en effet, c'est de martinelli aka marino girolamiMrKlaus a écrit : Sinon Rome violente c'est pas de Franco Martinelli ça (j'ai fait la méme erreur de toute façons il est bien mieux que le film de Lenzi)
lenzi c'est napoli violenta
Thread général Umberto Lenzi
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EXTERMINATOR
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Superwonderscope
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Lenzi d'après 1974, c'est du n'importe quoi. Il est passé du stade d'honnête artisan à celui de faiseur sans ame.
J'aime bien ses gialli :
Le Tueur à L'orchidée
Si Douces Si Perverses
dans une moindre mesure Gatti Rossi in uno labirinto di Vetro et Il Coltello di Ghiaccio (qui s'apparente plus à un suspense hitckockien)
Spasmo (qui n'est pas un vrai giallo) est à mon avis son plus réussi. Elegant, précis, sobre, même et doté d'un superbe score d'Ennio Morricone.
je rêve de voir au format ses autres sexy-gialli ( Orgasmo et Paranoia) qui ont sonné (grace à leur extraordinaire succès en Italie) la longue marche du giallo à tendance érotique.
Après 74, donc...
Napoli Violenta : c'est absolument à chier. C'est mou, c'est lent et pour faire rapide, les poursuites en voitures sont montrées en accéléré. Malgré trois histoires enchevetrées, le scénario patine de partout, Merli fait ce qu'il sait faire (donc pas grand chose hormis frétiller la moustache, cogner un type à coup de capots de voitures, descendre de voiture, remonter en voiture, entrer dans un commissariat, sortir d'un commissaroat, poursuivre en voiture les méchnats et battre les méchants. Recttes éculées sans aucune originalité. A sauver : la scène du funiculaire avec le visage défoncé. C'est maigre.
Milano Odia : berk. Relents fascisants (cmmpe la plupart des polizieschi de l'époque faisant la part belle aux idées d'une certaine droite réactionnaire), Tomas Milian qui sombre dans le ridicule, des cascades rémpruntées à Milano Trema. Peut plaire aux amateurs de trash. pas à moi.
Cannibal ferox est assez ignoble et racoleur : ça ne me plait pas.
L'avion de l'apocalypse est à chier par terre. Mal joué, mal filmé, mal tout. au 36eme degré on peut en rire et donc penser qu'il est indispensable. Il ne me provoque que baillement devant un seuil record d'incompétence.(Palme à Hugo Stigliz dans son jeu d'acteur limité à une grimace)
La guerre du fer
Le pire étant ses dernières "oeuvres", dénuées de talent ou d'idées, essayant désespérement de se raccrocher à une idée passéiste du cinéma populaire.
J'aime bien ses gialli :
Le Tueur à L'orchidée
Si Douces Si Perverses
dans une moindre mesure Gatti Rossi in uno labirinto di Vetro et Il Coltello di Ghiaccio (qui s'apparente plus à un suspense hitckockien)
Spasmo (qui n'est pas un vrai giallo) est à mon avis son plus réussi. Elegant, précis, sobre, même et doté d'un superbe score d'Ennio Morricone.
je rêve de voir au format ses autres sexy-gialli ( Orgasmo et Paranoia) qui ont sonné (grace à leur extraordinaire succès en Italie) la longue marche du giallo à tendance érotique.
Après 74, donc...
Napoli Violenta : c'est absolument à chier. C'est mou, c'est lent et pour faire rapide, les poursuites en voitures sont montrées en accéléré. Malgré trois histoires enchevetrées, le scénario patine de partout, Merli fait ce qu'il sait faire (donc pas grand chose hormis frétiller la moustache, cogner un type à coup de capots de voitures, descendre de voiture, remonter en voiture, entrer dans un commissariat, sortir d'un commissaroat, poursuivre en voiture les méchnats et battre les méchants. Recttes éculées sans aucune originalité. A sauver : la scène du funiculaire avec le visage défoncé. C'est maigre.
