Ciné FX: surprises bonnes et mauvaises
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
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Ciné FX: surprises bonnes et mauvaises
Debarrassée qu'elle est de son logo qui gâchait autrefois tous se programmes, mais soumise à l'imbécile signalétique dont se glorifie le CSA, la chaîne Ciné FX reste une vraie boîte à surprises, alternant le meilleur et le pire. Le meilleur: une très bonne copie, et en VO/stf, du film mythique d'Herbert L. Strock, "How To Make a Monster", sorte de séquelle à la fois de "I Was a Teenage Frankenstein" et de "I Was a Teenage Werewolf". Malheureusement, le finale, à l'origine en couleurs (comme pour d'autres films du même studio à cette époque) est à présent en noir et blanc, mais çà demeure une initiative intéressante que nous présenter ce vieux film inédit chez nous (la dernière fois que je l'avais vu, c'était à Londres en... 1962 !!!). Autre bonne initiative, mais film pas rare du tout, "Crimes au musée des horreurs", mais la VO/stf est légèrement floue, hélas. Quant à la VF, elle est beaucoup plus moche, avec des couleurs passées... Autre programme récent, "Les trois visages de la peur", malheureusement dans une "nouvelle version" concocté par l'infernal Alfred Leone, qui nous inflige un nouveau générique, et une version raccourcie de la scène finale: ici, un fondu au noir escamote la fin de la séquence (dans laquelle Karloff se révélait être sur un cheval de bois, avec des figurants portant des branches d'arbres, courant autour de lui...). Cette nouvelle version me semble par ailleurs à peu près la même que le version italienne d'origine, mais ce qui m'inquiète (je n'ai pas encore tout vérifié) c'est que la nouveau générique crédite ici non pas un, mais TROIS musiciens, dont Les Baxter, qui à ma connaissance n'avait orchestré que le montage américain, "Black Sabbath"... Autre programmation, le très rare "The Day the World Ended" de Roger Corman, mais dans la pire version que vous puissiez imaginer, c'est-à-dire scanné à mort, avec de plus une image pas très nette, sorte de bouillie grisâtre qui a dû convaincre plus d'un téléspectateur à aller voir ce qui se passait sur les autres chaînes... Ciné FX se rattrape par contre avec l'amusant "Croisières sidérales", film de SF français de 1941, réalisé par André Zwobada, avec Madeleine Sologne et Julien Carette. Trsè belle copie ici, à enregistrer absolument (ce film était sorti en VHS voici quelques années). A noter aussi, "L'histoire de l'humanité" (The Story of Mankind", d'Irwin Allen (1957), avec un casting ahurissant, parmi les stars figurent Ronald Colman, Vincent Price, et les frères Marx !
Bref, une chaîne intéressante malgré les quelques couacs signalés, dommage seulement que beaucoup d'autres films, de par leur nature, se voient infliger cette signalétique aussi débile que disgrâcieuse. Détail amusant: "Crimes au musée des horreurs" ECHAPPE à cette signalétique, ne me demandez pas pourquoi; à sa sortie, un critique atrabilaire recommandait de ne pas voir ce film, "malsain, sadique, et dépravé". Maintenant, il semble tous publics, bambins compris. Comprenne qui pourra !!!
Bref, une chaîne intéressante malgré les quelques couacs signalés, dommage seulement que beaucoup d'autres films, de par leur nature, se voient infliger cette signalétique aussi débile que disgrâcieuse. Détail amusant: "Crimes au musée des horreurs" ECHAPPE à cette signalétique, ne me demandez pas pourquoi; à sa sortie, un critique atrabilaire recommandait de ne pas voir ce film, "malsain, sadique, et dépravé". Maintenant, il semble tous publics, bambins compris. Comprenne qui pourra !!!
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Re: Ciné FX: surprises bonnes et mauvaises
...Après PHANTOM PLANET, decidement une bonne cuvée Londres en 62fantomas 2 a écrit : (la dernière fois que je l'avais vu, c'était à Londres en... 1962 !!!)

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de mémoire....
