La Vie Est Un Miracle - Emir Kusturica (2004)

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Allan Theo
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La Vie Est Un Miracle - Emir Kusturica (2004)

Message par Allan Theo »

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Syno:
Que pourrait-il y avoir de mieux pour le village qu'une ligne de chemin de fer touristique ? Et que pourrait-il y avoir de pire pour le tourisme que la guerre ?
Luka construit sa voie ferrée et ferme les yeux sur la guerre, davantage préoccupé par un âne qui bloque les rails. Mais sa femme, Jadranka, le quitte pour un musicien qui promet de relancer sa carrière de chanteuse d'opéra, et son fils, Milos, est appelé à l'armée. La vie de Luka devient une zone de guerre jusqu'au jour où il rencontre Sabaho...



Bon déjà, une chose est sur, ce film ne remportera pas la palme d'or.
Pas un mauvais film en soit, le dernier opus de Kusturica n'a pourtant pas le ramage d'un très grand film, ce qui ne l'empêche pas d'être un honnête divertissement avec certain bon passage.

Nan en fait, c'est le coté un peu "soupe de Kustarica" qui très rapidement fatigue, il a voulu donner pour leur argent à ces fan et ce mélange devient rapidement indigeste.

Pour ma part, un bon film, mais c'est tout (et c'est déjà pas mal)

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"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
Battosai
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Message par Battosai »

Moi je l'ai beaucoup aimé.
J'y suis allé avec un certain cynisme, n'ayant vu aucun film du réalisateur et m'attendant a quelque chose de franchement indigeste, mais le film m'a vraiment charmé.
On y retrouve une vraie joie de vivre, c'est coloré, drole, émouvant. Kusturica s'arrange pour ne pas faire tomber ca dans la miévrerie. L'histoire d'amour est également assez touchante (j'ai même versé ma petit larme a la fin :oops: ). La musique s'intègre parfaitement au film.

Vraiment une bonne surprise, mais je n'ai vu aucun des autres films du réal (et vu qu'il semble qu'il se recycle de film en film, cela explique que le style m'ait paru frais et original)...
Superwonderscope
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Message par Superwonderscope »

La truculence serbe, moi, elle m'a gonflé au bout de trois quart d'heure.
On sent Kusturica devant le tournage en hurlant "allez, faut que ça trucule, que ça trucule, bordel!".

le film est assez mysogine, avec des plans gratuits (mais quel besoin elle a , le jeune musulmane, de vouloir aller pisser près de la Drina alors qu'ils sont poursuivis, et pourquoi faut-i lque Kustu la montre le cul à l'air - hormis pour satisfaire son besoin perso de montrer du cul de nana?), une symbolique lourdingue et ultra -évidente (la colombe sur le char, le pigeon moirt dévoré par le chat et lu meme harcelé par le chien, l'image du destin de l'anesse..ça va, on a compris) et au finish, un peu douteux sur le fond.

C'est visuellement brillant, et il le sait, sauf que cela tourne un peu à vide (pendant 2h40, quand meme). la symbolique à deux balles, les citations shakespeariennes gratuites, le romeo et juliette sous les bombes...pfff...pourquoi ne fpas réaliser une hsitoire d'amour plus simple au lieu de toujours vouloir compliquer les choses à volonté? Pour moi, ce sont des redites sous couvert d'une meastria visuelle au service d'un scénario qui veut trop en dire et à force manque ses cibles.
et puis bravo pour la vision des medias, grotesque, caricaturale :roll: on a compris qu'ils les aimait pas.

je suis ressorti de la salle perplexe. pas aimé, pas détesté non plus. mais avec limpression d'un film un chouia manipulateur.

Aura pas la palme.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Allan Theo
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Message par Allan Theo »

Tu m'avais dit avant la séance "Attention a la lourdeur de la symbolique" avec la colombe sur le char j'ai pas pus éviter le lâcher un ricanement.

Sinon

SPOILER

La toute fin avec la nan sur la draisine j'ai pas aimé, par contre le mec sauvé par l'ânesse c'était plutôt bien, ptet la seule émotion que j'ai eu pendant le film, avec le long voyage avec la musulmane blessé.