Milano Odia : berk. Relents fascisants (cmmpe la plupart des polizieschi de l'époque faisant la part belle aux idées d'une certaine droite réactionnaire), Tomas Milian qui sombre dans le ridicule, des cascades rémpruntées à Milano Trema. Peut plaire aux amateurs de trash. pas à moi.
Cannibal ferox est assez ignoble et racoleur : ça ne me plait pas.
L'avion de l'apocalypse est à chier par terre. Mal joué, mal filmé, mal tout. au 36eme degré on peut en rire et donc penser qu'il est indispensable. Il ne me provoque que baillement devant un seuil record d'incompétence.(Palme à Hugo Stigliz dans son jeu d'acteur limité à une grimace)
La guerre du fer
Le pire étant ses dernières "oeuvres", dénuées de talent ou d'idées, essayant désespérement de se raccrocher à une idée passéiste du cinéma populaire.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Je ne vais pas pouvoir vérifier tout de suite, je ne suis pas chez moi ce week-end. Si personne ne répond (et que je n'oublie pas de vérifiercandela a écrit :Est ce que le DVD de PIRATES DE MALAISIE est en format scope (2.35:1)? Et la duree du DVD est 80 min? IMDb dit Italy:110 min / Spain:107 min C'est pas correct ou le DVD francais est coupe?
), je te file l'info lundi !Biotech is Godzilla !
Mon top / flop Lenzi à moi (de ce que je connais de lui) :
Le meilleur
Adieu tueur (Sette orchidee macchiate di rosso)
La Rançon de la peur (Milano odia: la polizia non può sparare)
A main armée (Roma a mano armata)
Le Temple de l'éléphant blanc (Sandok, il Maciste della giungla)
Le pire
L'avion de l'apocalypse (Incubo sulla città contaminata)
La Maison du cauchemar (La Casa 3 - Ghosthouse)
Le meilleur
Adieu tueur (Sette orchidee macchiate di rosso)
La Rançon de la peur (Milano odia: la polizia non può sparare)
A main armée (Roma a mano armata)
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Le pire
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La Maison du cauchemar (La Casa 3 - Ghosthouse)
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jason13thh
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Bon, ça a été un peu long mais Lenzi le méritait bien car, sans être l'une des têtes pensantes du cinéma de genre transalpin, il reste quand même dans ce domaine un cinéaste incontournable, dont l'oeuvre résume à elle seule plus de 35 ans de bis à la sauce spaghetti, dans sa grandeur et sa décadence.
Mia italida stin ellada (1958) : Pas vu.
Le Avventure di Mary Read (1961) : Pas vu.
Duello nella sita (1962) : Pas vu.
Il Trionfo di Robin Hood (1962) : Pas vu.
Caterina di Russia – Catherine de Russie (1963) : Pas vu.
L’ invincibile cavaliere mascherato (1963) : Pas vu.
Zorro contro Maciste – Maciste contre Zorro (1963) : Pas vu.
Sandokan, la tigre di Mompracem – Sandokan le tigre de Borneo (1963) : Pas vu.
Sandok, il Maciste della giunglia – Le Temple de l’éléphant blanc (1964) 15/20 : Charmant film d’aventures exotiques. Les stock-shots abondent, l’interprétation est médiocre mais on ne s’ennuie pas un instant et le final me rappelle irrésistiblement Indiana Jones et le temple maudit. Bonne musique de Georges Garvarentz en prime.
L’ultimo gladiatore – Hercule contre les mercenaires (1964) 10/20 : Péplum bavard et un peu miteux côté budget devant lequel je me souviens avoir bataillé pour ne pas m’endormir.
I Pirati della Malesia – Les Pirates de la Malaisie (1964) : Vu mais je me rappelle de rien.
I Tre sergenti del Bengala (1964) : Pas vu.
La Montagna di luce (1965) : Pas vu.
A 008, operazione Sterminio (1965) : Pas vu.
