et oui le cine mexicain fantastique de série b est à l'honneur pour nous provinciaux biarrots qui sommes toujours à court de pellicules spéciales. mais voilà que c'est à notre tour de nous de nous faire les porte paroles de notre dinguerie si peu inavouée et surtout d'être les sacrés veinards. ( bon je m'avance trop vite, je les ai pas vus encore, mais bon i y a de quoi se réjouir...
alors j'invite tous ceux qui peuvent venir à voir :
- EL SEXO FUERTE (1946)
- LA NAVE DE LOS MONSTRUOS (1959)
- LA MOMIA AZTECA (1957)
- EL PLANETA DE LAS MUJERES INVASORAS (1966)
- ARANAS INFERNALES (1966)
- SANTO VS LA INVASION DE LOS MARCIANOS (1966)
vite car la retro ne dure que du 28 septembre au 2 octobre.
et pour les autres je vais essayer de m'improviser chroniqueur de ces perles même si je suis en plein exam et que je ne sais pas si je pourrais toutes les voir (aÏe pour ma santé mentale déjà si fragile )
et pour ceux qui ont la chance d'avoir vu ces films, je les invite à se prononcer.
un nouvel devidealAdiste, rejoint la nuit, écoute bien, c'est assourdissant !
CINEMA FANTASTIQUE / SERIE B/Z MEXICAIN
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CINEMA FANTASTIQUE / SERIE B/Z MEXICAIN
"Que vois-tu quand tu éteins la lumière?
Je ne peux pas te le dire mais je sais que c'est à moi."
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Re: CINEMA FANTASTIQUE / SERIE B/Z MEXICAIN
Bienvenu à bord !Cryppolea a écrit :un nouvel devidealAdiste, rejoint la nuit, écoute bien, c'est assourdissant !
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
me revoici depuis Biarritz où les sessions de ciné mexicain fantastique ont attiré foule et quelle foule, c'était impressionnant, plein de gens nuevos santos enmascarados et de blue demons, des filles avec des mini jupes ras la ....ne, et puis le décor des fusées en zinc de tous côtés et surtout une bande de cowboys et de vampires en train de pousser la chansonette mexicaine, c'était à tirer des larmes!
puisque pas mal de choses ont été dites sur ce ciné, alors je parlerai de deux films vraiments super que vous recommande : EL SEXO FUERTE et LA NAVE DE LOS MONSTRUOS
films des années 50, enthousiastes, pleins d'envolées sur l'amour et les femmes, de joutes à base de chansons, de moments vraiment surprenants, beaux ou franchement poussifs, mais quelle joie.
et puis j'y suis allé avec un devildealiste qui a jamais vu ça même dans ces plus beaux songes en Z.
et puis on a du présenter le film parce qu'on a expliqué que l'on écrivait sur devildead, alors ils nous ont demandé de monter sur l'estrade du Colisée, rien que ça, et là en face d'un parterre réellement effrayant, on a chanté en choeur, et les monstres faisaient grouiller leurs tentacules et les chauves souris volaient de toute part, et le public s'impatientait de rejoindre ses mondes, et mon collègue qui connaît rien à l'espagnol a cru faire une boutade sur le côté sympathique de ces films et alors là, un silence terrible s'est formé, la bonne humeur se dissipa et un fin brouillard s'éleva et là, merci le projectionniste, le film démarra.
pas facile d'être devildealistes des fois, comme quoi le fantastique...
puisque pas mal de choses ont été dites sur ce ciné, alors je parlerai de deux films vraiments super que vous recommande : EL SEXO FUERTE et LA NAVE DE LOS MONSTRUOS
films des années 50, enthousiastes, pleins d'envolées sur l'amour et les femmes, de joutes à base de chansons, de moments vraiment surprenants, beaux ou franchement poussifs, mais quelle joie.
et puis j'y suis allé avec un devildealiste qui a jamais vu ça même dans ces plus beaux songes en Z.
et puis on a du présenter le film parce qu'on a expliqué que l'on écrivait sur devildead, alors ils nous ont demandé de monter sur l'estrade du Colisée, rien que ça, et là en face d'un parterre réellement effrayant, on a chanté en choeur, et les monstres faisaient grouiller leurs tentacules et les chauves souris volaient de toute part, et le public s'impatientait de rejoindre ses mondes, et mon collègue qui connaît rien à l'espagnol a cru faire une boutade sur le côté sympathique de ces films et alors là, un silence terrible s'est formé, la bonne humeur se dissipa et un fin brouillard s'éleva et là, merci le projectionniste, le film démarra.
pas facile d'être devildealistes des fois, comme quoi le fantastique...
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