Une famille noire est prise en otage dans leur propre maison par une bande de psychopathes dégénérés en fuite (un " white trash ", un Hispanique et un Asiatique). Bien que sous la menace d’armes à feu, ils affrontent la situation avec fierté (excellente la big Mama qui tient tête au plus ouf lui balançant ses vérités en p leine tronche alors qu’il la menace d’un couteau, le mome aussi qui n’a peur de rien) . Mais bon, c’est un " Rape and revenge " (un peu une version Blaxploitation de " La dernière maison sur la gauche "), donc pas tout rose…
Et même plutôt violent, surtout au niveau des dialogues, les insultes racistes pleuvent, et pourtant, vu mon niveau d’Anglais, j’ai du en louper une bonne tripotée. Mention spéciale à William Sanderson, le white trash furieusement raciste qui n’évite aucune humiliation à ses otages et se sent trop puissant un gun à la main, en tout cas, il y va à fond et assume totalement son role à l’écran (perso j’aurai eu trop peur de me faire cramer par les Black Panthers à jouer une salope pareil
)Le dvd Blue Underground comme d’hab est niquel (à part le tout début du film un peu abimé), sorti en France sous le titre " Otages en sursis ", je serai très curieux d’entendre l’adaptation française, et de savoir si la vhs est cut ou pas.
racistes. J'avais jamais entendu ça dans un film. Mais c'est vrai que le coté too much du film atténu vraiment le malaise.