Superseven chiara Cairo – Super 7 appelle le sphinx (1965) : Pas vu.
Le Spie amano i fiori – Des Fleurs pour un espion (1966) : Pas vu.
Un Milione di dollari per sette assassini (1966) : Pas vu.
Kriminal (1966) 16/20 : Ca vaut pas Danger : Diabolik mais ça reste extrêmement fun à regarder. De chouettes décors de carte postale sixties, de belles couleurs, une musique qui balance bien, un peu de sadisme à la Lenzi : un film pour le plaisir … qui manque juste un peu de pêche.
Attentato ai tre grandi – Les Chiens verts du désert (1967) 15/20 : Film de commando-salopards bien mené. Me souviens pas de tout mais je sais que j’avais aimé.
Tutto per tutto – Gringo joue et gagne (1968) : Pas vu.
Una Pistola per cento bare – Pistolets pour un massacre (1968) 14/20 : Bon petit western spaghetti avec cette sale gueule de John Ireland. Quelques petits éclairs de violence du meilleur effet et le souvenir d’une séquence versant presque dans l’épouvante qui m’avait bien botté.
Orgasmo – Une folle envie d’aimer (1969) : Pas vu.
La Legione dei dannati – La Légion des damnés (1969) : Pas vu.
Cosi dolce … Cosi perversa – Si douce … si perverse (1969) : Pas vu.
Paranoïa (1970) 16/20 : Bon petit sexy-giallo raunchy à souhait, avec en bonus la dodue Baker pour le plaisir des yeux. Chouette réalisation un peu psyché.
Un Posto ideale per uccidere – Meurtre par intérim (1971) 13/20 : Malgré Ornella Muti, une bonne musique et une ou 2 séquences un peu tordues, un suspense - huit clôt plutôt mou des articulations et globalement décevant.
Sette orchidee macchiate di rosso – Le Tueur à l’orchidée (1972) 18/20 : Peut-être bien mon Lenzi préféré. Un excellent giallo avec tout ce qui faut dedans : du style, du rythme, une histoire à tiroirs prenante, un beau casting riche en vedettes du bis italien, la musique de Riz Ortolani.
Il Paese del sesso sevaggio – Au pays de l’exorcisme (1972) 15/20 : Bon film d’aventures mondo qui fait un peu le lien dans la filmo de Lenzi entre ses bis exotiques de la décennie précédente et ses cannibaleries du début des années 80.
Il Coltello di ghiaccio (1972) 14/20 : Ambiance bourgeoisie de campagne pour ce petit giallo, pas vraiment sexy malgré la présence de Carroll Baker. Ca manque un peu de patate par moment mais il y a une belle atmosphère, quelques pointes de cruauté dans le ton et un final presque angoissant.
Milano Rovente – La Guerre des gangs (1973) 16/20 : Le premier et plus carré des poliziesci de Lenzi. Quelques séquences bien méchantes dans mon souvenir.
Spasmo (1974) 14/20 : Il m’avait déçu ce Lenzi. Un magnifique thème musical de Morricone, un distribution intéressante mais je n’étais pas rentré dans l’ambiance et j’avais trouvé ce scénario mal foutu. Je pense qu’il faut que je lui redonne sa chance, à la lumière de ce que j’ai lu dessus sur le forum.
Milano odia : la polizia non puo sparare – La Rançon de la peur (1974) 18/20 : Le plus noir des films de Lenzi, son poliziesco le plus extrême, à la limite du film d’épouvante par moment. Avec un Milian déchaîné, un paquet de scènes mémorables (parfois à base de stock-shots, mais bon …) et une musique de Morricone qui là encore déchire.
Gatti rossi in un labirinto di vetro (1975) 15/20 : Son ultime giallo. Le film applique soigneusement la recette du genre sans s’en écarter d’un iota. C’est donc un peu pépère mais on ne s’ennuie pas, on voit du pays, il y un a peu de suspense, des belles nanas et une chouette musique, de Nicolaï cette fois. Du sur mesure.
