Interminable, insupportable, chiant, prétentieux... J'ai la haine. Je me suis rarement autant emmerdé au cinéma que pendant ce film. Imaginez deux heures de dialogues récités par des acteurs mal dirigés qui philosophent sur l'art. Un vrai calvaire. Complètementr surréaliste. A côté, Rohmer réalsie des films d'action. Eugène Green, le réalisateur, avait pourtant une jolie brochette de comédiens à sa dispo (olivier Gourmet, Natacha Reigner, alexis Loret, Denis Podalydes, Jeremie Rénier). Quel gâchis!
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Le pont des arts: 2h06 d'ennui!
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Oeuvre pétillante d'esprit, rayonnante d'intelligence, affolante de grace.
(copyright : le monde)
Je n'aurais pas dit mieux.
Nan, Je déconne...
Comme l'a dit creep, le premier choc, c'est la diction. Porobablement dans une tentative d'hommage a la nouvelle vague,le réalisateur se sent obligé de forcer ses acteur a "réciter" les texte, mot par mot, de manière totalement neutre. De la nouvelle vague, eugène green ne semble avoir retenu que le maniérism : si on se prend a penser a bresson (surtout "le diable, probablement), eustache ou rivette, "le pont des arts" est la preuve la plus parfaite qu'il soit que la qualité d'un film ne se résume pas a la somme de ses influences. On imagine que green a cru découvrir en la personne de adrien michaux un digne successeur de jean-pierre léaud : raté ! Celui-ci peine a convaincre, comme la grande majorité du casting. Se démarquent toutefois denis podalydès, ignoble, et olivier gourmet, halluciné. Voila donc pour ce pont des arts, qui d'ailleurs se (com)plait a caricaturer les milieux élitistes de la culture tout en tombant dans les travers qu'il dénonce (crypticisme, gout pour le vide, le vain).
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(copyright : le monde)
Je n'aurais pas dit mieux.
Nan, Je déconne...
Comme l'a dit creep, le premier choc, c'est la diction. Porobablement dans une tentative d'hommage a la nouvelle vague,le réalisateur se sent obligé de forcer ses acteur a "réciter" les texte, mot par mot, de manière totalement neutre. De la nouvelle vague, eugène green ne semble avoir retenu que le maniérism : si on se prend a penser a bresson (surtout "le diable, probablement), eustache ou rivette, "le pont des arts" est la preuve la plus parfaite qu'il soit que la qualité d'un film ne se résume pas a la somme de ses influences. On imagine que green a cru découvrir en la personne de adrien michaux un digne successeur de jean-pierre léaud : raté ! Celui-ci peine a convaincre, comme la grande majorité du casting. Se démarquent toutefois denis podalydès, ignoble, et olivier gourmet, halluciné. Voila donc pour ce pont des arts, qui d'ailleurs se (com)plait a caricaturer les milieux élitistes de la culture tout en tombant dans les travers qu'il dénonce (crypticisme, gout pour le vide, le vain).
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