De mémoire, ce qu'il y avait à voir dans les cinémas de Londres en décembre 1962 / janvier 1963, c'est durant ce voyage de deux mois que je les ai tous vus:
- Son of Dracula (Robert Siodmak)
- House of Frankenstein (Erle C. Kenton)
- House of Dracula (Erle C. Kenton)
- Corridors of Blood (Robert Day)
- Grip of the Strangler (Robert Day)
- Blood of Dracula (Herbert L. Strock)
- I Was a Teenage Frankenstein (Herbert L. Strock)
- How to Make a Monster ( Herbert L. Strock)
- The Phantom Planet (William Marshall)
- Bride of the Monster (Edward D. Wood, Jr)
- War of the Satellites (Roger Corman)
- The Werewolf (Fred F. Sears)
- The Wizard of Oz (Victor Fleming)
- The Monster That Challenged the World (Arnold Laven)
- The Giant Leeches (Bernard L. Kowalski)
- The Monster of Piedras Blancas (Irvin Berwick)
- Night of the Blood Beast (Bernard Kowalski)
- A Bucket of Blood (Roger Corman)
- The Dead One (Barry Mahon - peut-être celui devenu le plus rare!)
- The Spider (Bert I. Gordon)
- The Amazing Transparent Man (Edgar G. Ulmer)
et, parmi ceux que j'avais déjà vus en France:
- Frankenstein (James Whale)
- Dracula / Horror of Dracula (Terence Fisher)
- Tom Thumb (George Pal)
et sans doute quelques autres; çà va me revenir. En 1962/63, il y avait à Londres des tas de cinémas, grands comme des halls de gare, parfois dans des quartiers très éloignés du centre, qui ont hélas presque tous disparu. Il y avait encore du fog, la neige restait dans les rues, non balayée, des jours et des jours, les métros (en banlieue, non souterrains) étaient parfois bloqués par le gel, on se caillait les miches, et avant de pénétrer dans un cinéma on allait se réchauffer en buvant du thé dans une gargotte quelconque... Les deux autres, avec moi, c'étaient Jean Boullet, et Philippe Druillet. Ce dernier s'en souvient encore...
- Son of Dracula (Robert Siodmak)
- House of Frankenstein (Erle C. Kenton)
- House of Dracula (Erle C. Kenton)
- Corridors of Blood (Robert Day)
- Grip of the Strangler (Robert Day)
- Blood of Dracula (Herbert L. Strock)
- I Was a Teenage Frankenstein (Herbert L. Strock)
- How to Make a Monster ( Herbert L. Strock)
- The Phantom Planet (William Marshall)
- Bride of the Monster (Edward D. Wood, Jr)
- War of the Satellites (Roger Corman)
- The Werewolf (Fred F. Sears)
- The Wizard of Oz (Victor Fleming)
- The Monster That Challenged the World (Arnold Laven)
- The Giant Leeches (Bernard L. Kowalski)
- The Monster of Piedras Blancas (Irvin Berwick)
- Night of the Blood Beast (Bernard Kowalski)
- A Bucket of Blood (Roger Corman)
- The Dead One (Barry Mahon - peut-être celui devenu le plus rare!)
- The Spider (Bert I. Gordon)
- The Amazing Transparent Man (Edgar G. Ulmer)
et, parmi ceux que j'avais déjà vus en France:
- Frankenstein (James Whale)
- Dracula / Horror of Dracula (Terence Fisher)
- Tom Thumb (George Pal)
et sans doute quelques autres; çà va me revenir. En 1962/63, il y avait à Londres des tas de cinémas, grands comme des halls de gare, parfois dans des quartiers très éloignés du centre, qui ont hélas presque tous disparu. Il y avait encore du fog, la neige restait dans les rues, non balayée, des jours et des jours, les métros (en banlieue, non souterrains) étaient parfois bloqués par le gel, on se caillait les miches, et avant de pénétrer dans un cinéma on allait se réchauffer en buvant du thé dans une gargotte quelconque... Les deux autres, avec moi, c'étaient Jean Boullet, et Philippe Druillet. Ce dernier s'en souvient encore...
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et d'autres...
et:
- Voodoo Woman (Edward L. Cahn)
Je l'avais oublié, celui-là! bref, en comparaison du vide qu'il y avait en France durant ces années-là (mis à part les films de la Hammer, qui marchaient bien, encore que certains soient restés inexplicablement inédits...), l'Angleterre, et Londres surtout, c'était tout simplement le paradis!
