
Tropical malady
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Tropical malady
ça n'a pas encore était dis sur le forum (ou du moin, il n'a pas de topic consacré) sortie de Tropical malady le 24 novembre 2004


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J'avais raté Blissfully Yours a sa sortie ciné et j'esssairai de pas rater celui là si il est bien distribué dans mon coin (j'espère que le faitq'il soit au palmarès a Cannes aide a ça)
sinon apparemment MK2 sort (enfin) en DvD "Blissfully yours" le 17/11 (mercredi en fait) accompagné de son 1er long: "Mysterious Object at Noon"
sinon apparemment MK2 sort (enfin) en DvD "Blissfully yours" le 17/11 (mercredi en fait) accompagné de son 1er long: "Mysterious Object at Noon"
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Clair que la typo est quand même assez délirante.
Sinon movierev, je confirme que ce n'est pas l'auteur du beau (mais quand même un peu chiant, un peu trop "typiquement asiatique") last life in the universe.
Sinon la ba de tropical malady est plutot pas mal. J'y crois...(même si j'ai deja donné dans la parabole sauvage/animale pour le mois de novembre avec le pitoyable los muertos...)
Sinon movierev, je confirme que ce n'est pas l'auteur du beau (mais quand même un peu chiant, un peu trop "typiquement asiatique") last life in the universe.
Sinon la ba de tropical malady est plutot pas mal. J'y crois...(même si j'ai deja donné dans la parabole sauvage/animale pour le mois de novembre avec le pitoyable los muertos...)
Dans la continuation de blissfully yours.
Le film est coupé en deux parties très distinctes. La première, sorte de chronique de la naissance d'une relation homosexuelle, sur fond de banalité ambiante, peut rebuter. C'est du ciné d'auteur classique, parfois efficace. Ca joue beaucoup sur la lenteur, la banalité, la mise en scène (effets de cadrages, longueure de certains plans), avec quelques éclats kitschs.
Et puis, comme pour blissfully yours, le film s'embarque brusquement dans une errance tropicale, abandonnant les personnages, pour narrer un conte traditionnel thailandais. Fascinante et emmerdante, il y est question de l'attirance naturelle de l'homme pour l'animalité, pour l'instinct. La tropicl malady y est, en quelque sorte, ce virus qui pousse l'homme a tout abandonner, a se comporter en animal. Si l'idée est forcément intéressante et donne lieux a quelques superbes plans, ca parait franchement étiré, parfois a la limite du pénible.
Quoiqu'il en soit, un audacieux pari cinématographique, qui ne ressemble a rien d'autre.
xx
Le film est coupé en deux parties très distinctes. La première, sorte de chronique de la naissance d'une relation homosexuelle, sur fond de banalité ambiante, peut rebuter. C'est du ciné d'auteur classique, parfois efficace. Ca joue beaucoup sur la lenteur, la banalité, la mise en scène (effets de cadrages, longueure de certains plans), avec quelques éclats kitschs.
Et puis, comme pour blissfully yours, le film s'embarque brusquement dans une errance tropicale, abandonnant les personnages, pour narrer un conte traditionnel thailandais. Fascinante et emmerdante, il y est question de l'attirance naturelle de l'homme pour l'animalité, pour l'instinct. La tropicl malady y est, en quelque sorte, ce virus qui pousse l'homme a tout abandonner, a se comporter en animal. Si l'idée est forcément intéressante et donne lieux a quelques superbes plans, ca parait franchement étiré, parfois a la limite du pénible.
Quoiqu'il en soit, un audacieux pari cinématographique, qui ne ressemble a rien d'autre.
xx
Vu cet après midi.
J'étais dégouté de ne pas avoir eu sommeil, là... J'ai même pas pu dormir.
Non, mais franchement: la derniere fois que je me suis EMMERDE à ce point, c'était pendant "all tomorrow's parties". On frole le foutage de gueule.
Et il faudrait arreter de traiter le cinéma d'auteur de films CHIANTS et PRETENTIEUX: Soderbergh (par exemple...) fait du cinema d' "auteur" sans faire de longues chianlits interminables qui petent plus haut que leurs bobines.
D'ailleurs à la fin de la projection (eh oui je suis resté jusqu'à la fin: j'étais avec ma femme qui s'était fait chier aussi, finalement: masos, en plus!) , y'avait un pendu au fond de la salle. C'est bien sur faux.
Moi, par contre j'ai frolé la folie tellement j'avais la rage d'avoir perdu 4h.
Ah... on me dit que le film ne durait que 2h.
Enfin, il me manque peut etre une case, mais j'aimerais que l'on m'explique en quoi des plans d'une desespérante longueur et des acteurs qui jouent encore plus mal que Canet (oui, je balance un peu il est 3:30 du mat alors je balance), et un monteur qui a 1 de tension (ou alors juste un diplome en informatique), et un directeur photo qui a paumé sa Spectra, sont plaisants.
D'ailleurs, je ne sais pas combien ont touché les critiques complaisants, mais il est évident qu'ils n'ont pas enduré ce supplice thaï dans son entier (c'est bon le riz Thaï, comme quoi...).
En conclusion: y'a deux sortes de mauvais cinémas: ceux qui ne s'en cachent pas (monsieur Pécas ne se prenait surement pas pour Chabrol), et les soi disant "auteurs" qui se croient sortis de la cuisse des frères Lumière et croient détenir la vérité absolue (contrairement à moi: cette opinion n'engage que mon humble personne...).
Pas content. Gna.
J'étais dégouté de ne pas avoir eu sommeil, là... J'ai même pas pu dormir.
Non, mais franchement: la derniere fois que je me suis EMMERDE à ce point, c'était pendant "all tomorrow's parties". On frole le foutage de gueule.
Et il faudrait arreter de traiter le cinéma d'auteur de films CHIANTS et PRETENTIEUX: Soderbergh (par exemple...) fait du cinema d' "auteur" sans faire de longues chianlits interminables qui petent plus haut que leurs bobines.
D'ailleurs à la fin de la projection (eh oui je suis resté jusqu'à la fin: j'étais avec ma femme qui s'était fait chier aussi, finalement: masos, en plus!) , y'avait un pendu au fond de la salle. C'est bien sur faux.
Moi, par contre j'ai frolé la folie tellement j'avais la rage d'avoir perdu 4h.
Ah... on me dit que le film ne durait que 2h.

