Deep Freeze- Ice Crawlers de John Carl Buechler (2004)

[Superwonderscope]

JCB (Cellar Dweller, Vendredi 13 n°7) revient à la réalisation pour cet autre produit Regent Ent. et sa coleec Creature Feature avec cette ci un casting différent:
Götz Otto, David Millbern, Alexandra Kamp-Groeneveld, Karen Nieci, Howard Holcomb...

...où dans une station Arctique une race de monstres congelés sont accidentellement réveillés... suivez mon regard vers la chose... cette fois-ci les bebetes ont un corps plutot serpentin et ont des pulsions vampiriques en se nourrissant de sang humain.

Le film s'appelait à l'origine ice Crawlers mais le titre a changé en cours de route pour se nommer au finish Deep Freeze avec un autre affiche



et pour toi public, des photos :





bonne nouvelle : il y a des baignoires suffisamment larges dans les stations en Arctique.

[Kerozene]

Ca semble pomper un peu AVP, mais ça a l'air mieux que AVP, c'est déjà une bonne nouvelle

[Dragonball]

Ca semble pomper un peu AVP, mais ça a l'air mieux que AVP, c'est déjà une bonne nouvelle

Bon, tu l'as surement vu depuis, mais au cas ou, je le préicse quand même : Non, ce n'est pas mieux qu'AVP !

C'est un ersatz tout pourri de "The Thing", rigolo (Otto Gotz oblige ! ), mais touyt pourri quand même !

[manuma]

Vu sur la une un samedi soir de cet été (le seul truc que j’ai dû magnétoscoper sur la une cette année). Ce The Thing à la sauce teenager est plutôt rigolo. Avec d'’improbables personnages d’étudiants chercheurs savoureusement caricaturaux – la bimbo, le black informaticien à lunettes … - en vedettes et des répliques et situations Z hilarantes à la pelle (« Je vous rejoins plus tard, les gars, j’ai laissé mon sandwich au fond de la chaufferie ») au sein d'une intrigue débile mais menée avec entrain par Buechler.

[KX69]

Que c'est mauvais! Le scénario ne fait preuve d’aucune originalité, ni même d’une tentative d’écriture. On ne s’intéresse ni aux personnages, ni à leur sort. La réalisation est fonctionnelle. Les tentatives de dynamiser le métrage restent vaines: les brefs flashback sur les derniers moments vécus par les victimes lors de leur trépas n’ont aucune légitimité scénaristique. La photographie est quelconque. C’est fauché et il ne se passe pas grand chose pendant les 60 premieres minutes plutôt bavardes. Heureusement, ça s’active un peu pour le quart d’heure restant (le film dure moins de 80mn générique compris) avec des effets spéciaux « old school » à priori 100% CGI free (et c’est un bon point) qui laisse croire que la technique n’a pas évoluée depuis « Bride on the monster » de Ed Wood Jr : les acteurs doivent toujours s’agiter avec une créature en caoutchouc pour simuler une attaque! On dira que c’est un hommage de John Carl Buechler qui nous gratifie également de quelques courts plans d’animation image par image. Finalement, on perdra moins de temps à regarder la bande annonce qui présente la quasi-totalité des apparitions de la créature.