L’Uomo della strada fa giustizia (1975) : Pas vu.
Il Giustiziere sfida la città – Bracelet de sang (1975) 15/20 : Me rappelle surtout de la mine fatiguée de Joseph Cotten (presque aussi fatiguée que dans Le continent des hommes poissons). Mais faudrait que je le rematte. Il me semble quand même que ça bougeait bien tout ça …
Roma a mano armata – Brigade spéciale (1976) 17/20 : Top délire celui là. Merli frappe et/ou tire sur tout ce qui bouge. Lenzi passe d’une vision du monde totalement facho à un discours d’un gauchisme radical, parfois au cours d’une même scène, Milian s’éclate, la musique de Micalizzi est top. Un film gonflé, à ne pas prendre au sérieux tout de même …
Napoli violenta – SOS Jaguar : Opération casseurs (1976) 16/20 : Moins nawak et saignant que La Rançon … et Brigade Spéciale et du coup un peu moins percutant, mais avec quelques chouettes morceaux de bravoure côté action et une certaine rigueur dans sa vision du climat socio-politique de l’Italie de l’époque qui en fait le poliziesco le plus ambitieux de Lenzi avec Milano rovente.
Il Trucido e lo sbirro – Le Clan des pourris (1976) 16/20 : Lenzi s’essaie au mélange des genres : comédie – film noir – poliziesco. Ce n’est pas tout à fait convaincant mais ça reste d’un excellent niveau. Une œuvre efficace et très soignée en tout cas.
Il Cinico, l’infame, il violento - Le Cynique, l’infâme et le violent (1977) 15/20 : La suite de Brigade spéciale, en plus beaucoup soft mais musclée quand même, dans mon souvenir. A revoir parce que je ne m’en rappelle pas trop
Il grande attacco – La grande bataille (1978) 16/20 : Film de guerre soap-opera à la Midway, avec une touche bis italienne. La distribution – et quelle distribution ! – fait un peu tout ici. Ca manque un peu de folie, c’est pas un grand Lenzi, mais ça reste du bon boulot.
La Banda del gobbo – Echec au gang (1978) : Le Tomas Milian show. Ca manque un peu de méchanceté mais le film a une belle pêche et les dialogues sont succulents. Que du plaisir.
Contro 4 bandiere – De l’enfer à la victoire (1979) 15/20 : Dans la même veine d’inspiration que La Grande bataille, avec un casting encore plus ahurissant. J’aime presque autant que son grand frère.
Da Corleone a Brooklyn – Corleone à Brooklyn (1979) 16/20 : Le dernier poliziesco de Lenzi. La fin d’un genre qui tente de trouver un second souffle aux States dans un final par ailleurs très beau, qui ne peut manquer d’évoquer dans son ambiance, ses décors, les premiers travaux de Glickenhaus et Lustig. Lenzi revient à quelque chose de plus sérieux, dans l’esprit de Milano rovente. Le film manque un peu de rythme, son scénar n’est pas des plus carrés, mais je l’aime beaucoup, ne serait ce qu’à cause de son aspect fin d’une époque.
Scusi, lei è normale (1979) : Pas vu.
Mangiati vivi – La secte des cannibales (1980) 14/20 : Bon petit film de cannibales avec casting 3 étoiles pour le genre.
Incubo sulla città contaminata – L’Avion de l’apocalypse (1980) 8/20 : A partir de là ça commence à dérailler sérieusement. Le film est fun à regarder mais c’est quand même une belle ânerie au scénario pourri, à l’interprétation médiocre, d’un mauvais goût absolu (mais rigolo). La musique de Cipriani n’est pas trop mal au milieu de tout ça.
Cannibal Ferox (1981) 15/20 : Ce que j’aime chez Lenzi, c’est qu’il n’a jamais peur de trop en faire. Un film d’aventure mâtiné de cannibalisme très con, qui racole dur, mais bien mené avec quelques séquences choc mémorables. Un incontournable du bis transalpin en tout cas.
