Des lesbiennes, des gays très cuir et des putes qui sentent bon le bois de Boulogne. On a l'impression que Paris est la capitale de la perversion. Bien pour les provinciaux de l'époque qui n'avait jamais vu grand chose, mais bon 20 ans plus tard, on se marre bien. Un brin de danger avec un aperçu de la "zone" (comunément appelé banlieue aujourd'hui

Le docu(l)mentaire est souvent miné par des mises en scène trop préparée, l'ensemble manque de spontanéité. Normal, les anonymes ont plus l'air d'être des acteurs (amateurs)... La France interdite ou une arnaque de plus dans le genre.
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