il existe deux dvd (US et UK) et la musique de Christopher Young sort. je ne connais apparemment pas du tout ce film (est-il sorti en france?). Qui peut en parler? Ca ressemble visiblement à un slasher des 80's ayant pour toile de fond un campus.
The Dorm that dripped Blood - Obrow / Carpenter (1981)
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Superwonderscope
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The Dorm that dripped Blood - Obrow / Carpenter (1981)
il existe deux dvd (US et UK) et la musique de Christopher Young sort. je ne connais apparemment pas du tout ce film (est-il sorti en france?). Qui peut en parler? Ca ressemble visiblement à un slasher des 80's ayant pour toile de fond un campus.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
dispo en zone 1 chez substance dans une édition médiocre ce Pranks s'avere en effet bien peu folichon.
pas de bizutage déja mais pas non plus de farces ("pranks") ni meme de dortoire ("Dorm")!
l'histoire:
5 étudiants sont chargés de gerer la fermeture definitive d'une université.
un huit clos rappelant par moments les infames Mangler 2 ou halloween H20
casting tres reduits (5/6 personnages pendant la majorité du film), personnages ininteressants voir antipatiques mais il y a Daphné Zuniga (La mouche 2, The initiation) dans un petit role.
qques pointes de gore sympatiques.
un twist previsible.
Un slasher 80's mineur qui se laisse regarder d'un oeil distrait.
Re: Kikoné PRANKS - The Dorm that dripped Blood (1981)
Coup d'oeil sur le bluray US qui sort ce mois-ci chez synapse !
http://www.dvdbeaver.com/film3/blu-ray_ ... lu-ray.htm
http://www.dvdbeaver.com/film3/blu-ray_ ... lu-ray.htm
Re: The Dorm that dripped Blood - Obrow/Carpenter (1981)
Sortie en DVD/BR le 12 avril chez Elephant
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antropophagus
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Re: The Dorm that dripped Blood - Obrow/Carpenter (1981)
Les plus :
- Très bons effets sanglants, le bodycount n'est pas fou mais certains meurtres sont franchement gore (la perceuse !). Malgré un petit budget, les effets spéciaux du grand Matthew Mungle restent impressionnants et justifient à eux seuls le visionnage du film.
- Première composition de Christopher Young, qui s'inspire largement de la musique de Vendredi 13 surtout pendant les meurtres.
- Les acteurs sont plutôt corrects pour le genre. Par contre c'est dommage que la très mignonne Daphne Zuniga (The Initiation, La Mouche 2) disparaisse aussi vite... Quelle erreur !
Les moins :
- C'est sombre ! Je l’ai vu en version Blu-ray, et certaines scènes sont difficiles à discerner.
- Le tueur se révèle être... non, je ne vais pas spoiler. Mais ses motivations sont complètement foireuses et on n’y croit pas une seule seconde, ce qui gâche une bonne partie du troisième acte.
- Le cadre (un dortoir universitaire) manque d'intérêt. On a droit à des salles vides, des couloirs, une cuisine et quelques pièces industrielles...
- Autant j’ai apprécié la radicalité de la fin, autant ça donne l’impression qu’ils ne savaient pas trop comment conclure le bousin.
Sorti en 1982, le film surfe à fond sur le succès de Vendredi 13 et soigne sa copie en cochant toutes les cases du slasher des années 80 : groupe de jeunes étudiants dans un endroit isolé, tueur mystérieux en caméra subjective, faux coupable tout désigné, effets gore, plan nichons gratuit, révélation finale et (presque) final girl. Le résultat est passable et mérite tout juste la moyenne.
- Très bons effets sanglants, le bodycount n'est pas fou mais certains meurtres sont franchement gore (la perceuse !). Malgré un petit budget, les effets spéciaux du grand Matthew Mungle restent impressionnants et justifient à eux seuls le visionnage du film.
- Première composition de Christopher Young, qui s'inspire largement de la musique de Vendredi 13 surtout pendant les meurtres.
- Les acteurs sont plutôt corrects pour le genre. Par contre c'est dommage que la très mignonne Daphne Zuniga (The Initiation, La Mouche 2) disparaisse aussi vite... Quelle erreur !
Les moins :
- C'est sombre ! Je l’ai vu en version Blu-ray, et certaines scènes sont difficiles à discerner.
- Le tueur se révèle être... non, je ne vais pas spoiler. Mais ses motivations sont complètement foireuses et on n’y croit pas une seule seconde, ce qui gâche une bonne partie du troisième acte.
- Le cadre (un dortoir universitaire) manque d'intérêt. On a droit à des salles vides, des couloirs, une cuisine et quelques pièces industrielles...
- Autant j’ai apprécié la radicalité de la fin, autant ça donne l’impression qu’ils ne savaient pas trop comment conclure le bousin.
Sorti en 1982, le film surfe à fond sur le succès de Vendredi 13 et soigne sa copie en cochant toutes les cases du slasher des années 80 : groupe de jeunes étudiants dans un endroit isolé, tueur mystérieux en caméra subjective, faux coupable tout désigné, effets gore, plan nichons gratuit, révélation finale et (presque) final girl. Le résultat est passable et mérite tout juste la moyenne.
Man-eater