De retour à Paris, Jean Boullet s'est procuré un projecteur Heurtier sonore, qui faisait à la fois le 8mm, le 9.5mm et le 16mm, et nous louions des films et organisions des projections, mais au bout d'un moment, nous avons eu l'idée de nous rendre au Marché aux Puces de Saint-Ouen - la ville où j'habite à présent - et nous avons trouvé des copies complètes, en 9.5 mm sonore, de films devenus totalement invisibles de nos jours, car il s'agissait des versions françaises (je veux dire par là: tournées simultanément par le même studio et le même réalisateur, mais avec des acteurs différents) de deux films dont nous ne voyons guère plus, quand ils passent à la télé, que les versions allemandes:
- L'or (de Karl Hatl et Serge de Poligny) - version française de "Gold", ce film allemand étant joué par Hans Albers & Brigitte Helm - alors que dans les mêmes rôles la VF propose Pierre Blanchar et la même Brigitte Helm.
- IF1 ne répond plus, version française de "FP1 antwortet nicht", de Karl Hartl encore, avec Charles Boyer & Danièle Parola (la version allemande propose Hans Albers & Sybille Schmitz dans les mêmes rôles, et pour ce film il y a AUSSI une version anglaise, toujours de Karl Hartl, avec Conrad Veidt & Jill Esmond !!!)
Je donnerais beaucoup pour revoir ces deux VF, apparemment introuvables de nos jours, alors que les deux versions allemande, de même que la version anglaise, on peut les trouver dans quelques catalogues vidéo américains...
- Voodoo Woman (Edward L. Cahn)
Je l'avais oublié, celui-là! bref, en comparaison du vide qu'il y avait en France durant ces années-là (mis à part les films de la Hammer, qui marchaient bien, encore que certains soient restés inexplicablement inédits...), l'Angleterre, et Londres surtout, c'était tout simplement le paradis!
De retour à Paris, Jean Boullet s'est procuré un projecteur Heurtier sonore, qui faisait à la fois le 8mm, le 9.5mm et le 16mm, et nous louions des films et organisions des projections, mais au bout d'un moment, nous avons eu l'idée de nous rendre au Marché aux Puces de Saint-Ouen - la ville où j'habite à présent - et nous avons trouvé des copies complètes, en 9.5 mm sonore, de films devenus totalement invisibles de nos jours, car il s'agissait des versions françaises (je veux dire par là: tournées simultanément par le même studio et le même réalisateur, mais avec des acteurs différents) de deux films dont nous ne voyons guère plus, quand ils passent à la télé, que les versions allemandes:
- L'or (de Karl Hatl et Serge de Poligny) - version française de "Gold", ce film allemand étant joué par Hans Albers & Brigitte Helm - alors que dans les mêmes rôles la VF propose Pierre Blanchar et la même Brigitte Helm.
- IF1 ne répond plus, version française de "FP1 antwortet nicht", de Karl Hartl encore, avec Charles Boyer & Danièle Parola (la version allemande propose Hans Albers & Sybille Schmitz dans les mêmes rôles, et pour ce film il y a AUSSI une version anglaise, toujours de Karl Hartl, avec Conrad Veidt & Jill Esmond !!!)
Je donnerais beaucoup pour revoir ces deux VF, apparemment introuvables de nos jours, alors que les deux versions allemande, de même que la version anglaise, on peut les trouver dans quelques catalogues vidéo américains...
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Milton, autant se tutoyer, comme tout le monde dans ce forum... et sur le Web en général... sinon, je vais me sentir vvviieeuuxxx....
Oui, c'est bien ce Jean Boullet-là! et aussi le vrai Philippe Druillet... C'est l'époque où j'ai vécu avec Boullet pendant un an, et Druillet venait régulièrement, et nous a accompagnés durant ce voyage à Londres. C'est durant ce voyage que nous sommes allés voir l'urne funéraire de Bram Stoker, et que Boullet a décidé de fonder la "Société des Amis de Bram Stoker"... Nous sommes aussi allés au Musée de Madame Tussaud. A l'époque, bien que le Midi-Minuit, à Paris, passait parfois des films d'épouvante, le concept de cinéma entièrement consacré à ce genre de films n'était pas encore né, mais était sur le point de naître. Parfois, lorsque Jean Boullet n'était pas libre, nous nous baladions, dans le grand Londres, Druillet et moi, en cherchant des "comics" d'horreur ou encore des "Mandrake le Magicien". Druillet dessinait déjà mais n'avait encore rien publié. Nous passions des soirées entières à parler de nos films préférés, et ce voyage à Londres nous a naturellement permis d'étendre nos connaissances, car il n'y avait évidemment pas de vidéo à l'époque, assez peu de distribution "fantastique" en France (bien moins qu'en Belgique, en tout cas) et chaque numéro de "Famous Monsters of Filmland" nous apprenait quelque chose. "Midi-Minuit" était à sa première période (la bonne) et "L'Ecran Fantastique" ne devait naître que six ans plus tard, après quelques fanzines faits avec Jean-Pierre Boyxou, Raphaël-Georges Marongiu, Jean-Pierre Fontana et bien d'autres. Je travaillais déjà pour "Famous Monsters", en envoyant à Forrest Ackerman des infos sur les films français fantastiques, ou des vieux magazines. C'était le bon temps, non pas parce que la vie était si meilleure que çà, mais simplemen parce que j'avais 22 ans et encore toutes mes illusions!
