demonlover - au secours
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demonlover - au secours
salut à tous
je n'ai trouvé aucun sujet là dessus - s'il y en a un merci de me l'indiquer
je ne ferai pas une critique du film pour la simple et bonne raison que je ne pense pas avoir tout compris
je n'avais pas de sous titres fraçais pour les passages en anglais et je me raccorche à lespoir que ce sont parmi ces passages en anglais que se trouvent les clés du film...
qqun aurait il la gente amabilité d'éclairer ma lanterne?
j'ai trouvé le tout très décousu, ne comprenant pas vraiment l'histoire au final et le rôle exact de chacun des personnages...
merci d'avance
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ne me remerciez pas, remerciez plutôt la science
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Non non je crois bien que ce film n'a ni queue ni tête
Une purge immonde qui prétend parler des images modernes et de leurs impacts mais qui se révèle au final un vague thriller d'un ennui à mourir avec inserés quelques images d'Hentaï pour montrer que c'est des images pas belles et violentes. Le seul film où j'ai vraiment failli me barrer avant la fin, remarque ça aurait été bête puisque la fin c'est ce que le film a de mieux.
Dommage de gacher un putain de casting comme ça : Connie Nielsen, Gina Gershon (qui va s'acheter des chaussures) et Chloë Sévigny (qui joue à la playstation à poil sur un lit)... Vraiment nawak comme film.

Une purge immonde qui prétend parler des images modernes et de leurs impacts mais qui se révèle au final un vague thriller d'un ennui à mourir avec inserés quelques images d'Hentaï pour montrer que c'est des images pas belles et violentes. Le seul film où j'ai vraiment failli me barrer avant la fin, remarque ça aurait été bête puisque la fin c'est ce que le film a de mieux.
Dommage de gacher un putain de casting comme ça : Connie Nielsen, Gina Gershon (qui va s'acheter des chaussures) et Chloë Sévigny (qui joue à la playstation à poil sur un lit)... Vraiment nawak comme film.
http://www.chuckpalahniuk.net
Mon avatar : Jacek Yerka, dessinateur de génie.
"Mais qu'importe, que le vent m'emporte, nourrir les bêtes et les cloportes. Ce sera bien là de toute une vie, le seul contrat bien rempli." Mano Solo
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On est d'accord que d'une certaine manière le propos et le message final du film sont hyper simplistes (mon dieu, la fin !
), mais sinon tu peux pas nier au film un sens certain de l'esthétique. Et sinon en ce qui me concerne, j'avais aussi gardé le souvenir d'un suspens bien travaillé.
Bon ceci dit, ça repond toujours pas à la question de ennemi (par ailleurs très floue).

