'écosse"
"Notre dame"
"Last Christmas"
"The operative"
"Dario Argento soupirs dans un corridor lointain"
"Alice et le maire"
"Rambo last blood"
"La favorite"
"Sang froid"
FLOP, de la déception, du flan et/ou du fiasco...:
"Midsommar"
"Domino"
"Le daim"
"Child's play"
"Crawl"
"Terminator dark fate"
"Doctor sleep"
"Star wars 9"
"Greta"
"Parasite"
"Once upon a time in Hollywood"
Je me lance...:
TOP, du plutôt très bon au sympa...:
"Douleur et gloire"
"Joker"
"Retour à zombieland"
"Marie Stuart reine d'écosse"
"Notre dame"
"Last Christmas"
"The operative"
"Dario Argento soupirs dans un corridor lointain"
"Alice et le maire"
"Rambo last blood"
"La favorite"
"Sang froid"
FLOP, de la déception, du flan et/ou du fiasco...:
"Midsommar"
"Domino"
"Le daim"
"Child's play"
"Crawl"
"Terminator dark fate"
"Doctor sleep"
"Star wars 9"
"Greta"
"Parasite"
"Once upon a time in Hollywood"
Modifié en dernier par dario carpenter le mar. déc. 31, 2019 8:47 pm, modifié 1 fois.
-
- Messages : 3126
- Enregistré le : dim. mai 02, 2004 4:39 pm
- Localisation : Nice [ France ]
- Contact :
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
2019 bien tristouille.
Je retiens en +:
Joker
Midsommar
Le chant du loup
Alita
John Wick 3
Et en -:
Once upon a time in hollywood
Tous les Marvels
Je retiens en +:
Joker
Midsommar
Le chant du loup
Alita
John Wick 3
Et en -:
Once upon a time in hollywood
Tous les Marvels
-
- Messages : 6311
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
- Contact :
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Même ressenti

-
- Messages : 3126
- Enregistré le : dim. mai 02, 2004 4:39 pm
- Localisation : Nice [ France ]
- Contact :
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Peut-être influencé un peu par ma vie privée mais quand même. J'ai atteint l'overdose de Marvel et de super héros cette année.
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Liste que je compléterais plus tard (J'ai encore pas mal de films à voir)
Les Bons :
Hell Fest
A couteaux Tirés
Alita
Star Wars 9
Wedding Nightmare
Parasites
Crawl
Brightburn
Prospect
You Might Be The Killer
Escape Game
Predateur
Scary Stories
Retour à zombieland
The Devil's Hour
Pas bons :
Black Christmas
Child's play
Le chant du loup
Midsommar
Les Bons :
Hell Fest
A couteaux Tirés
Alita
Star Wars 9
Wedding Nightmare
Parasites
Crawl
Brightburn
Prospect
You Might Be The Killer
Escape Game
Predateur
Scary Stories
Retour à zombieland
The Devil's Hour
Pas bons :
Black Christmas
Child's play
Le chant du loup
Midsommar
Modifié en dernier par Drac le sam. déc. 28, 2019 11:38 am, modifié 3 fois.
-
- Messages : 6311
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
- Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
- Contact :
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Je l'avais oublié celui-là..."les citrons"!

-
- Messages : 1160
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 3:47 am
- Localisation : sur la route d'Amboy
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
2019: rien de très bon pour moi.
A peine j'arrive à extraire quelques films que j'ai noté 7/10 sur IMDB:
-Yesterday (sûrement parce que c'est) de Danny Boyle
-Fractured (sûrement parce que c'est) de Brad Anderson
-Once Upon a Time in Hollywood (sûrement parce que c'est) de Quentin Tarantino
EDIT: je rajoute le très bon Ford V Ferrari (Le Mans 66) que j'ai vu depuis ce post: pour moi le meilleur film de 2019 que j'ai vu.
Pour les mauvais film en revanche, 2019 a été une excellente cuvée.
La liste des films médiocres est si longue que j'ai la flemme de la noter, mais pour les pires (notés en dessous de 4/10) je retiendrai:
- Zombieland 2
- The Irishman
- Shaun le mouton 2
- The Dead don't Die
- Alladin
- Pet Sematary
- Us
A peine j'arrive à extraire quelques films que j'ai noté 7/10 sur IMDB:
-Yesterday (sûrement parce que c'est) de Danny Boyle
-Fractured (sûrement parce que c'est) de Brad Anderson
-Once Upon a Time in Hollywood (sûrement parce que c'est) de Quentin Tarantino
EDIT: je rajoute le très bon Ford V Ferrari (Le Mans 66) que j'ai vu depuis ce post: pour moi le meilleur film de 2019 que j'ai vu.
Pour les mauvais film en revanche, 2019 a été une excellente cuvée.
La liste des films médiocres est si longue que j'ai la flemme de la noter, mais pour les pires (notés en dessous de 4/10) je retiendrai:
- Zombieland 2
- The Irishman
- Shaun le mouton 2
- The Dead don't Die
- Alladin
- Pet Sematary
- Us
Modifié en dernier par hitcher le lun. janv. 06, 2020 8:40 am, modifié 1 fois.

Si on m'avait dit qu'un jour le forum Devil Dead tomberait dans les mains de personnes woke et intolérantes.

Et pourtant...
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Une année effectivement assez terne avec presque plus de déceptions que de surprises.
Voici néanmoins mon TOP 20 du meilleur au moins bon:
Green book
Dans cette reconstitution assez réaliste de l'Amérique des années 1960, on assiste à la rencontre entre deux personnalités que tout oppose. Un choc culturel et racial qui doit beaucoup à l'interprétation remarquable de Viggo Mortensen et de Mahershala Ali. Un road movie particulièrement savoureux, durant lequel sont évoqués avec beaucoup d'humour mais aussi de gravité des thèmes comme la ségrégation raciale ou la perception de l'autre. Même si l'exercice se révèle un peu long, le plaisir de voir évoluer ce duo improbable et les multiples surprises du scénario permettent de passer un très bon moment.
Douleur et gloire
Cette œuvre très personnelle de Pedro Almodovar, dresse le portrait touchant d'un homme en pleine dépression et qui, au hasard des rencontres, va retrouver non seulement l'inspiration mais aussi le goût de la vie. Un film profond, très émouvant, délicieusement mélancolique et brillant dans son propos. Une œuvre capitale dans la filmo du réalisateur espagnol, épaulé par un Antonio Banderas qu'on a rarement vu aussi bon à l'écran.
Wild Rose
A l'image de son héroïne incarnée avec fougue par l'étonnante Jessie Buckley, Wild Rose est une success story qui affiche un sacré tempérament. On y découvre effectivement un actrice incroyable, dont la prestation artistique et scénique mériterait à coup sûr un Oscar. Un film qui a de la trempe, avec des moments dramatiques et d'autres plus touchants, et dont le final au relent de feel good movie fait énormément de bien.
Toy story 4
Alors que le précédent film clôturait en beauté la trilogie, ce retour inattendu légitimise brillamment son existence en focalisant son laïus sur le personnage de Woody. Un joli moment d'émotion et une fin de cycle qui renouent avec brio avec la nostalgie, l'inventivité, la drolerie mais aussi la poésie dont a fait miraculeusement preuve la saga jusqu'ici.
Parasite
Si l'emballement autour de Parasite est un peu exagéré, il faut bien admettre qu'en terme de mise en scène et de propos le film de Bong Joon Ho ne s'expose à aucune réprimande. Par ailleurs, le récit jusqu'à son terme se révèle bien mené et ne souffre quasiment d'aucune longueur. Les relations entre chaque membre de la petite cellule familiale aurait toutefois gagné à être mieux développées afin de rendre le final encore plus dramatique.
Art of Racing in the Rain (The)
Le film propose de se mettre à la place d'un chien (dont la voix off est assurée en vo par Kevin Costner) dont l'existence doit composer avec la vie plus où moins mouvementée d'un coureur automobile. Bien sûr le film va développer pas mal de moments dramatiques durant lesquels l'animal n'aura qu'un rôle d'observateur. L'émotion fonctionne en tout cas très bien, même si l'acteur Milo Ventimiglia n'est pas toujours forcément très bien dirigé. On appréciera aussi tout le propos autour de l'idée de la réincarnation et qui permet au récit de clôturer de bien belle façon.
Journal 64
La 4ème enquête cinématographique du département V se révèle rondement menée, avec toujours ces fameux flashbacks qui mettent en lumière certains aspects du scénario. C'est bien écrit, les relations entre les personnages sont très finement esquissées, il y a de l'humour, de l'émotion. Décidément, cette saga se bonifie avec le temps et on a déjà hâte de découvrir le prochain épisode.