Oui, c'est bien ce Jean Boullet-là! et aussi le vrai Philippe Druillet... C'est l'époque où j'ai vécu avec Boullet pendant un an, et Druillet venait régulièrement, et nous a accompagnés durant ce voyage à Londres. C'est durant ce voyage que nous sommes allés voir l'urne funéraire de Bram Stoker, et que Boullet a décidé de fonder la "Société des Amis de Bram Stoker"... Nous sommes aussi allés au Musée de Madame Tussaud. A l'époque, bien que le Midi-Minuit, à Paris, passait parfois des films d'épouvante, le concept de cinéma entièrement consacré à ce genre de films n'était pas encore né, mais était sur le point de naître. Parfois, lorsque Jean Boullet n'était pas libre, nous nous baladions, dans le grand Londres, Druillet et moi, en cherchant des "comics" d'horreur ou encore des "Mandrake le Magicien". Druillet dessinait déjà mais n'avait encore rien publié. Nous passions des soirées entières à parler de nos films préférés, et ce voyage à Londres nous a naturellement permis d'étendre nos connaissances, car il n'y avait évidemment pas de vidéo à l'époque, assez peu de distribution "fantastique" en France (bien moins qu'en Belgique, en tout cas) et chaque numéro de "Famous Monsters of Filmland" nous apprenait quelque chose. "Midi-Minuit" était à sa première période (la bonne) et "L'Ecran Fantastique" ne devait naître que six ans plus tard, après quelques fanzines faits avec Jean-Pierre Boyxou, Raphaël-Georges Marongiu, Jean-Pierre Fontana et bien d'autres. Je travaillais déjà pour "Famous Monsters", en envoyant à Forrest Ackerman des infos sur les films français fantastiques, ou des vieux magazines. C'était le bon temps, non pas parce que la vie était si meilleure que çà, mais simplemen parce que j'avais 22 ans et encore toutes mes illusions!
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Re: et d'autres...
Et on ne PEUT pas l'oublierfantomas 2 a écrit :et:
- Voodoo Woman (Edward L. Cahn) Je l'avais oublié, celui-là!

Sans rire, je le trouve vraiment bien (en fait, j'ai un péché secret pour l'oeuvre d'Edward L. Cahn)
Hélas je n'ai jamais vu "War of the Satellites (Roger Corman) "...tu voyais ces films dans ces grands cinémas d'antan, meme ces séries B?
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Oui, dommage que la fin de "How to make a monster" ait perdu ses couleurs (je ne sais pas si Meltingman pourra nous expliquer pourquoi, je lui ai posé la question dans le fil "FX : programmes janvier 2005"...). Je conserve donc précieusement ma cassette VHS enregistrée sur une chaîne allemande il y a une dizaine d'années.
Dommage aussi que "Day the world ended" n'ait pas une image "top", mais si c'est le prix à payer pour avoir des versions sous-titrées inédites... En attendant mieux, je garde !
Par contre, il y a d'autres cas plus embêtants comme "Crime au musée des horreurs" que tu cites ou "Baron vampire" sur lequel j'ai jeté un coup d'oeil hier. Les copies sont effectivement assez crades, alors qu'on sait qu'il en existe de très bonnes passées naguère sur Canal+ ou Ciné-Cinéma. Je suppose que ce sont des questions de droits qui conduisent à ressortir ces vieux transferts, et je trouve cela regrettable. Maintenant que FX fait partie du bouquet Canal Sat, il devrait être possible de trpouver des arrangements pour récupérer, par exemple, les films programmés par Dionnet dans son regretté "Cinéma de Quartier".
Et par-dessus tout, le gros point noir de Ciné FX, c'est la qualité déplorable de sa diffusion sur Canal Satellite : le débit beaucoup trop faible de la chaîne dégrade considérablement l'image. Une mise à niveau technique avec les autres chaînes de l'option cinéma ne serait pas du luxe !