SPOILER

Puis Kusturica qui s'essaye au CGI c'est marrant, on a l'impressions de revenir 20 ans en arrière :lol:
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Homme du nord
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Message par Homme du nord »

Superwonderscope a écrit :On sent Kusturica devant le tournage en hurlant "allez, faut que ça trucule, que ça trucule, bordel!".
MDR ! merci de trouver les mots à ma place pour exprimer ce que j'ai vu aussi !
Plein de scènes (en elles-même) m'ont bien fait chier mais l'ensemble du film m'a quand même plus. 12/20, bien mais pas top. rien a ajouter, ni plus ni moins.
goon
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Message par goon »

j'ai pas encore vu le film, mais rien que la BA déjà.. je me suis dis "tiens, on ressert la même soupe ? " je sais pas si je vais y aller...
Manolito
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Message par Manolito »

Je l'ai vu et j'ai aussi été un peu mitigé. Personnellement, j'aime bien le style et l'univers de Kusturica, que je trouve très vivants et très énergiques (même si il doit beaucoup à Fellini), mais le propos censé tenir le film sur plus de deux heures m'a paru ténu, TRES gentillet (la guerre de Yougoslavie où pratiquement personne ne meurt : forcément, la réconcilaition sera simple !), simpliste en Diable (tout le monde est renvoyé dos à dos) et, finalement, assez vain. Sympathique tout de même, parce qu'il y a beaucoup de choses drôles, et pas mal de choses belles, mais certainement pas une grande réussite.
La Broche
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Message par La Broche »

Je ne m'étais pas fait autant chier devant un film depuis Dancer in the Dark.
J'ai eu l'impression d'avoir conscience de chaque minute qui passait, sauf que je croyais que le film durait 1h45...La dernière heure a donc été un veritable enfer. J'ai vraiment failli me barrer avant la fin.
Définitivement l'un des films les plus chiants que j'ai vu de ma vie.
ELMER
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Message par ELMER »

...Depuis underground, Kusturica me fatigue un peu, il devient lourd.
Un petit sursaut de bonne humeur avec "chat noir..." dont la Bo y faisait pour beaucoup...
Ici c'est foisonnant, mais trop, chantant, mais trop, picaresque peut-être aussi, trucculent certes, quelques beaux plans...trop remplis, le sens du cinéma, oui l'âme slave est généreuse, joyeuse, attention à la marque de fabrique... mais la générosité et l'univers de kusturica me touchent peu au final, un peu comme fellini.

La dernière fois qu'il m'a véritablement touché c'est sur scène avec le no smoking orchestra!!
Modifié en dernier par ELMER le mar. mai 25, 2004 3:38 am, modifié 1 fois.
kayman
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Message par kayman »

Superwonderscope a écrit :La truculence serbe, moi, elle m'a gonflé au bout de trois quart d'heure.
On sent Kusturica devant le tournage en hurlant "allez, faut que ça trucule, que ça trucule, bordel!".
énorme là, clap clap
diablo
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La vie est un miracle, Emir Kusturika

Message par diablo »

Personelement j'adore ce monsieur, c'est un peu le Fellini de l'est si tant est qu'on puisse ainsi réduire son travail. Kustu est unique, il a son monde à lui, c'est juste que ça ressemble parfois à la démesure de l'autre. Underground traitait de la guerre, et son financement avait déclenché les foudres de nos révoltés de salons, accusant le père d'être pro serbe à une époque où s'était mal. Vous savez, juste avant que l'autre poseur en chemise blanche vienne faire le paon avec un air concerné devant les cadavres de Sarajevo. Aujourd'hui le paon est partit secourir le Soudan de son fabuleux esprit, et tout le monde l'oubliera tôt ou tard (pas comme cinéaste heureusement grâce à ce fabuleux "film" où pendant une heure trente Alain Delon fait l'extraordinaire écrivain en chemise et en ballon devant les ballons d'Arielle...)

Bref... depuis Chat noir Chat blanc, Kustu n'avait rien dit et surtout fait le zazou avec son orchestre. Et avec ce film là, il avait envie de nous parler d'amour, d'amitier, et de la folie douce qui semble suivre les riverains du Danube. Kustu nous parle toujours de son pays, Underground s'était un peu Sarajevo et le souvenir frelaté du Titisme, Chat noir Chat blanc s'était la folie donc des gens de chez lui... La visite continue avec le dernier opus. Cette fois nous sommes en Bosnie, à la veille de la guerre. On fait des projets, la vie se déroule dans la même douce folie, tranquillement et puis les "patriotes" magouilleurs, les faiseurs de guerre commencent leur petites saloperies. Comme toujours avec l'auteur, ça se déroule en fanfare, comme dans une espèce de farce qui n'en fini jamais vraiment (tout le long du film la musique est omniprésente)... et lentement la guerre, l'effroyable boucherie s'installe.