Alex, le destin d'un roi
En terme de divertissement pour la jeunesse, ce film épate pour le sérieux avec lequel il a été mené. En effet, que ce soit au niveau de la musique, du rythme et surtout de la mise en scène, cette œuvre offre un travail de grande qualité. En plus c'est souvent drôle (même pour un public adulte) et les jeunes acteurs font plutôt bien le job. Avec de tels atouts, on serait presque désireux de voir débarquer une suite.
Intime conviction (Une)
Inspirée de l'affaire viguier, ce thriller judiciaire se révèle efficace, prenant et pointe avec justesse les aberrations et autres difficutés qui peuvent accompagner ce type de procès.
Star Wars: L'ascension de Skywalker
Après des débuts particulièrement maladroits en terme de narration, le récit trouve enfin son rythme à coup d'ajustements scénaristiques parfois bancals et de révélations plus ou moins bien troussées. Heureusement le spectacle fait son travail jusqu'à s'aventurer sur un final particulièrement réussi en terme d'émotions.
Celle que vous croyez
Un film très actuel (Une relation se noue à travers les réseaux sociaux) et qui va dresser un portrait particulièrement touchant d'une quinquagénaire. Bien évidemment Juliette Binoche s'implique totalement dans le rôle de cette femme blessée pour aboutir sur un dénouement non seulement inattendu mais aussi particulièrement osé pour notre époque (à l'heure du mouvement metoo and Co).
Mystère d'Henri Pick (Le)
Un film passionnant où le mystère entourant le personnage d'Henry Pick tient en haleine jusqu'à la fin du récit. C'est aussi un des rares long métrages à développer une critique assez pertinente du monde de l'édition (on évoque les fiches de lecture, les romanciers bidons et les éditeurs sans scrupules) et les textes perdus cachant (parfois) de vrais chef-d'oeuvres. Biensûr Fabrice Luchini y est excellent au milieu d'acteurs qui ont pourtant été globalement assez mal dirigé (c'est même parfois assez problématique).
Child's Play: La poupée du mal
Dans cette ère de suites très souvent superflues et peu inspirées, ce reboot que l'on attendait pas forcément fait presque office de petit miracle. Car en dehors du look assez particulier de ce nouveau Chucky (mais finalement en accord avec son temps), la réalisation, les dialogues et les mises en situation à la fois drôles et décapantes font de cet opus une très bonne surprise.
Brightburn
Même si l'idée de départ aurait pu être exploitée avec beaucoup plus d'envergure, l'aboutissement en mode slasher (avec des effets gores qui font mal) se révèle tout à fait convainquant. Par ailleurs, pour un concept, qui relève tout de même du délire (on s'amuse ici à détourner la figure du bien qui est Superman), la mise en scène est étonnamment inspirée et profite d'une interprétation solide.
Nicky Larson et le parfum de Cupidon
Après des débuts un peu balbutiants avec un Philippe Lacheau au jeu bien trop scolaire, le film trouve enfin son rythme et accumule les situations amusantes. On ne rie pas aux éclats, mais le côté décontracté de l'entreprise, traversé par des clins d'œil et autres caméos désopilants, contribue à faire de cette production un moment vraiment agréable.
Spider-Man: Far from Home
Après une pirouette scénaristique très discutable, on retrouve toute la bande de lycéens du 1er film autour d’un Spider-man qui tente de surmonter la perte de son mentor. Un épisode très très léger au point de prendre parfois des allures de comédie pour adolescents (on pense beaucoup à certaines production Disney des années 70…). Ceci dit, cet opus se révèle plutôt inspiré et offre quelques séquences véritablement marquantes (dans ce registre, le climax de fin est même assez grandiose). Et au final, même si on peut regretter d’énormes facilités scénaristiques et un humour parfois bancal, dans l’ensemble cette aventure recèle suffisamment de surprises visuelles et scénaristiques pour nous faire passer un bon moment.
Rocketman
Presque davantage une comédie musicale qu'un biopique, ce film profite d'une réalisation vraiment inspirée qui confère à certain passages musicaux une dimension presque épique. Les acteurs sont tous très bons et les titres, pour une fois, ont été choisis pour nourrir l'histoire et non le contraire. Seul bémol, en tant qu'œuvre musicale, on n'échappe pas au schéma classique du genre (avec le sempiternel dénouement sous forme de rédemption...).
Alita: Battle angel
Malgré un James Cameron à la prod, c'est surtout le cinéma foutraque de Robert Rodriguez qui se fait ressentir en voyant Alita. La narration est donc parfois bancale, les scènes d'action inégales (le 1er combat est complètement à côté de la plaque en terme de rythme) et le développement des personnages n'est pas toujours très finement ajusté. Le show parvient néanmoins a conserver ce qui faisait l'essence du manga de Yukito Kishiro, à savoir des personnages attachants, une romance qui tient la route et quelques scènes d'action bien troussées. Un sympathique moment de récréation qui ferait presque oublier la laideur d'une photographie qui se noie dans les CGI.
Chant du loup (Le)
Dans le genre "film de sous-marin" le duo de réalisateurs français Antonin Baudry et Abel Lanzac effectue de l'excellent travail notamment grâce à un scénario imprévisible et qui offre pas mal de moments d'angoisse. Le suspense solidement maintenu va même jusqu'à rappeler le fameux "Point limite" de Sidney Lumet. Un très bon film qui est seulement altéré par d'énormes erreurs de casting (Omar Sy et Réda Kated ne sont clairement pas à leur place).
Retour à Zombieland
Sans être hilarante, cette suite zombiesque se montre plutôt inspirée et déploie un certain nombre de situations véritablement amusantes. Un épisode qui relève tout de même de la bonne grosse farce avec notamment l'arrivée dans le casting de la fameuse Madison, une sorte de Barbie délicieusement stupide. De très bonnes idées qui ne parviennent pas à camoufler entièrement la dimension peu finaude du projet.
TOP 10 des films à voir en e-cinéma et DTV:
Art of self-defense (The)
Malgré la fadeur apparente de son héros et le rythme nonchalant, ce film parvient à imposer son tempo et à jouer brillamment avec la candeur de son personnage. Une très bonne surprise qui renvoi, en outre, un message particulièrement osé (le film milite au fond pour la possession d'armes à feu) à une époque où le politiquement correct règne en maitre.
Lords of chaos
Le film nous propose de plonger dans le monde déjanté du black métal à travers l’histoire revendiquée comme plus ou moins vrai du groupe norvégien « Mayhem ». Une immersion passionnante faite d’ultra violence (les scènes de mort font très mal) et de déviances. Le portrait est loin d’être glorieux mais dans ce marasme le récit a l’intelligence de construire un message qui ne manque pas de sens et remet le « poseur » à sa place (voir le film pour comprendre).
Unthinkable (The)
Malgré un budget assez modeste, les réalisateurs parviennent à un implanter une ambiance bien anxiogène et qui surfe agréablement avec le fantastique (On a parfois l'impression d'assister à une invasion alien). Les personnages plus complexes qu'à l'accoutumée accentuent ce sentiment d'étrangeté qui accompagne le récit. Evidemment, les ficelles sont assez grosses (pour ne pas dire énorme), mais pour son caractère inédit et son indéniable efficacité, c'est un film qui peut aisément s'appréhender comme le nouvel "Aube rouge" des années 2010.
Best of enemies (The)
Même si le sujet n'échappe pas aux clichés habituels du genre, l'histoire et la tenue de l'ensemble se révèle suffisamment honnête pour accepter le lissage tacite de ce type de production. Par ailleurs, bien que le récit soit assez modéré en terme d'action, le montage solide et les acteurs bien ancré dans leur rôle permettent de ne pas décrocher et même de ressentir une pointe d'émotion au moment du verdict final.
Angel of mine
Malgré son postulat digne d'un téléfilm et sa fonction de remake (du film français "L'empreinte de l'ange), ce film parvient à convaincre grâce au jeu solide de ses actrices et aux réactions, pour une fois, cohérentes de ses protagonistes. Une qualité qui devient même un atout, dans un récit qui va même entrainer le spectateur à douter sur la santé mentale de son héroïne (alors qu'au final, le dénouement est fortement prévisible).
Homme chanceux (Un)
Ce n'est certes pas avec sa mise en scène que ce film danois va se distinguer (on est assez proche du téléfilm) mais plutôt avec son personnage dont le caractère complexe se révèle très intéressant. A ce propos, on appréciera la qualité d'un récit qui parvient à rendre attachant un individu qui cumule pourtant un grand nombre d'écarts au niveau du tempérament. Ce portrait qui prend des atours presque tragiques dans sa dernière partie mérite en tout cas largement le coup d'oeil.
Dolemite is my name
Ce portrait intéressant et bourré d'humour de la figure emblématique de la blackspoitation (Rudy Ray Moore) profite de l'interprétation convaincante de Eddie Murphy (pourtant trop vieux pour le rôle) et d'un Wesley Snipes désopilant dans le rôle d'un réalisateur maniéré. En revanche, comme souvent avec Netflix, cette représentation des années 70 possède ce petit côté artificiel qui ne permet pas vraiment de l'appréhender comme une véritable œuvre de cinéma (d'où son statut de VOD finalement).