Pierino la peste alla riscossa (1982) : Pas vu.
Incontro nell’ ultimo paradiso (1982) : Pas vu.
Cicciabomba (1982) : Pas vu.
La Guerra del ferro – La Guerre du fer (1983) : Pas Vu.
I Cinque del condor (1985) : Pas Vu.
Un Ponte per l’inferno (1986) : Pas vu.
Tempi di guerra (1987)
Nightmare Beach (1988) 11/20 : Slasher plutôt correct pour un bis italien tourné aux States, même s’il ne faut évidemment pas s’attendre à un bon film non plus. Quelques restes du savoir-faire d’antan de Lenzi dans la relative efficacité avec laquelle tout ça est bouclé.
La Casa 3 – La Maison du cauchemar (1988) 5/20 : Un vrai cauchemar en effet. Une inquiétante maison délabrée pour unique décor que Lenzi filme plutôt pas mal. Mais tout le reste, de l’interprétation à l’histoire en passant par les effets choc, les dialogues et le doublage dans la VF, est catastrophique.
Paura nel buio - Hitcher in the dark (1989) 6/20: Beaucoup de temps morts et de séquences ridicules dans ce psycho-killer pas toujours bien filmé et extrêmement mal joué.
La Casa del sortilegio (1989) (TV) : Pas vu.
La Casa delle anime erranti (1989) (TV) : Pas vu.
Detective Malone (1990) : Pas vu.
Cop Target (1990) : J’avais pas le goût ce jour là, j’ai laissé tombé au bout de 20 minutes ...
Demoni 3 (1991) : Pas vu.
La caccia allo scorpione d’oro (1991) : Pas vu.
Hornsby e Rodriguez – Sfida criminale (1992) : Pas vu.
Sarayevo inferno di fuoco (1996) : Pas vu.
Mia italida stin ellada (1958) : Pas vu.
Le Avventure di Mary Read (1961) : Pas vu.
Duello nella sita (1962) : Pas vu.
Il Trionfo di Robin Hood (1962) : Pas vu.
Caterina di Russia – Catherine de Russie (1963) : Pas vu.
L’ invincibile cavaliere mascherato (1963) : Pas vu.
Zorro contro Maciste – Maciste contre Zorro (1963) : Pas vu.
Sandokan, la tigre di Mompracem – Sandokan le tigre de Borneo (1963) : Pas vu.
Sandok, il Maciste della giunglia – Le Temple de l’éléphant blanc (1964) 15/20 : Charmant film d’aventures exotiques. Les stock-shots abondent, l’interprétation est médiocre mais on ne s’ennuie pas un instant et le final me rappelle irrésistiblement Indiana Jones et le temple maudit. Bonne musique de Georges Garvarentz en prime.
L’ultimo gladiatore – Hercule contre les mercenaires (1964) 10/20 : Péplum bavard et un peu miteux côté budget devant lequel je me souviens avoir bataillé pour ne pas m’endormir.
I Pirati della Malesia – Les Pirates de la Malaisie (1964) : Vu mais je me rappelle de rien.
I Tre sergenti del Bengala (1964) : Pas vu.
La Montagna di luce (1965) : Pas vu.
A 008, operazione Sterminio (1965) : Pas vu.
Superseven chiara Cairo – Super 7 appelle le sphinx (1965) : Pas vu.
Le Spie amano i fiori – Des Fleurs pour un espion (1966) : Pas vu.
Un Milione di dollari per sette assassini (1966) : Pas vu.
Kriminal (1966) 16/20 : Ca vaut pas Danger : Diabolik mais ça reste extrêmement fun à regarder. De chouettes décors de carte postale sixties, de belles couleurs, une musique qui balance bien, un peu de sadisme à la Lenzi : un film pour le plaisir … qui manque juste un peu de pêche.
Attentato ai tre grandi – Les Chiens verts du désert (1967) 15/20 : Film de commando-salopards bien mené. Me souviens pas de tout mais je sais que j’avais aimé.