Dommage aussi que "Day the world ended" n'ait pas une image "top", mais si c'est le prix à payer pour avoir des versions sous-titrées inédites... En attendant mieux, je garde !

Par contre, il y a d'autres cas plus embêtants comme "Crime au musée des horreurs" que tu cites ou "Baron vampire" sur lequel j'ai jeté un coup d'oeil hier. Les copies sont effectivement assez crades, alors qu'on sait qu'il en existe de très bonnes passées naguère sur Canal+ ou Ciné-Cinéma. Je suppose que ce sont des questions de droits qui conduisent à ressortir ces vieux transferts, et je trouve cela regrettable. Maintenant que FX fait partie du bouquet Canal Sat, il devrait être possible de trpouver des arrangements pour récupérer, par exemple, les films programmés par Dionnet dans son regretté "Cinéma de Quartier".

Et par-dessus tout, le gros point noir de Ciné FX, c'est la qualité déplorable de sa diffusion sur Canal Satellite : le débit beaucoup trop faible de la chaîne dégrade considérablement l'image. Une mise à niveau technique avec les autres chaînes de l'option cinéma ne serait pas du luxe !
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Pour le coup, je pense pouvoir répondre pour lui! Elle vient tout simplement du même master utilisé pour le dvd sorti par cesTentakulokans 2 a écrit : Dommage aussi que "Day the world ended" n'ait pas une image "top", mais si c'est le prix à payer pour avoir des versions sous-titrées inédites... En attendant mieux, je garde !![]()



Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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dans les grandes salles...
Superwonderscope a écrit:
"Hélas je n'ai jamais vu "War of the Satellites (Roger Corman) "...tu voyais ces films dans ces grands cinémas d'antan, meme ces séries B?"
Oui, bien sûr! d'une part, ces films étaient des films nouveaux à l'époque, du moins beaucoup de ceux que j'ai cités, et les salles de cinéma, d'autre part, étaient les seuls endroits où l'on pouvait voir des films de toute façon, il n'y avait rien ou presque à la télévision en ces années-là. Maintenant, si c'est à la taille des salles que tu fais allusion, en-dehors d'une petite salle qui passait des courts-métrages et des dessins animés à Piccadilly Circus (un peu comme à Paris, à la même époque, le "Cinéac St-Lazare", qui passait des programmes du même genre, d'une durée totale d'une heure environ, pour permettre aux gens qui avaient un train à prendre de ne pas trop s'ennuyer...), en-dehors de cette salle particulière donc, elle aussi disparue depuis longtemps, je ne me souviens que de grandes salles à Londres! à Paris, il y avait un tout petit cinéma Place Clichy, qui devait faire 80 places environ, mais les salles en général étaient assez grandes, c'est bien plus tard qu'on a commencé à construire des multi-salles avec des écrans riquiqui. Je ne sais plus combien de places comportait l'immense "Gaumont-Palace" de la place Clichy (sur cette place, il y avait donc à la fois le plus grand et le plus petit!), mais c'était le plus grand d'Europe, avec un écran gigantesque. Je me souviens y avoir vu entre autres, lors de leur sortie, "Les diaboliques", "Le salaire de la peur", "Le maître du monde", "Certains l'aiment chaud", etc. Et dire que des tarés, un jour, ont décidé de démolir cette merveille! juste au moment où on allait avoir besoin, à nouveau, de grandes salles...
"Hélas je n'ai jamais vu "War of the Satellites (Roger Corman) "...tu voyais ces films dans ces grands cinémas d'antan, meme ces séries B?"