El Camino: Un film Breaking Bad
Produit par Netflix, cet épisode bonus se déroule juste après les évènements de la saison 5 de Breaking Bad. Une série qu'il faut absolument avoir vu pour pouvoir apprécier un film qui respecte à la lettre la forme et le ton du show télévisé. Une qualité mais aussi un défaut dans le contexte d'un long métrage de 2h. Car, dans son format, le récit, déjà traversé par de nombreux flashbacks, compose des scènes très étirées qui relèvent très clairement du cadre feuilletonnesque. Mais pour les fans, vu les respect du matériau original, la conclusion à l'écran du parcours de Jesse Pickman se révèle tout de même très satisfaisante.
Dirt (The)
L'origine et les années sex-drugs and rock'n roll de Mötley Crüe sont plutôt bien retranscrites et les interprètes s'appliquent réellement à ressembler aux membres du groupe. Mais quand on connait bien leur épopée, on ne peut que regretter le manque d'envergure et d'ambition de l'ensemble (les concerts sont loin de renouer avec l'ambiance de folie qui régnait à l'époque) avec un parti-pris épisodique du propos (on évoque ici que les 10 premières années du groupe). Ceci dit, l'essentiel est là et en terme de biopique, on appréciera que le récit n'ait pas tenter de trop enjoliver les évènements.
Dragged Across Concrete
En tant que digne émule de Tarantino, S. Craig Zahler privilégie les scènes de dialogues entre personnages selon un rythme très nonchalant. Le tout est entrecoupé de scènes très violentes qui permet d'instaurer une tension sous jacente. On ne s'ennui pas, mais contrairement à "Section 99" (son précédent film), le scénario est un brin trop prévisible et manque de surprises, du coup son visionnage ne restera pas forcément innoubliable.
Et pour finir je décerne le FLOP de l'année à:
Avengers: Endgame
Voilà une suite qui est loin d'être à la hauteur de l'œuvre qui l'a précédé, car même si le côté pop-corn est assuré, l'accumulation d'incohérences et de facilités scénaristiques va trop souvent malmener la bonne tenue du récit. Par ailleurs, le caractère confus de la 2nde partie (tuant dans l'oeuf toute chance de dramaturgie) se révèle particulièrement préjudiciable à un dernier acte, en outre, très prévisible. Ajouter à cela, le traitement incompréhensible, voir injurieux, de certains personnages (Thor + Hulk) et l'intégration de plans et de passages insupportables de démagogie et vous obtenez l'une des oeuvres les plus décevantes de ces dernières années.
Voici néanmoins mon TOP 20 du meilleur au moins bon:
Green book
Dans cette reconstitution assez réaliste de l'Amérique des années 1960, on assiste à la rencontre entre deux personnalités que tout oppose. Un choc culturel et racial qui doit beaucoup à l'interprétation remarquable de Viggo Mortensen et de Mahershala Ali. Un road movie particulièrement savoureux, durant lequel sont évoqués avec beaucoup d'humour mais aussi de gravité des thèmes comme la ségrégation raciale ou la perception de l'autre. Même si l'exercice se révèle un peu long, le plaisir de voir évoluer ce duo improbable et les multiples surprises du scénario permettent de passer un très bon moment.
Douleur et gloire
Cette œuvre très personnelle de Pedro Almodovar, dresse le portrait touchant d'un homme en pleine dépression et qui, au hasard des rencontres, va retrouver non seulement l'inspiration mais aussi le goût de la vie. Un film profond, très émouvant, délicieusement mélancolique et brillant dans son propos. Une œuvre capitale dans la filmo du réalisateur espagnol, épaulé par un Antonio Banderas qu'on a rarement vu aussi bon à l'écran.
Wild Rose
A l'image de son héroïne incarnée avec fougue par l'étonnante Jessie Buckley, Wild Rose est une success story qui affiche un sacré tempérament. On y découvre effectivement un actrice incroyable, dont la prestation artistique et scénique mériterait à coup sûr un Oscar. Un film qui a de la trempe, avec des moments dramatiques et d'autres plus touchants, et dont le final au relent de feel good movie fait énormément de bien.
Toy story 4
Alors que le précédent film clôturait en beauté la trilogie, ce retour inattendu légitimise brillamment son existence en focalisant son laïus sur le personnage de Woody. Un joli moment d'émotion et une fin de cycle qui renouent avec brio avec la nostalgie, l'inventivité, la drolerie mais aussi la poésie dont a fait miraculeusement preuve la saga jusqu'ici.
Parasite
Si l'emballement autour de Parasite est un peu exagéré, il faut bien admettre qu'en terme de mise en scène et de propos le film de Bong Joon Ho ne s'expose à aucune réprimande. Par ailleurs, le récit jusqu'à son terme se révèle bien mené et ne souffre quasiment d'aucune longueur. Les relations entre chaque membre de la petite cellule familiale aurait toutefois gagné à être mieux développées afin de rendre le final encore plus dramatique.
Art of Racing in the Rain (The)
Le film propose de se mettre à la place d'un chien (dont la voix off est assurée en vo par Kevin Costner) dont l'existence doit composer avec la vie plus où moins mouvementée d'un coureur automobile. Bien sûr le film va développer pas mal de moments dramatiques durant lesquels l'animal n'aura qu'un rôle d'observateur. L'émotion fonctionne en tout cas très bien, même si l'acteur Milo Ventimiglia n'est pas toujours forcément très bien dirigé. On appréciera aussi tout le propos autour de l'idée de la réincarnation et qui permet au récit de clôturer de bien belle façon.
Journal 64
La 4ème enquête cinématographique du département V se révèle rondement menée, avec toujours ces fameux flashbacks qui mettent en lumière certains aspects du scénario. C'est bien écrit, les relations entre les personnages sont très finement esquissées, il y a de l'humour, de l'émotion. Décidément, cette saga se bonifie avec le temps et on a déjà hâte de découvrir le prochain épisode.
Alex, le destin d'un roi
En terme de divertissement pour la jeunesse, ce film épate pour le sérieux avec lequel il a été mené. En effet, que ce soit au niveau de la musique, du rythme et surtout de la mise en scène, cette œuvre offre un travail de grande qualité. En plus c'est souvent drôle (même pour un public adulte) et les jeunes acteurs font plutôt bien le job. Avec de tels atouts, on serait presque désireux de voir débarquer une suite.
Intime conviction (Une)
Inspirée de l'affaire viguier, ce thriller judiciaire se révèle efficace, prenant et pointe avec justesse les aberrations et autres difficutés qui peuvent accompagner ce type de procès.
Star Wars: L'ascension de Skywalker
Après des débuts particulièrement maladroits en terme de narration, le récit trouve enfin son rythme à coup d'ajustements scénaristiques parfois bancals et de révélations plus ou moins bien troussées. Heureusement le spectacle fait son travail jusqu'à s'aventurer sur un final particulièrement réussi en terme d'émotions.
Celle que vous croyez
Un film très actuel (Une relation se noue à travers les réseaux sociaux) et qui va dresser un portrait particulièrement touchant d'une quinquagénaire. Bien évidemment Juliette Binoche s'implique totalement dans le rôle de cette femme blessée pour aboutir sur un dénouement non seulement inattendu mais aussi particulièrement osé pour notre époque (à l'heure du mouvement metoo and Co).
Mystère d'Henri Pick (Le)
Un film passionnant où le mystère entourant le personnage d'Henry Pick tient en haleine jusqu'à la fin du récit. C'est aussi un des rares long métrages à développer une critique assez pertinente du monde de l'édition (on évoque les fiches de lecture, les romanciers bidons et les éditeurs sans scrupules) et les textes perdus cachant (parfois) de vrais chef-d'oeuvres. Biensûr Fabrice Luchini y est excellent au milieu d'acteurs qui ont pourtant été globalement assez mal dirigé (c'est même parfois assez problématique).
Child's Play: La poupée du mal
Dans cette ère de suites très souvent superflues et peu inspirées, ce reboot que l'on attendait pas forcément fait presque office de petit miracle. Car en dehors du look assez particulier de ce nouveau Chucky (mais finalement en accord avec son temps), la réalisation, les dialogues et les mises en situation à la fois drôles et décapantes font de cet opus une très bonne surprise.
Brightburn
Même si l'idée de départ aurait pu être exploitée avec beaucoup plus d'envergure, l'aboutissement en mode slasher (avec des effets gores qui font mal) se révèle tout à fait convainquant. Par ailleurs, pour un concept, qui relève tout de même du délire (on s'amuse ici à détourner la figure du bien qui est Superman), la mise en scène est étonnamment inspirée et profite d'une interprétation solide.