Bon ceci dit, ça repond toujours pas à la question de ennemi (par ailleurs très floue).
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Ben comme je le dis dans mon post c'est paradoxalement la fin que j'ai préféré... Mais bon ce film m'avait profondemment horripilé même si c'est vrai que visuellement c'est pas mal mais je sais pas ça suinte le film à thèse français à chaque seconde et le scénar se perd dans des considérations dont tout le monde se fout sur des enjeux enconomico-politique. Sinon une autre scène bien toute pourrie c'est le fight à deux balles entre Connie Nielsen et Gina Gershon, filmé dans l'obscurité si je me souviens bien pour une lisibillité proche du zéro.Manolito a écrit :Ah oui, j'avais oublié...MovieRev a écrit :(mon dieu, la fin !)
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Un des meilleurs film de 2002.
Une interessante réflexion sur les images, pour un film d'une beauté froide et fascinante (je veux bien que l'on adhère pas au film, mais il est difficile de lui nier sa dimension esthétique). A la limite, on peut reprocher au film de pêcher par ambition : a trop vouloir en dire, on peut avoir l'impression qu'assayas s'éparpille (moi, ca ne m'a pas gêné). Quelques scènes réellement magnifiques (je me souvient notamment d'une scène en voiture superbement filmée).
Je serais incapable de répondre a la question d'ennemi car je ne la comprends pas vraiment et je n'ai pas econre revu le film depuis sa sortie en 2002.
Une interessante réflexion sur les images, pour un film d'une beauté froide et fascinante (je veux bien que l'on adhère pas au film, mais il est difficile de lui nier sa dimension esthétique). A la limite, on peut reprocher au film de pêcher par ambition : a trop vouloir en dire, on peut avoir l'impression qu'assayas s'éparpille (moi, ca ne m'a pas gêné). Quelques scènes réellement magnifiques (je me souvient notamment d'une scène en voiture superbement filmée).
Je serais incapable de répondre a la question d'ennemi car je ne la comprends pas vraiment et je n'ai pas econre revu le film depuis sa sortie en 2002.
alors je reformule
(évidemment ne pas lire si vous n'avez pas lu le film)
qui est exactement charles berling? il travaille pour le hell fire club?
qu'est le hell fire club au juste (il n'apparait qu'à la moitié du film ce que je trouve stupide vu que ça donne un autre départ au film) à part un truc de bondage et snuff movie sur le net?
et pourquoi l'héroïne se fait elle traquer comme cela à la fin? rien capté...elle travaille pour metronics ensuite les autres de hell fire club (avec qui elle va conclure un contrat apparemment) la traque pour finalement l'installer dans une salle de bondage
bon c'est quoi ce bordel en somme?
qqun pourrait il raconter l'histoire en fait de A à Z?
la fin m'a plu parce qu'il y a du darkthrone dans la BO ahhaha...et ça correspond bien au côté insane mais grotesque de la fin
je comprends pas qu'un truc qui part en thriller judiciaire puisse virer dans un thriller à la con série B sur la dernière partie du film..ça fout par terre toute la crédibilité du film
(évidemment ne pas lire si vous n'avez pas lu le film)
qui est exactement charles berling? il travaille pour le hell fire club?
qu'est le hell fire club au juste (il n'apparait qu'à la moitié du film ce que je trouve stupide vu que ça donne un autre départ au film) à part un truc de bondage et snuff movie sur le net?
et pourquoi l'héroïne se fait elle traquer comme cela à la fin? rien capté...elle travaille pour metronics ensuite les autres de hell fire club (avec qui elle va conclure un contrat apparemment) la traque pour finalement l'installer dans une salle de bondage
bon c'est quoi ce bordel en somme?
qqun pourrait il raconter l'histoire en fait de A à Z?
la fin m'a plu parce qu'il y a du darkthrone dans la BO ahhaha...et ça correspond bien au côté insane mais grotesque de la fin
je comprends pas qu'un truc qui part en thriller judiciaire puisse virer dans un thriller à la con série B sur la dernière partie du film..ça fout par terre toute la crédibilité du film
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Re: demonlover - au secours
je compatis, tu as peur qu'un des bouffons du forum écrive dans ton thread "loooze" sans rien apporter à ta critique.ennemi a écrit :salut à tous
je n'ai trouvé aucun sujet là dessus - s'il y en a un merci de me l'indiquer
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Comme Battosai, j'ai vraiment bien aime ce film. Pas parfait, c'est vrai, mais il m'avait laisse une tres bonne impression.
Je ne me souviens pas d'incoherences flagrantes, il faudrait que je le revoie.
A l'epoque, y'avait Zecreep qui avait fait un vrai lobbying sur ce film il me semble.
Je ne me souviens pas d'incoherences flagrantes, il faudrait que je le revoie.
A l'epoque, y'avait Zecreep qui avait fait un vrai lobbying sur ce film il me semble.

What the fuck did I do ?
Merci niko, je me sens moins suel.
D'ailleurs quand j'y repense, le film, dans son aspect "espionnage industriel" m'avait beaucoup rappelé new rose hotel (un des meilleurs ferrarra, même si je doit être le seul a le penser).
En plus y'a sonic youth a la bo, et un titre de silver mt zion sur la fin.
Dire qu'après y'en a pour se plaindre. Tsss
.
Desole ennemi, mais je ne me rapelle pas assez du film pour répondre.
D'ailleurs quand j'y repense, le film, dans son aspect "espionnage industriel" m'avait beaucoup rappelé new rose hotel (un des meilleurs ferrarra, même si je doit être le seul a le penser).
En plus y'a sonic youth a la bo, et un titre de silver mt zion sur la fin.
Dire qu'après y'en a pour se plaindre. Tsss

Desole ennemi, mais je ne me rapelle pas assez du film pour répondre.
Oui, oui. Zecreep aussi est fan.l'epoque, y'avait Zecreep qui avait fait un vrai lobbying sur ce film il me semble
ok en fait je vois que d'après les réponses tout reste flou pour ceux qui l'ont vu
je trouve dommage qu'au bout d'une bonne heure d'espionnage industriel (la partie est très réussi) ça vire dans le grand n'importe quoi
et puis bon du soulfly et du darkthrone dans la BO voilà tout ce que je retiendrai
je trouve dommage qu'au bout d'une bonne heure d'espionnage industriel (la partie est très réussi) ça vire dans le grand n'importe quoi
et puis bon du soulfly et du darkthrone dans la BO voilà tout ce que je retiendrai
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Re: demonlover - au secours
Aigris ?igorfx a écrit :je compatis, tu as peur qu'un des bouffons du forum écrive dans ton thread "loooze" sans rien apporter à ta critique.ennemi a écrit :salut à tous
je n'ai trouvé aucun sujet là dessus - s'il y en a un merci de me l'indiquer