Je ne vous spoilerais pas le film, en vous racontant que la trame se déroule autour d'un père dont le fils est prisonnier des musulmans et à qui on propose de l'échanger contre une prisonnière des bosniaques, dont il finira par tomber amoureux... et on le comprend. Les femmes chez Kustu sont généralement un peu barges, fougueuses, blondes, et souvent belle à tomber, et comme le dit le héros, celle là se niche bientôt au fond de son coeur, et le voilà bien emmerder pour l'en déloger. Mais au fond, un film de Kusturica c'est toujours beaucoup plus que ça, c'est un univers tout entier, fait de petites histoires qui se mélanges les unes aux autres. Aussi ici on trouvera une anêsse amoureuse qui veut se suicider, un chat et un chien qui ont des échanges de regard qui les font ressembler à un vieux couple, un facteur sur rail, un militaire qui tire au RPG en visant à l'envers, un vieux qui se promène avec un cercueil, une chanteuse d'opéra à demi folle, un joueur de foot qui a une vague ressemblance avec Dolph Lundgren, un capitaine à la fois brave et dur qui a cette phrase bien sombre : "mon ami si ton avenir dépend d'un militaire, alors ton avenir est bien sombre", un criminel de guerre qui fait des numéros de cul par téléphone satellite, une histoire de baiseur de pingouin... Et tout ça nous fait un film qui non contant de nous raconter une histoire d'amour, une histoire d'amour finalement qu'on a tous ressentit ou vécu comme tel, presque une maladie, sans omettre de nous parler de la guerre, sans oublier de se foutre de la gueule de CNN (les commentaires "léger" de la connasse de service parlant avec une sorte d'enthousiasme du massacre qui se déroule devant elle... mais très loin) des casques bleus (avec au passage un discret hommage aux forces françaises, visiblement moins prompt à tirer que les autres). Sans omettre non plus les bouchers embusqués toujours ravis de saigner les "grosses vaches", les criminels de guerre qui ont été en grande partie responsable de la boucherie... etc... et malgré tout ça, malgré toute cette merde, puisque la vie est bien un miracle, sans jamais perdre de vue ces potes qui jouent aux échecs et se font des petites bouffes pendant qu'autour d'eux les canons grommelent.

Moins théatral peut-être que ses autres films, plus ironique, et faisant citer Shakespeare par la bouche des fous et des assassins (après tout Milosevic est un des plus grand spécialiste de Shakespeare de son pays...) ce petit miracle de film te donnes envie de tomber amoureux, d'aller vivre à la campagne, devenir pote avec les chiens, les chats, les ânesses amoureuses, les oies, picoler et faire de la musique... Un bien beau programme....

Tu veux une note ? Mouais, je sais pas bien si ça se note un film pareil... enfin bon y'en a que ça rassure alors : 5/6
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diablo
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Message par diablo »

Je remarque quand je lit les commentaires ici, et autant de condescendance je me demande si Jerry Springer n'a pas fait plein de petits clônes ici bas.
Et dire que récemment on me parlait de mon mépris ordinnaire.... je rigole :roll:
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Superwonderscope
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Message par Superwonderscope »

diablo a écrit :Je remarque quand je lit les commentaires ici, et autant de condescendance je me demande si Jerry Springer n'a pas fait plein de petits clônes ici bas.
Et dire que récemment on me parlait de mon mépris ordinnaire.... je rigole :roll:
:shock:

condescendance : Complaisance hautaine à satisfaire quelqu'un ou attitude hautaine et méprisante.

Où vois-tu "autant de condescendance" dans les commentaires sur ce film? Où vois-tu des clones de Jerry Springer?