Nicky Larson et le parfum de Cupidon
Après des débuts un peu balbutiants avec un Philippe Lacheau au jeu bien trop scolaire, le film trouve enfin son rythme et accumule les situations amusantes. On ne rie pas aux éclats, mais le côté décontracté de l'entreprise, traversé par des clins d'œil et autres caméos désopilants, contribue à faire de cette production un moment vraiment agréable.
Spider-Man: Far from Home
Après une pirouette scénaristique très discutable, on retrouve toute la bande de lycéens du 1er film autour d’un Spider-man qui tente de surmonter la perte de son mentor. Un épisode très très léger au point de prendre parfois des allures de comédie pour adolescents (on pense beaucoup à certaines production Disney des années 70…). Ceci dit, cet opus se révèle plutôt inspiré et offre quelques séquences véritablement marquantes (dans ce registre, le climax de fin est même assez grandiose). Et au final, même si on peut regretter d’énormes facilités scénaristiques et un humour parfois bancal, dans l’ensemble cette aventure recèle suffisamment de surprises visuelles et scénaristiques pour nous faire passer un bon moment.
Rocketman
Presque davantage une comédie musicale qu'un biopique, ce film profite d'une réalisation vraiment inspirée qui confère à certain passages musicaux une dimension presque épique. Les acteurs sont tous très bons et les titres, pour une fois, ont été choisis pour nourrir l'histoire et non le contraire. Seul bémol, en tant qu'œuvre musicale, on n'échappe pas au schéma classique du genre (avec le sempiternel dénouement sous forme de rédemption...).
Alita: Battle angel
Malgré un James Cameron à la prod, c'est surtout le cinéma foutraque de Robert Rodriguez qui se fait ressentir en voyant Alita. La narration est donc parfois bancale, les scènes d'action inégales (le 1er combat est complètement à côté de la plaque en terme de rythme) et le développement des personnages n'est pas toujours très finement ajusté. Le show parvient néanmoins a conserver ce qui faisait l'essence du manga de Yukito Kishiro, à savoir des personnages attachants, une romance qui tient la route et quelques scènes d'action bien troussées. Un sympathique moment de récréation qui ferait presque oublier la laideur d'une photographie qui se noie dans les CGI.
Chant du loup (Le)
Dans le genre "film de sous-marin" le duo de réalisateurs français Antonin Baudry et Abel Lanzac effectue de l'excellent travail notamment grâce à un scénario imprévisible et qui offre pas mal de moments d'angoisse. Le suspense solidement maintenu va même jusqu'à rappeler le fameux "Point limite" de Sidney Lumet. Un très bon film qui est seulement altéré par d'énormes erreurs de casting (Omar Sy et Réda Kated ne sont clairement pas à leur place).
Retour à Zombieland
Sans être hilarante, cette suite zombiesque se montre plutôt inspirée et déploie un certain nombre de situations véritablement amusantes. Un épisode qui relève tout de même de la bonne grosse farce avec notamment l'arrivée dans le casting de la fameuse Madison, une sorte de Barbie délicieusement stupide. De très bonnes idées qui ne parviennent pas à camoufler entièrement la dimension peu finaude du projet.
TOP 10 des films à voir en e-cinéma et DTV:
Art of self-defense (The)
Malgré la fadeur apparente de son héros et le rythme nonchalant, ce film parvient à imposer son tempo et à jouer brillamment avec la candeur de son personnage. Une très bonne surprise qui renvoi, en outre, un message particulièrement osé (le film milite au fond pour la possession d'armes à feu) à une époque où le politiquement correct règne en maitre.
Lords of chaos
Le film nous propose de plonger dans le monde déjanté du black métal à travers l’histoire revendiquée comme plus ou moins vrai du groupe norvégien « Mayhem ». Une immersion passionnante faite d’ultra violence (les scènes de mort font très mal) et de déviances. Le portrait est loin d’être glorieux mais dans ce marasme le récit a l’intelligence de construire un message qui ne manque pas de sens et remet le « poseur » à sa place (voir le film pour comprendre).
Unthinkable (The)
Malgré un budget assez modeste, les réalisateurs parviennent à un implanter une ambiance bien anxiogène et qui surfe agréablement avec le fantastique (On a parfois l'impression d'assister à une invasion alien). Les personnages plus complexes qu'à l'accoutumée accentuent ce sentiment d'étrangeté qui accompagne le récit. Evidemment, les ficelles sont assez grosses (pour ne pas dire énorme), mais pour son caractère inédit et son indéniable efficacité, c'est un film qui peut aisément s'appréhender comme le nouvel "Aube rouge" des années 2010.
Best of enemies (The)
Même si le sujet n'échappe pas aux clichés habituels du genre, l'histoire et la tenue de l'ensemble se révèle suffisamment honnête pour accepter le lissage tacite de ce type de production. Par ailleurs, bien que le récit soit assez modéré en terme d'action, le montage solide et les acteurs bien ancré dans leur rôle permettent de ne pas décrocher et même de ressentir une pointe d'émotion au moment du verdict final.
Angel of mine
Malgré son postulat digne d'un téléfilm et sa fonction de remake (du film français "L'empreinte de l'ange), ce film parvient à convaincre grâce au jeu solide de ses actrices et aux réactions, pour une fois, cohérentes de ses protagonistes. Une qualité qui devient même un atout, dans un récit qui va même entrainer le spectateur à douter sur la santé mentale de son héroïne (alors qu'au final, le dénouement est fortement prévisible).
Homme chanceux (Un)
Ce n'est certes pas avec sa mise en scène que ce film danois va se distinguer (on est assez proche du téléfilm) mais plutôt avec son personnage dont le caractère complexe se révèle très intéressant. A ce propos, on appréciera la qualité d'un récit qui parvient à rendre attachant un individu qui cumule pourtant un grand nombre d'écarts au niveau du tempérament. Ce portrait qui prend des atours presque tragiques dans sa dernière partie mérite en tout cas largement le coup d'oeil.
Dolemite is my name
Ce portrait intéressant et bourré d'humour de la figure emblématique de la blackspoitation (Rudy Ray Moore) profite de l'interprétation convaincante de Eddie Murphy (pourtant trop vieux pour le rôle) et d'un Wesley Snipes désopilant dans le rôle d'un réalisateur maniéré. En revanche, comme souvent avec Netflix, cette représentation des années 70 possède ce petit côté artificiel qui ne permet pas vraiment de l'appréhender comme une véritable œuvre de cinéma (d'où son statut de VOD finalement).
El Camino: Un film Breaking Bad
Produit par Netflix, cet épisode bonus se déroule juste après les évènements de la saison 5 de Breaking Bad. Une série qu'il faut absolument avoir vu pour pouvoir apprécier un film qui respecte à la lettre la forme et le ton du show télévisé. Une qualité mais aussi un défaut dans le contexte d'un long métrage de 2h. Car, dans son format, le récit, déjà traversé par de nombreux flashbacks, compose des scènes très étirées qui relèvent très clairement du cadre feuilletonnesque. Mais pour les fans, vu les respect du matériau original, la conclusion à l'écran du parcours de Jesse Pickman se révèle tout de même très satisfaisante.
Dirt (The)
L'origine et les années sex-drugs and rock'n roll de Mötley Crüe sont plutôt bien retranscrites et les interprètes s'appliquent réellement à ressembler aux membres du groupe. Mais quand on connait bien leur épopée, on ne peut que regretter le manque d'envergure et d'ambition de l'ensemble (les concerts sont loin de renouer avec l'ambiance de folie qui régnait à l'époque) avec un parti-pris épisodique du propos (on évoque ici que les 10 premières années du groupe). Ceci dit, l'essentiel est là et en terme de biopique, on appréciera que le récit n'ait pas tenter de trop enjoliver les évènements.
Dragged Across Concrete
En tant que digne émule de Tarantino, S. Craig Zahler privilégie les scènes de dialogues entre personnages selon un rythme très nonchalant. Le tout est entrecoupé de scènes très violentes qui permet d'instaurer une tension sous jacente. On ne s'ennui pas, mais contrairement à "Section 99" (son précédent film), le scénario est un brin trop prévisible et manque de surprises, du coup son visionnage ne restera pas forcément innoubliable.
Et pour finir je décerne le FLOP de l'année à:
Avengers: Endgame
Voilà une suite qui est loin d'être à la hauteur de l'œuvre qui l'a précédé, car même si le côté pop-corn est assuré, l'accumulation d'incohérences et de facilités scénaristiques va trop souvent malmener la bonne tenue du récit. Par ailleurs, le caractère confus de la 2nde partie (tuant dans l'oeuf toute chance de dramaturgie) se révèle particulièrement préjudiciable à un dernier acte, en outre, très prévisible. Ajouter à cela, le traitement incompréhensible, voir injurieux, de certains personnages (Thor + Hulk) et l'intégration de plans et de passages insupportables de démagogie et vous obtenez l'une des oeuvres les plus décevantes de ces dernières années.