Enfin, il me manque peut etre une case, mais j'aimerais que l'on m'explique en quoi des plans d'une desespérante longueur et des acteurs qui jouent encore plus mal que Canet (oui, je balance un peu il est 3:30 du mat alors je balance), et un monteur qui a 1 de tension (ou alors juste un diplome en informatique), et un directeur photo qui a paumé sa Spectra, sont plaisants.
D'ailleurs, je ne sais pas combien ont touché les critiques complaisants, mais il est évident qu'ils n'ont pas enduré ce supplice thaï dans son entier (c'est bon le riz Thaï, comme quoi...).
En conclusion: y'a deux sortes de mauvais cinémas: ceux qui ne s'en cachent pas (monsieur Pécas ne se prenait surement pas pour Chabrol), et les soi disant "auteurs" qui se croient sortis de la cuisse des frères Lumière et croient détenir la vérité absolue (contrairement à moi: cette opinion n'engage que mon humble personne...).
Pas content. Gna.

Je suis monteur... Souriez!

Liberez le Tibet!

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Bah, moi, j'ai beaucoup aimé, tout comme Blissfully Yours ! Je suis client de ce genre d'expériences radicales et d'une rare audace, où on ne sait pas trop où l'on va. Des plans énigmatiques, troublants, fascinants... Je ne pense pas que ce film se complait dans la pose auteurisante, les partis-pris de mise en scène ont une vraie force tranquille. Par contre, je comprends très bien que ceux qui sont restés en dehors du film aient pu s'emmerder ferme.
Un monteur qui a 1 de tension, c'est un monteur qui a monté Tropical Malady... Ou en tous cas un film très, très très lent.Allan Theo a écrit :Mathesar a écrit :et un monteur qui a 1 de tension (ou alors juste un diplome en informatique)
Pour ce qui est du diplome d'informatique, je n'ai rien contre les informaticiens, mais en ce moment, les boites de prod engagent un peu n'importe qui (sachant utiliser un ordinateur) pour faire du montage, sous pretexte que les gens engagés sont moins chers et que les logiciels sont très accessibles. Final Cut Pro est particulièrement accessible et intuitif (je l'utilise pour le boulot), et, à en croire le generique, il a été utilisé dans le film...
Voilà, Allan.
Cela dit, Hrundi, Je vais mediter sur ce que tu as dit. Je ne dis pas que je vais revisionner le film (pas tout de suite), mais au moins y repenser. C'est clair que je me suis emmerdé ferme, mais je dois dire qu'en plus en ce moment je ne suis pas au top de ma forme (je ne trouve RIEN comme travail depuis 6 mois, du montage, justement...), alors je n'apprécie peut etre pas vraiment les choses comme je devrais.
Et donc le film m'est passé compeletement au dessus, mais alors vraiment compeletement...
C'est vrai que la premiere partie est moins pire...
Je suis monteur... Souriez!

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Quant a la remarque sur la direction photo, je la trouve assez déplacé, le film étant de grande qualité a ce niveau la (les plans dans la jung la nuit sont très beaux...)