A la manière de Salo la même année, Bertolucci repousse assez loin les limites des tabous visuelles avec des scènes de sexe ou de violence très malsaines (chatons éclatés, gamin fracassé contre un mur après avoir été violé, lynchage, exectution générale, abus de drogue...) qui lui a causé pas mal de problèmes. Dommage cependant qu'un aussi beau film (la musique de Morricone est belle à en pleurer), aussi riche et aussi provocateur est été quelque peu oublié. Pas de dvd à ce jour, et pour les vhs on peut toujours s'accrocher. Chef d'oeuvre quand meme.