-
- DeVilDead Team
- Messages : 12859
- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Je commence mon Top par les DTV qui se résument cette année je crois à du film NetFlix.
Honnêtement, c'est la profusion mais c'est pas franchement l'extase.
DOOM - ANNIHILATION : Arf. Une bien belle merde réalisé dans un couloir avec 3 mecs déguisés en zombies. C'est impardonnable un truc pareil.
THE IRISHMAN : Un véritable échec. Consternant. J'aurai peut être pu rentrer dedans si ça n'avait pas été aussi laid. Mais là, chaque plan truqué dégueulasse m'a fait sortir du film.
THE KING : Un très bon film, maitrisé dans sa narration et superbe visuellement. Les acteurs sont bon, c'est irréprochable.
SIX UNDERGROUND : Michael Bay refait du BAD BOYS 2, et c'est jubilatoire. Le film comporte 3 séquences d'actions, mais elles sont délirantes et incroyables. Les dialogues sont drôles, l'équipe est sympa, vivement la suite !
TRIPLE FRONTIERE : Un film qui pose un gros problème de rythme. Une moitié bien chiante suivie d'une moitié moins chiante. C'est je pense assez réaliste mais bon, du point de vu du spectateur, c'est mou.
EL CAMINO: A BREAKING BAD MOVIE : Une horreur. Un film qui a le scénario d'un épisode, et qui s'étire sur 2 heures. On le truffe de flashback pour les nostalgique, mais on n'a rien à dire. L'histoire était terminée, on la rallonge avec ce truc miteux, mal écrit, laborieux...
THE HIGHWAYMEN : On bon film sur les hommes qui ont traqué Bonnie & Clyde. Gros casting, reconstitution presque parfaite, jusque dans certains plan iconiques. Beau boulot.
DANS LES HAUTES HERBES : Une histoire de Stephen King qui sert pas à grand chose. Ca se regarde, c'est pas déplaisant, mais ce n'est qu'une toute petite série B.
DOLEMITE IS MY NAME : Un trés bon film qui prend quelques raccourcis, fait quelques erreurs, mais transpire l'amour du bonhomme. C'est super bien joué, drôle, un peu gnetillet par moment mais on pardonne parce que franchement, c'est cool et ça donne envie de se refaire tous les Dolemite !
AMERICAN SON : Un huis clos sur font de revendication. Propos intelligent et intéressant, acteurs convaincants. Malheureusement ça s'étire un peu en longueur et on sans le non-budget.
SHAFT : Beaucoup d'attente de ma part pour ce qui n'est en fait qu'en série B minable, aux vannes pas drôles et à la durée monstrueuse pour ce qu'il y a à dire.
SEE YOU YESTERDAY : Spike Lee produit une bouse SF low-Budget avec bien évidemment un propos revendicateur intéressant mais grossier. La forme est ridiculement cheap.
ALWAYS BE MY MAYBE : Comédie Romantique de merde.
AVENGEMENT : Scott Adkins bien méchant. C'est un peu laborieux mais les séquences d'actions très violentes récompenses un rythme et une construction en flashback pépères.
CLOSE : Rapace dans un film assez médiocre, petite série B d'action convenue et peu entrainante.
ELI : Série B horrifique toute pourrie.
FURIE : Un film d'action qui veut jouer dans la cours des grand mais n'y parvient jamais. L'héroine est mignonne mais ça ne suffit pas.
GIRLS WITH BALLS : Un titre pourri pour une série B horrifique française parodique correcte. C'est clairement con, mais c'est voulu et assumé. Du coup, à ma grande surprise, ça se regarde.
IRON FISTS AND KUNG-FU KICKS : Un excellent documentaire sur le cinéma de Kung Fu, malheureusement un peu rapide et hystérique dans son montage, mais finalement assez complet et informatif.
LA MORSURE DU CROTALE : Une série B bien pourrie, assez compliquée à regarder jusqu'au bout tellement c'est laborieux.
MARIA : Comme FURIE plus haut, mais en bien pire. Limite barre de rire. La nana qui tient le rôle principal ne sait pas se barre et prétend être le nouveau Tony Jaa dans ce film bourré de combat foireux.
NOS VIES APRES EUX : Une petite comédie romantique comme ma moitié m'en impose de temps à autre. C'est bien pourri mais ça montre que Patricia Arquette est toujours aussi quelconque, et Angela Bassett toujours une très belle femme.
OPERATION BROTHERS : Un film assez sympatoche dans lequel Captain America ouvre un faux hotel pour touristes avec en réalité le but d'exfiltrer des réfugiés éthiopiens. Pas un grand film, mais sympa.
POLAR : Encore un film d'action avec un vieux blasé qui butte tout le monde. C'est l'effet Liam Neeson qui n'en fini pas de se propager. Sauf qu'ici c'est Mads Mikkelsen le vieux, qu'il déboite pas mal, et que le film est bien méchant. Donc j'achète !
QUELQU'UN DE BIEN : Le retour de la petite comédie romantique de merde avec cette fois-ci des jeunettes franchement alcoolo. C'est parfois drôle, souvent chiant.
THE TWO KILLINGS OF SAM COOKE : Un excellent documentaire sur la mort étrange de Sam Cooke et surtout les événements politiques qui ont pu conduire à cette mort. A voir.
SERENITY : Une belle bouse avec un twist de milieu de film tout pourri.
THE HARD WAY : Un petit film d'action avec Michael J. White qui n'en fini pas de faire des série B foireuses. Le mec s'encroute et prend du bide.
THE LAUNDROMAT : Casting trois étoile pour un film intéressant sur les Panama Papers. Ludique, bien foutu. Pas extraordinaire, mais bien.
THE PERFECTION : Une série B horrifique étrange, qui part un peu partout et n'importe comment. J'ai pas accroché.
VELVET BUZZSAW : Gros casting pour un film barré et merdique, prétencieux à souhait. Bof.
Donc au final ça donne :
Mon TOP 5 DTV :
1. 6 UNDERGROUND : Pu-tain de film !
DOLEMITE IS MY NAME : Très très bel hommage
THE KING : Un film bien mené, bien foutu
THE TWO KILLINGS OF SAM COOKE : Très bon documentaire
THE HIGHWAY MEN : Une belle découverte.
Mon FLOP 5 DTV :
1. THE IRISHMAN : La plus grosse attente, la plus grosse déception
2. EL CAMINO : Une grosse attente, un film qui ne sert à rien
3.SHAFT : Une très grosse attente, et que dalle
4. SEE YOU YESTERDAY : Spike Lee dans ce qu'il fait de moins bon. Comme souvent ces dernières années.
5. SERENITY : C'est quoi ce truc...?
Honnêtement, c'est la profusion mais c'est pas franchement l'extase.
DOOM - ANNIHILATION : Arf. Une bien belle merde réalisé dans un couloir avec 3 mecs déguisés en zombies. C'est impardonnable un truc pareil.
THE IRISHMAN : Un véritable échec. Consternant. J'aurai peut être pu rentrer dedans si ça n'avait pas été aussi laid. Mais là, chaque plan truqué dégueulasse m'a fait sortir du film.
THE KING : Un très bon film, maitrisé dans sa narration et superbe visuellement. Les acteurs sont bon, c'est irréprochable.
SIX UNDERGROUND : Michael Bay refait du BAD BOYS 2, et c'est jubilatoire. Le film comporte 3 séquences d'actions, mais elles sont délirantes et incroyables. Les dialogues sont drôles, l'équipe est sympa, vivement la suite !
TRIPLE FRONTIERE : Un film qui pose un gros problème de rythme. Une moitié bien chiante suivie d'une moitié moins chiante. C'est je pense assez réaliste mais bon, du point de vu du spectateur, c'est mou.
EL CAMINO: A BREAKING BAD MOVIE : Une horreur. Un film qui a le scénario d'un épisode, et qui s'étire sur 2 heures. On le truffe de flashback pour les nostalgique, mais on n'a rien à dire. L'histoire était terminée, on la rallonge avec ce truc miteux, mal écrit, laborieux...
THE HIGHWAYMEN : On bon film sur les hommes qui ont traqué Bonnie & Clyde. Gros casting, reconstitution presque parfaite, jusque dans certains plan iconiques. Beau boulot.
DANS LES HAUTES HERBES : Une histoire de Stephen King qui sert pas à grand chose. Ca se regarde, c'est pas déplaisant, mais ce n'est qu'une toute petite série B.
DOLEMITE IS MY NAME : Un trés bon film qui prend quelques raccourcis, fait quelques erreurs, mais transpire l'amour du bonhomme. C'est super bien joué, drôle, un peu gnetillet par moment mais on pardonne parce que franchement, c'est cool et ça donne envie de se refaire tous les Dolemite !