"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
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vu sur le dvd Z2 français. scope DD 5.1 excellent!
Je suis assez mitigé. Le début me plait plutôt bien et visuellement, c'est vraiment splendide. Il existe un vrai travail ducadre et de l'image, cequi demeure cohérent avec le sujet (le pouvoir du visuel, ce qu'on cache/ce qu'on montre/ce qu'on accepte bien de laisser entrevoir).
Ensuite, on sent bien que le thriller n'est pas ce qui intéresse le réalisateur. Voir la poursuite en voiture à la fin, filmée sans volonté spectaculaire, avec une musique planante et un montage mou. Il est clair qu'Assayas regarde ailleurs.
Le film patine dès le retour du personnage de Karen; là le film devient plus hasardeux, il se mollit et on se contrfiche d'un quelconque suspense. les motivations de Connie Nielsen deviennent vaporeuses et la fin est ultra-prévisible. Et elle met du temps à arriver, cette godiche. les quarante dernières minutes tiennent du remplissage. pour apprendre quoi? Que le business, tous des vautours? Qu'à forcer d'aller près du soleil on se brule? Pfff. Beaucoup de bruit pour rien. Comme d'habitude chez Assayas, en fait.
Les méchants sont...ben méchants, quoi. Les gardiens du hellfire Club sont un bon concentré de cliché (tatoués, tamoués, musclés, burinés)
Gina Gershon refait Bound ou Showgirls. Vulgos dans son discours et dans son look, les lèvres en pature, de la drogue bien sur, du cul of course. C'est en fait chaque personnage qui est comme cela (hormis Connie Nielsen) : unilatéral et jouant très peu sur une richesse de registres différents.
Et cette fin... C'est un peu aussi ce qui me gêne... le message qu'Assayas fait passer est ambigu (c'est quoi au finsih? internet c'est mal passque y'a toutes ce schoses horribles qui s'y passent dessus?) mais sans ambage. Un peu come le message anti-pornographqiue que Wenders faisait passer dans Si Loin si proche. C'est assez primaire, quand même.
Une chose amusante : sur les bonus, il y a une interview de Chloe Sevigny qui se lache un peu (c'est d'ailleurs la seule). Indiquant qu'Assayas ne la dirigeait jamais que d'ailleurs il semblait que les acteurs ne l'int"ressaient pas. Qu'elle se semblait mal à l'aise car sans aucune indication sur son travail, le peu de préparations sur les costumes. Ca en disait assez long sur l'état d'esprit du film!
Je suis assez mitigé. Le début me plait plutôt bien et visuellement, c'est vraiment splendide. Il existe un vrai travail ducadre et de l'image, cequi demeure cohérent avec le sujet (le pouvoir du visuel, ce qu'on cache/ce qu'on montre/ce qu'on accepte bien de laisser entrevoir).
Ensuite, on sent bien que le thriller n'est pas ce qui intéresse le réalisateur. Voir la poursuite en voiture à la fin, filmée sans volonté spectaculaire, avec une musique planante et un montage mou. Il est clair qu'Assayas regarde ailleurs.
Le film patine dès le retour du personnage de Karen; là le film devient plus hasardeux, il se mollit et on se contrfiche d'un quelconque suspense. les motivations de Connie Nielsen deviennent vaporeuses et la fin est ultra-prévisible. Et elle met du temps à arriver, cette godiche. les quarante dernières minutes tiennent du remplissage. pour apprendre quoi? Que le business, tous des vautours? Qu'à forcer d'aller près du soleil on se brule? Pfff. Beaucoup de bruit pour rien. Comme d'habitude chez Assayas, en fait.
Les méchants sont...ben méchants, quoi. Les gardiens du hellfire Club sont un bon concentré de cliché (tatoués, tamoués, musclés, burinés)
Gina Gershon refait Bound ou Showgirls. Vulgos dans son discours et dans son look, les lèvres en pature, de la drogue bien sur, du cul of course. C'est en fait chaque personnage qui est comme cela (hormis Connie Nielsen) : unilatéral et jouant très peu sur une richesse de registres différents.
Et cette fin... C'est un peu aussi ce qui me gêne... le message qu'Assayas fait passer est ambigu (c'est quoi au finsih? internet c'est mal passque y'a toutes ce schoses horribles qui s'y passent dessus?) mais sans ambage. Un peu come le message anti-pornographqiue que Wenders faisait passer dans Si Loin si proche. C'est assez primaire, quand même.
Une chose amusante : sur les bonus, il y a une interview de Chloe Sevigny qui se lache un peu (c'est d'ailleurs la seule). Indiquant qu'Assayas ne la dirigeait jamais que d'ailleurs il semblait que les acteurs ne l'int"ressaient pas. Qu'elle se semblait mal à l'aise car sans aucune indication sur son travail, le peu de préparations sur les costumes. Ca en disait assez long sur l'état d'esprit du film!
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?