Oui, bien sûr! d'une part, ces films étaient des films nouveaux à l'époque, du moins beaucoup de ceux que j'ai cités, et les salles de cinéma, d'autre part, étaient les seuls endroits où l'on pouvait voir des films de toute façon, il n'y avait rien ou presque à la télévision en ces années-là. Maintenant, si c'est à la taille des salles que tu fais allusion, en-dehors d'une petite salle qui passait des courts-métrages et des dessins animés à Piccadilly Circus (un peu comme à Paris, à la même époque, le "Cinéac St-Lazare", qui passait des programmes du même genre, d'une durée totale d'une heure environ, pour permettre aux gens qui avaient un train à prendre de ne pas trop s'ennuyer...), en-dehors de cette salle particulière donc, elle aussi disparue depuis longtemps, je ne me souviens que de grandes salles à Londres! à Paris, il y avait un tout petit cinéma Place Clichy, qui devait faire 80 places environ, mais les salles en général étaient assez grandes, c'est bien plus tard qu'on a commencé à construire des multi-salles avec des écrans riquiqui. Je ne sais plus combien de places comportait l'immense "Gaumont-Palace" de la place Clichy (sur cette place, il y avait donc à la fois le plus grand et le plus petit!), mais c'était le plus grand d'Europe, avec un écran gigantesque. Je me souviens y avoir vu entre autres, lors de leur sortie, "Les diaboliques", "Le salaire de la peur", "Le maître du monde", "Certains l'aiment chaud", etc. Et dire que des tarés, un jour, ont décidé de démolir cette merveille! juste au moment où on allait avoir besoin, à nouveau, de grandes salles...
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- Localisation : le coffre d'une bagnole au fond d'un etang pres d'un motel glauque
...promis, vais faire un effort; on mettras ça sur le coup de l'emotion!fantomas 2 a écrit :Milton, autant se tutoyer, comme tout le monde dans ce forum... et sur le Web en général... sinon, je vais me sentir vvviieeuuxxx....

bein t'as de beau souvenirs en tout cas!!! ...pardonnes ma candeur, mais y sont deja dans un livre tout ces jolis souvenirs ou tu dois encore l'ecrire???


Waaaaw!Je ne sais plus combien de places comportait l'immense "Gaumont-Palace" de la place Clichy (sur cette place, il y avait donc à la fois le plus grand et le plus petit!), mais c'était le plus grand d'Europe, avec un écran gigantesque. Je me souviens y avoir vu entre autres, lors de leur sortie, "Les diaboliques", "Le salaire de la peur", "Le maître du monde", "Certains l'aiment chaud", etc. Et dire que des tarés, un jour, ont décidé de démolir cette merveille! juste au moment où on allait avoir besoin, à nouveau, de grandes salles...
LE SALAIRE DE LA PEUR ou CERTAIN L'AIMENT CHAUD au Gaumont Palace, ça devait le faire ça!!!
...Il faisait dans les 5.000 places (!!!) et je croit que c'etait le plus grand du monde apres le legendaire ROXY de New-York, lui aussi partit en gravat depuis belle lurette! (Gloria Swanson a été immortalisée dans les debris de ce monstrueux palace -je parle du Roxy là- comme temoignage de cet odieux crime contre l'humanité cinéphilique!)


J'ai eu une fois dans les mains ( A londres justement, chez un bouquiniste de Charing Cross Road. ...Non, pas au 84!) un bouquin sur les salles de cinoche du West-End, et là aussi, le massacre faisait peine a voire. J'ai également vu une fois un spectacle au Victoria Palace, qui est maintenant un theatre (ce qui l'a fait echapper in-extremis a la demolition, amen!) mais formelement un cinéma, et rien que la salle wouf! quelle delire!!!(avec aussi dans les 3.000 places!) ...qu'est-ce que j'aurais donné pour connaitre ça a la grande époque!!!
ici a Bruxelles (paradis des amoureux du fantastique des années 50/60, même BLOOD FEAST ou WICKER MAN sont sortis a Bxl à l'époque!) il nous reste quand même le sublime ELDORADO, ses bas-reliefs et ses dorures, superbement restauré il y a quelques années, mais il fait figures d'exceptions culturelle helas dans un ocean de multiplex ausii chaleureux et anonyme qu'un terminal d'aeroport!

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- Localisation : dans la zone Z
sur les cinemas de quartier, Pierre Charles avait édité un Cine Zine Zone spécial auquel Fantomas a participé.
Un pur bonheur de voir ces frontons proches des décorations des trains fantomes.
Merci aux personnes qui ont eu l'intelligence de prendre des photos ppour nous faire partager un spectacle que nous n'avons jamais eu la chance de voir en vrai.
Un des derniers ciné de Paris à avoir eu une petite déco a dû être le Brady, avant son rachat par Mocky
Un pur bonheur de voir ces frontons proches des décorations des trains fantomes.
Merci aux personnes qui ont eu l'intelligence de prendre des photos ppour nous faire partager un spectacle que nous n'avons jamais eu la chance de voir en vrai.
Un des derniers ciné de Paris à avoir eu une petite déco a dû être le Brady, avant son rachat par Mocky