AMERICAN SON : Un huis clos sur font de revendication. Propos intelligent et intéressant, acteurs convaincants. Malheureusement ça s'étire un peu en longueur et on sans le non-budget.
SHAFT : Beaucoup d'attente de ma part pour ce qui n'est en fait qu'en série B minable, aux vannes pas drôles et à la durée monstrueuse pour ce qu'il y a à dire.
SEE YOU YESTERDAY : Spike Lee produit une bouse SF low-Budget avec bien évidemment un propos revendicateur intéressant mais grossier. La forme est ridiculement cheap.
ALWAYS BE MY MAYBE : Comédie Romantique de merde.
AVENGEMENT : Scott Adkins bien méchant. C'est un peu laborieux mais les séquences d'actions très violentes récompenses un rythme et une construction en flashback pépères.
CLOSE : Rapace dans un film assez médiocre, petite série B d'action convenue et peu entrainante.
ELI : Série B horrifique toute pourrie.
FURIE : Un film d'action qui veut jouer dans la cours des grand mais n'y parvient jamais. L'héroine est mignonne mais ça ne suffit pas.
GIRLS WITH BALLS : Un titre pourri pour une série B horrifique française parodique correcte. C'est clairement con, mais c'est voulu et assumé. Du coup, à ma grande surprise, ça se regarde.
IRON FISTS AND KUNG-FU KICKS : Un excellent documentaire sur le cinéma de Kung Fu, malheureusement un peu rapide et hystérique dans son montage, mais finalement assez complet et informatif.
LA MORSURE DU CROTALE : Une série B bien pourrie, assez compliquée à regarder jusqu'au bout tellement c'est laborieux.
MARIA : Comme FURIE plus haut, mais en bien pire. Limite barre de rire. La nana qui tient le rôle principal ne sait pas se barre et prétend être le nouveau Tony Jaa dans ce film bourré de combat foireux.
NOS VIES APRES EUX : Une petite comédie romantique comme ma moitié m'en impose de temps à autre. C'est bien pourri mais ça montre que Patricia Arquette est toujours aussi quelconque, et Angela Bassett toujours une très belle femme.
OPERATION BROTHERS : Un film assez sympatoche dans lequel Captain America ouvre un faux hotel pour touristes avec en réalité le but d'exfiltrer des réfugiés éthiopiens. Pas un grand film, mais sympa.
POLAR : Encore un film d'action avec un vieux blasé qui butte tout le monde. C'est l'effet Liam Neeson qui n'en fini pas de se propager. Sauf qu'ici c'est Mads Mikkelsen le vieux, qu'il déboite pas mal, et que le film est bien méchant. Donc j'achète !
QUELQU'UN DE BIEN : Le retour de la petite comédie romantique de merde avec cette fois-ci des jeunettes franchement alcoolo. C'est parfois drôle, souvent chiant.
THE TWO KILLINGS OF SAM COOKE : Un excellent documentaire sur la mort étrange de Sam Cooke et surtout les événements politiques qui ont pu conduire à cette mort. A voir.
SERENITY : Une belle bouse avec un twist de milieu de film tout pourri.
THE HARD WAY : Un petit film d'action avec Michael J. White qui n'en fini pas de faire des série B foireuses. Le mec s'encroute et prend du bide.
THE LAUNDROMAT : Casting trois étoile pour un film intéressant sur les Panama Papers. Ludique, bien foutu. Pas extraordinaire, mais bien.
THE PERFECTION : Une série B horrifique étrange, qui part un peu partout et n'importe comment. J'ai pas accroché.
VELVET BUZZSAW : Gros casting pour un film barré et merdique, prétencieux à souhait. Bof.
Donc au final ça donne :
Mon TOP 5 DTV :
1. 6 UNDERGROUND : Pu-tain de film !

DOLEMITE IS MY NAME : Très très bel hommage
THE KING : Un film bien mené, bien foutu
THE TWO KILLINGS OF SAM COOKE : Très bon documentaire
THE HIGHWAY MEN : Une belle découverte.
Mon FLOP 5 DTV :
1. THE IRISHMAN : La plus grosse attente, la plus grosse déception
2. EL CAMINO : Une grosse attente, un film qui ne sert à rien
3.SHAFT : Une très grosse attente, et que dalle
4. SEE YOU YESTERDAY : Spike Lee dans ce qu'il fait de moins bon. Comme souvent ces dernières années.
5. SERENITY : C'est quoi ce truc...?
-
- DeVilDead Team
- Messages : 21525
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Alors au cinéma, tous genres confondus, mon gros coup de coeur de c'est BORDER d'Ali Abbasi. un film fantastique exceptionnel, passé hélas complètement inaperçu.

ensuite, c'est IL NIDO/THE NEST, vu en Blu Ray italien et passé au PIFFF 2019. Sublime, un véritable renouveau du film de genre italien.
________________________
Sinon au Cinéma
Les +:
LA CHUTE DE L'EMPIRE AMERICAIN
ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD
MATTHIAS ET MAXIME
MINUSCULE 2 LES MANDIBULES DU BOUT DU MONDE
SCARY STORIES TO TELL IN THE DARK
READY OR NOT
LORO
Les -:
IN FABRIC
YESTERDAY
IT CHAPITRE 2
CRAWL - une belle merde.
le pire étant THE CURSE OF LA LLORONA. Quelle bousasse!
________________________
Les plus belles éditions Blu Ray et/ou DVD 2019 (film et/ou contenu):
Ce qui déchire tout: le coffret GODZILLA SHOWA ERA de Chez Criterion
et en plus:
PROPHECY (Shout!)
THE BRAIN (Shout!)
HALFWAY HOUSE (StudioCanal)
YOU MIGHT BE THE KILLER (Screen Media)
ITSY BITSY (Shout!)
CANDYMAN (Arrow)
LE CONTINENT OUBLIE (Rimini)
LE BAL DE L'HORREUR (Rimini)
AU SERVICE DU DIABLE (Artus Films)
L'ASSASSIN A RESERVE NEUF FAUTEUILS (Le Chat qui Fume)
FINAL STAB (Massacre Video)
UNA FARFALLA CON LE ALI INSANGUINATE ( Camera Obscura)
Les pires éditions 2019:
HELLBOUND : HELLRAISER II (ESC)
CRITTERS ATTACK (Warner)
SERENITY (Universal)
REPLICAS (Metropolitan)
ZOMBIE (ESC)
LES DEUX VISAGES DU DR JEKYLL (ESC)
LANDING LAKE (High Octane)
_______________________________________________
DTV/Streaming (bon, comme je n'ai pas Netflix, ça limite et je ne regarde jamais Prime, donc ça limite aussi. mais bon, de ce que j'ai vu, j'ai déjà oublié ou presque... ce que je retiens dans un sens comme dans l'autre:)
Les +
BRITTANY RUNS A MARATHON
DOLEMITE
ANALYSIS PARALYSIS
Les -
IN THE SHADOW OF THE MOON
CAMP WEDDING

ensuite, c'est IL NIDO/THE NEST, vu en Blu Ray italien et passé au PIFFF 2019. Sublime, un véritable renouveau du film de genre italien.
________________________
Sinon au Cinéma
Les +:
LA CHUTE DE L'EMPIRE AMERICAIN
ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD
MATTHIAS ET MAXIME
MINUSCULE 2 LES MANDIBULES DU BOUT DU MONDE
SCARY STORIES TO TELL IN THE DARK
READY OR NOT
LORO
Les -:
IN FABRIC
YESTERDAY
IT CHAPITRE 2
CRAWL - une belle merde.
le pire étant THE CURSE OF LA LLORONA. Quelle bousasse!
________________________
Les plus belles éditions Blu Ray et/ou DVD 2019 (film et/ou contenu):
Ce qui déchire tout: le coffret GODZILLA SHOWA ERA de Chez Criterion

et en plus:
PROPHECY (Shout!)
THE BRAIN (Shout!)
HALFWAY HOUSE (StudioCanal)
YOU MIGHT BE THE KILLER (Screen Media)
ITSY BITSY (Shout!)