Il y a de la paille et de la poutre dans l'air...
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Haribo
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Message par Haribo »

:mrgreen:
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Message par diablo »

Manolito a écrit : (même si il doit beaucoup à Fellini), mais le propos censé tenir le film sur plus de deux heures m'a paru ténu, TRES gentillet (la guerre de Yougoslavie où pratiquement personne ne meurt : forcément, la réconcilaition sera simple !), simpliste en Diable (tout le monde est renvoyé dos à dos) et, finalement, assez vain.
Alors comme ça Kustu doit beaucoup à Fellini... bah tiens, il y les Maîîtres et il y a les autres. C'est vrai qu'on ne peut s'empécher de les comparer de fait puisque ils ont le même art de la démesure , mais de là à dire que l'un doit beaucoup à l'autre au lieu d'admettre qu'il a son propre univers, il y a un pas qu'on va franchir allégrement puisqu'il y a eu Fellini et tous les autres maîîîtres derrière lesquels les nouveaux venu ne peuvent qu'être que des repreneurs. Est-ce qu'on dit Welles doit beaucoup à Eisenstein ? Non, on touche pas aux icones. Ouais, pour moi c'est de la complaisance. Quand à dire que sa façon de traiter la guerre est simpliste... mmmh, bah tiens, d'ailleurs en fait Kustu se proposait de nous faire un cours de géostratégie, mais il a pas eu le temps. Depuis Underground on lui fait éternellement ce même reproche, en plus dis donc il est serbe. Non il ne renvoit personne dos à dos, comme il le fait dire à un militaire, c'est une guerre de scélérat, point. ERt puis oui c'est vrai, personne ne meurt dis donc.... bin merde alors, pas de carnage. Dommage, c'est le 1er Kusturica où le sang coule, oui le premier, même si il a déjà parlé de la guerre dans Underground, le premier où l'on voit des meurtres et de ces bons vieux bouchers qui ont fait la joies des journaux et qui veulent saigner la grosse vache tchéquiste... la première fois que Kustu fait une concession au réel... alors du coup c'est vrai, je ne sais plus si c'est de la condécendance ou de l'ignorance.
goon a écrit :j'ai pas encore vu le film, mais rien que la BA déjà.. je me suis dis "tiens, on ressert la même soupe ? " je sais pas si je vais y aller...
Soupe ? La même soupe ? Ah tiens ça non plus c'est pas condéscendant...
Superwonderscope a écrit :La truculence serbe, moi, elle m'a gonflé au bout de trois quart d'heure.
On sent Kusturica devant le tournage en hurlant "allez, faut que ça trucule, que ça trucule, bordel!".

le film est assez mysogine, avec des plans gratuits (mais quel besoin elle a , le jeune musulmane, de vouloir aller pisser près de la Drina alors qu'ils sont poursuivis, et pourquoi faut-i lque Kustu la montre le cul à l'air - hormis pour satisfaire son besoin perso de montrer du cul de nana?), une symbolique lourdingue et ultra -évidente et puis bravo pour la vision des medias, grotesque, caricaturale :roll: on a compris qu'ils les aimait pas.
Oh oui c'est vrai c'est con les femmes, elles veulent pisser alors qu'ils n'ont pas encore les moyens d'aller plus loins.... ah ces gonzesses ! comme ça Kustu qui est vieux libidineux c'est connu peut nous montrer un plan de fesse gratuit. Merde, Fellini lui au moins les seins énormes, les fesses, c'était toujours justifié, artistique... euh... A et puis bravo pour la vision caricaturale de CNN... mmmh c'est vrai que pendant la guerre, et aujourd'hui encore les médias n'ont besoin de personne pour se ça, il le font très bien eux même. Vision mysogine ? Faudra m'expliquer là, parce que je vois pas bien où est la mysoginie là. Vu que la plus part du temps, ce sont les hommes ici qui sont à la ramasse. Le père qui vit sur un nuage, le fils qui ne pense qu'au foot, le postier qui met systématiquement les pieds dans le plat, le capitaine, une bonne brute débordé par la guerre, le maire bien paternaliste et à côté de ses pompes, puis son héritier qui n'est rien de plus qu'un voyou, c'est vrai.... et à côté de cela la femme à demi folle qui comprend très bien que c'est à la guerre qu'on envoit son gosse alors que le père continue de rêver... Sabaha qui remplit sa vie, et qui récolte des baffes au départ parce que le gars vit dans un passé qui en plus la trahi....


Enfin bon tout ça effectivement me met en boule, parce que pas une seconde on sent dans cet ensemble de propos des gens qui sont allé voir un film, mais juger un film. Désolé ça me gave.

Au fait Haribo tu te marres pourquoi ? T'es le genre qui se dandine devant ses potes et qui s'écrase en privé ?... nooon me dit pas qu'en plus tu serais poltron !
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