CANDYMAN (Arrow)
LE CONTINENT OUBLIE (Rimini)
LE BAL DE L'HORREUR (Rimini)
AU SERVICE DU DIABLE (Artus Films)
L'ASSASSIN A RESERVE NEUF FAUTEUILS (Le Chat qui Fume)
FINAL STAB (Massacre Video)
UNA FARFALLA CON LE ALI INSANGUINATE ( Camera Obscura)
Les pires éditions 2019:
HELLBOUND : HELLRAISER II (ESC)
CRITTERS ATTACK (Warner)
SERENITY (Universal)
REPLICAS (Metropolitan)
ZOMBIE (ESC)
LES DEUX VISAGES DU DR JEKYLL (ESC)
LANDING LAKE (High Octane)
_______________________________________________
DTV/Streaming (bon, comme je n'ai pas Netflix, ça limite et je ne regarde jamais Prime, donc ça limite aussi. mais bon, de ce que j'ai vu, j'ai déjà oublié ou presque... ce que je retiens dans un sens comme dans l'autre:)
Les +
BRITTANY RUNS A MARATHON
DOLEMITE
ANALYSIS PARALYSIS
Les -
IN THE SHADOW OF THE MOON
CAMP WEDDING
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Ah mais j'ai oublié ce magnifique FLOP:
Ça: Chapitre 2
Une suite qui sonne comme un épisode bonus tant celui-ci semble n'avoir rien à raconter d'intéressant. Avec ses nombreux allers-retours dans le passé, il manque surtout une ligne narrative claire pour que l'on puisse vraiment s'intéresser aux personnages (par ailleurs terriblement insipides). Une impression de sur-place qui est d'autant plus préjudiciable que le film est bien trop long (2h40) et fini sur un climax totalement patraque. Une véritable catastrophe que seuls 2 ou 3 passages horrifiques parviennent à rendre supportable.
Ça: Chapitre 2
Une suite qui sonne comme un épisode bonus tant celui-ci semble n'avoir rien à raconter d'intéressant. Avec ses nombreux allers-retours dans le passé, il manque surtout une ligne narrative claire pour que l'on puisse vraiment s'intéresser aux personnages (par ailleurs terriblement insipides). Une impression de sur-place qui est d'autant plus préjudiciable que le film est bien trop long (2h40) et fini sur un climax totalement patraque. Une véritable catastrophe que seuls 2 ou 3 passages horrifiques parviennent à rendre supportable.
-
- DeVilDead Team
- Messages : 12859
- Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
- Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges
Re: Top/Flop 2019: le meilleur et le pire du ciné/blu ray/dvd/vod
Allez hop, après les DTV on s'attaque au cinéma :
STAR WARS 9 : Une belle cloture, généreuse et riche en émotion. Malheureusement trop courte malgré sa longueur, certains personnages restent oubliés.
A COUTEAUX TIRES : Un pseudo Agatha Christie qui fonctionne très bien dans le Manoir familiale, et moins bien lorsqu'il sort du huis clos. Mais ça reste agréable.
ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD : La déception de l'année avec un film "2 en 1" foutraque, des séquences magnifiques contrebalancées par d'autres incroyablement fénéantes. Contrairement aux autres Tarantino, ça rsique d'être compliqué de trouver la motivation pour un second visionnage.
TERMINATOR DARK FATE : Pas une grande réussite, ça se veut une alternative aux opus 3, 4 et 5 mais ça pioche un peu partout. Au final ça ne fonctionne pas si mal, et ça se hisse au niveau du 3eme opus.
JOKER : Un excellent film sur la folie, à la fois social et intelligent, magnifiquement joué. Le seul hic, c'est le fait d'intégrer d'intégrer la mythologie Wayne au chausse pied. C'est mal foutu et ça m'a régulièrement sorti du film.
CREED 2 : Une suite convenable où les Drago sortent grands vainqueurs en termes d'émotion. J'espérai voir Rocky mourrir noblement mais non, la saga se cloturera probablement sur l'opus de trop. On est limite là.
GLASS : Un échec sur toute la ligne. Un truc cheap et inacceptable, qui traite ses personnages et son public comme de la merde.
BRIGHTBURN - L'ENFANT DU MAL : Un métrage honnête qui, malheureusement, n'est qu'un tout début et reste dans le cadre très réduit d'une ferme. Pour un Dark-Superman, c'est un peu léger. Heureusement, le gore très méchant apporte une dose de fun !
THE MULE : Encore un film mineur dans la filmo de Papy Eastwood. C'est comme Gran Torino, le personnage est sympa, l'histoire se suit avec plaisir, l'émotion est bien présente. C'est pas mal, mais on espère toujours mieux.
NICKY LARSON : Pas désagréable. Les acteurs sont minables et irritants mais certains gags fonctionnent et c'est finalement assez respectueux. Pourquoi pas.
ALITA: BATTLE ANGEL : Un bon film aux CGI un peu inégaux, surtout en HomeCinema. L'émotion est forcée et l'histoire trop condensée avec une volonté artificiel de miser sur le sport rapidement. Reste que malgré ces imperfections, ça marche plutôt correctement et on ne s'ennuie pas. Une coudée au dessus de l'autre production Camreron de l'année : T6.
LE CHANT DU LOUP : Bon film français, peut être un peu court et convenu mais ça fonctionne bien et c'est très agréable à regarder.
SANG FROID : Film de vengeance un peu banal, avec quelques idées dans la forme, mais rien de vraiment mémorable.
CAPTAIN MARVEL : Le personnage le plus cheaté de Marvel nous arrive au milieu d'un déluge d'effets spéciaux imparfaits. On nous reconsistue les années 90 en foutant une game boy sur une cabine téléphonique, on nous parle de féminisme avec un plan d'une petite fille qui se relève d'une chute et on nous fait des blagues toutes les 5 minutes. Ce que Marvel fait de pire, un beau foutage de gueule.
US : Un film à l'ambiance magnifique, porté par des acteurs incroyables. Malheureusement, le propos complexe et très métaphorique oblige le spectateur à s'impliquer, sous peine de passer à côté du propos et du second niveau de lecture. En cela, US prend le contre pied du précédent film qu'il s'avérait ultra-explicatif. J'ai adoré, mais je comprends qu'on puisse passer à côté.
SHAZAM! : Une petite blague de chez DC. C'est pas mauvais, mais pas extraordinaire non plus. Le final est embarassant pour la suite, parce que je n'ai pas spécialement envie de m'intéresser à 6 héros plus ou moins fades en même temps.
SIMETIERRE : Esthétiquement soigné, ce film est un authentique rattage. Plus proche du roman que le film de Mary Lambert, ce nouvel essai prend cependant une liberté de taille qui flingue un film qui n'en avait pas besoin. Parce qu'en réalité, rien ne fonctionne ici...
AVENGERS: ENDGAME : Le gros rattage de l'année. Encore pire que CAPTAIN MARVEL et pourtant, la marche était haute ! On sacrifie des personnages (Thor, Hulk), on oublie toute forme d'émotion, on multiplie les fautes de goût, on propose un combat final moisi sur fond mauve et on multiplie les attitudes poseuses ridicules. Bref, c'est minable et ça boucle qui cycle qui commençait sérieusement à prendre l'eau.
JOHN WICK PARABELLUM : On tire sur la corde avec cet opus. Mais les combats infernaux, l'usage d'armes blanches, le final et surtout l'arrivée d'Halle Berry est de ses chiens font oublier le sentiment de redite. Mortel.
CRAWL : Des crocodiles superbes au service d'un film qui multiplie les séquences ridicules et les extérieurs immondes. C'est bourré de clichés débiles dès l'introduction, ça à la gueule d'une petite série B mais ça sort en salle. Etonnant.
FAST & FURIOUS : HOBBS & SHAW : On franchit une nouvelle étape sur l'échelle de la connerie. Mais c'est fun, rigolo, ça détend en famille.
RAMBO - LAST BLOOD : Globalement mal-aimé, ce volet ouvre une porte nouvelle, sombre, déabusée. On quitte la jungle pour une autre. Rambo a cru pendant 10 ans pouvoir redevenir humain. Il n'en est rien. La déconvenue fait plaisir à voir malgré quelques fausses note et une réalisation un peu plate.
HELLBOY : Très bonne surprise avec enfin une VRAIE adaptation de l'univers Hellboy. On a quelques maladresses de réalisation, une BO un peu assourdissante, mais c'est généreux et globalement bien foutu.
CHILD'S PLAY : Pas si mauvais en fin de compte. La mise à jour fonctionne mais l'apparence de Chucky est vraiment ignoble. Comment peut-on laisser passer ça quand on se lance dans un tel projet ?
SPIDER-MAN FAR FROM HOME : Après les biens mauvais CAPTAIN MARVEL et ENDGAME, ce Spiderman relève un peu la barre. Comme dans le précédent opus, c'est le super-vilain qui s'en sort le mieux. Spidey et ses copains de classes restent le prix pénible à payer.
GODZILLA 2 - ROI DES MONSTRES : Superbe, généreux, spectaculaire.
MIDSOMMAR : Beaucoup de bruit pour pas grand chose. Ca se regarde bien. Une fois. C'est esthétiquement soigné, l'ambiance est là mais c'est tellement long et convenu...
PARASITE : Une belle réussite, assez sournoise, avec un film qui tient plus de la critique sociale que du film horrifique. Très intéressant et bien joué.
XMEN - DARK PHOENIX : Un X-MEN de plus, dans la lignée des derniers. Mieux que le précédent mais toujours aussi fade, notamment à cause de ses actrices principales minables.
Donc au final ça donne :
Mon Top 5 cinéma, sans rien de vraiment extraordinaire :
1. JOKER : Imparfait mais d'un très bon niveau
2. US : Maitrisé mais complexe.
3. PARASITE : Très bon thriller social
4. HELLBOY : La grosse surprise, le truc inattendu !
5. JOHN WICK 3 : On tire sur la corde mais bon... Halle Berry et ses chiens !!
Mon Flop 5 cinéma, essentiellement de grosses désillusions :
1. AVENGERS ENDGAME : La pire manière de cloturer une saga, tout ce qu'il ne fallait pas faire !
2. GLASS : Un gros crachat à la gueule des personnages et des spectateurs
3. ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD : Film bicéphale complètement déséquilibré.
4. CRAWL : Des crocodiles magnifiques dans un film merdique
5. SIMETIERRE : On s'y attendait mais oui, c'est raté !
STAR WARS 9 : Une belle cloture, généreuse et riche en émotion. Malheureusement trop courte malgré sa longueur, certains personnages restent oubliés.
A COUTEAUX TIRES : Un pseudo Agatha Christie qui fonctionne très bien dans le Manoir familiale, et moins bien lorsqu'il sort du huis clos. Mais ça reste agréable.
ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD : La déception de l'année avec un film "2 en 1" foutraque, des séquences magnifiques contrebalancées par d'autres incroyablement fénéantes. Contrairement aux autres Tarantino, ça rsique d'être compliqué de trouver la motivation pour un second visionnage.
TERMINATOR DARK FATE : Pas une grande réussite, ça se veut une alternative aux opus 3, 4 et 5 mais ça pioche un peu partout. Au final ça ne fonctionne pas si mal, et ça se hisse au niveau du 3eme opus.
JOKER : Un excellent film sur la folie, à la fois social et intelligent, magnifiquement joué. Le seul hic, c'est le fait d'intégrer d'intégrer la mythologie Wayne au chausse pied. C'est mal foutu et ça m'a régulièrement sorti du film.
CREED 2 : Une suite convenable où les Drago sortent grands vainqueurs en termes d'émotion. J'espérai voir Rocky mourrir noblement mais non, la saga se cloturera probablement sur l'opus de trop. On est limite là.
GLASS : Un échec sur toute la ligne. Un truc cheap et inacceptable, qui traite ses personnages et son public comme de la merde.
BRIGHTBURN - L'ENFANT DU MAL : Un métrage honnête qui, malheureusement, n'est qu'un tout début et reste dans le cadre très réduit d'une ferme. Pour un Dark-Superman, c'est un peu léger. Heureusement, le gore très méchant apporte une dose de fun !
THE MULE : Encore un film mineur dans la filmo de Papy Eastwood. C'est comme Gran Torino, le personnage est sympa, l'histoire se suit avec plaisir, l'émotion est bien présente. C'est pas mal, mais on espère toujours mieux.
NICKY LARSON : Pas désagréable. Les acteurs sont minables et irritants mais certains gags fonctionnent et c'est finalement assez respectueux. Pourquoi pas.
ALITA: BATTLE ANGEL : Un bon film aux CGI un peu inégaux, surtout en HomeCinema. L'émotion est forcée et l'histoire trop condensée avec une volonté artificiel de miser sur le sport rapidement. Reste que malgré ces imperfections, ça marche plutôt correctement et on ne s'ennuie pas. Une coudée au dessus de l'autre production Camreron de l'année : T6.
LE CHANT DU LOUP : Bon film français, peut être un peu court et convenu mais ça fonctionne bien et c'est très agréable à regarder.
SANG FROID : Film de vengeance un peu banal, avec quelques idées dans la forme, mais rien de vraiment mémorable.
CAPTAIN MARVEL : Le personnage le plus cheaté de Marvel nous arrive au milieu d'un déluge d'effets spéciaux imparfaits. On nous reconsistue les années 90 en foutant une game boy sur une cabine téléphonique, on nous parle de féminisme avec un plan d'une petite fille qui se relève d'une chute et on nous fait des blagues toutes les 5 minutes. Ce que Marvel fait de pire, un beau foutage de gueule.
US : Un film à l'ambiance magnifique, porté par des acteurs incroyables. Malheureusement, le propos complexe et très métaphorique oblige le spectateur à s'impliquer, sous peine de passer à côté du propos et du second niveau de lecture. En cela, US prend le contre pied du précédent film qu'il s'avérait ultra-explicatif. J'ai adoré, mais je comprends qu'on puisse passer à côté.
SHAZAM! : Une petite blague de chez DC. C'est pas mauvais, mais pas extraordinaire non plus. Le final est embarassant pour la suite, parce que je n'ai pas spécialement envie de m'intéresser à 6 héros plus ou moins fades en même temps.
SIMETIERRE : Esthétiquement soigné, ce film est un authentique rattage. Plus proche du roman que le film de Mary Lambert, ce nouvel essai prend cependant une liberté de taille qui flingue un film qui n'en avait pas besoin. Parce qu'en réalité, rien ne fonctionne ici...
AVENGERS: ENDGAME : Le gros rattage de l'année. Encore pire que CAPTAIN MARVEL et pourtant, la marche était haute ! On sacrifie des personnages (Thor, Hulk), on oublie toute forme d'émotion, on multiplie les fautes de goût, on propose un combat final moisi sur fond mauve et on multiplie les attitudes poseuses ridicules. Bref, c'est minable et ça boucle qui cycle qui commençait sérieusement à prendre l'eau.
JOHN WICK PARABELLUM : On tire sur la corde avec cet opus. Mais les combats infernaux, l'usage d'armes blanches, le final et surtout l'arrivée d'Halle Berry est de ses chiens font oublier le sentiment de redite. Mortel.
CRAWL : Des crocodiles superbes au service d'un film qui multiplie les séquences ridicules et les extérieurs immondes. C'est bourré de clichés débiles dès l'introduction, ça à la gueule d'une petite série B mais ça sort en salle. Etonnant.
FAST & FURIOUS : HOBBS & SHAW : On franchit une nouvelle étape sur l'échelle de la connerie. Mais c'est fun, rigolo, ça détend en famille.
RAMBO - LAST BLOOD : Globalement mal-aimé, ce volet ouvre une porte nouvelle, sombre, déabusée. On quitte la jungle pour une autre. Rambo a cru pendant 10 ans pouvoir redevenir humain. Il n'en est rien. La déconvenue fait plaisir à voir malgré quelques fausses note et une réalisation un peu plate.
HELLBOY : Très bonne surprise avec enfin une VRAIE adaptation de l'univers Hellboy. On a quelques maladresses de réalisation, une BO un peu assourdissante, mais c'est généreux et globalement bien foutu.
CHILD'S PLAY : Pas si mauvais en fin de compte. La mise à jour fonctionne mais l'apparence de Chucky est vraiment ignoble. Comment peut-on laisser passer ça quand on se lance dans un tel projet ?
SPIDER-MAN FAR FROM HOME : Après les biens mauvais CAPTAIN MARVEL et ENDGAME, ce Spiderman relève un peu la barre. Comme dans le précédent opus, c'est le super-vilain qui s'en sort le mieux. Spidey et ses copains de classes restent le prix pénible à payer.
GODZILLA 2 - ROI DES MONSTRES : Superbe, généreux, spectaculaire.
MIDSOMMAR : Beaucoup de bruit pour pas grand chose. Ca se regarde bien. Une fois. C'est esthétiquement soigné, l'ambiance est là mais c'est tellement long et convenu...
PARASITE : Une belle réussite, assez sournoise, avec un film qui tient plus de la critique sociale que du film horrifique. Très intéressant et bien joué.
XMEN - DARK PHOENIX : Un X-MEN de plus, dans la lignée des derniers. Mieux que le précédent mais toujours aussi fade, notamment à cause de ses actrices principales minables.
Donc au final ça donne :
Mon Top 5 cinéma, sans rien de vraiment extraordinaire :
1. JOKER : Imparfait mais d'un très bon niveau
2. US : Maitrisé mais complexe.
3. PARASITE : Très bon thriller social
4. HELLBOY : La grosse surprise, le truc inattendu !
5. JOHN WICK 3 : On tire sur la corde mais bon... Halle Berry et ses chiens !!
Mon Flop 5 cinéma, essentiellement de grosses désillusions :
1. AVENGERS ENDGAME : La pire manière de cloturer une saga, tout ce qu'il ne fallait pas faire !
2. GLASS : Un gros crachat à la gueule des personnages et des spectateurs
3. ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD : Film bicéphale complètement déséquilibré.
4. CRAWL : Des crocodiles magnifiques dans un film merdique
5. SIMETIERRE : On s'y attendait mais oui, c'est raté !