Tutto per tutto – Gringo joue et gagne (1968) : Pas vu.
Una Pistola per cento bare – Pistolets pour un massacre (1968) 14/20 : Bon petit western spaghetti avec cette sale gueule de John Ireland. Quelques petits éclairs de violence du meilleur effet et le souvenir d’une séquence versant presque dans l’épouvante qui m’avait bien botté.
Orgasmo – Une folle envie d’aimer (1969) : Pas vu.
La Legione dei dannati – La Légion des damnés (1969) : Pas vu.
Cosi dolce … Cosi perversa – Si douce … si perverse (1969) : Pas vu.
Paranoïa (1970) 16/20 : Bon petit sexy-giallo raunchy à souhait, avec en bonus la dodue Baker pour le plaisir des yeux. Chouette réalisation un peu psyché.
Un Posto ideale per uccidere – Meurtre par intérim (1971) 13/20 : Malgré Ornella Muti, une bonne musique et une ou 2 séquences un peu tordues, un suspense - huit clôt plutôt mou des articulations et globalement décevant.
Sette orchidee macchiate di rosso – Le Tueur à l’orchidée (1972) 18/20 : Peut-être bien mon Lenzi préféré. Un excellent giallo avec tout ce qui faut dedans : du style, du rythme, une histoire à tiroirs prenante, un beau casting riche en vedettes du bis italien, la musique de Riz Ortolani.
Il Paese del sesso sevaggio – Au pays de l’exorcisme (1972) 15/20 : Bon film d’aventures mondo qui fait un peu le lien dans la filmo de Lenzi entre ses bis exotiques de la décennie précédente et ses cannibaleries du début des années 80.
Il Coltello di ghiaccio (1972) 14/20 : Ambiance bourgeoisie de campagne pour ce petit giallo, pas vraiment sexy malgré la présence de Carroll Baker. Ca manque un peu de patate par moment mais il y a une belle atmosphère, quelques pointes de cruauté dans le ton et un final presque angoissant.
Milano Rovente – La Guerre des gangs (1973) 16/20 : Le premier et plus carré des poliziesci de Lenzi. Quelques séquences bien méchantes dans mon souvenir.
Spasmo (1974) 14/20 : Il m’avait déçu ce Lenzi. Un magnifique thème musical de Morricone, un distribution intéressante mais je n’étais pas rentré dans l’ambiance et j’avais trouvé ce scénario mal foutu. Je pense qu’il faut que je lui redonne sa chance, à la lumière de ce que j’ai lu dessus sur le forum.
Milano odia : la polizia non puo sparare – La Rançon de la peur (1974) 18/20 : Le plus noir des films de Lenzi, son poliziesco le plus extrême, à la limite du film d’épouvante par moment. Avec un Milian déchaîné, un paquet de scènes mémorables (parfois à base de stock-shots, mais bon …) et une musique de Morricone qui là encore déchire.
Gatti rossi in un labirinto di vetro (1975) 15/20 : Son ultime giallo. Le film applique soigneusement la recette du genre sans s’en écarter d’un iota. C’est donc un peu pépère mais on ne s’ennuie pas, on voit du pays, il y un a peu de suspense, des belles nanas et une chouette musique, de Nicolaï cette fois. Du sur mesure.
L’Uomo della strada fa giustizia (1975) : Pas vu.
Il Giustiziere sfida la città – Bracelet de sang (1975) 15/20 : Me rappelle surtout de la mine fatiguée de Joseph Cotten (presque aussi fatiguée que dans Le continent des hommes poissons). Mais faudrait que je le rematte. Il me semble quand même que ça bougeait bien tout ça …
Roma a mano armata – Brigade spéciale (1976) 17/20 : Top délire celui là. Merli frappe et/ou tire sur tout ce qui bouge. Lenzi passe d’une vision du monde totalement facho à un discours d’un gauchisme radical, parfois au cours d’une même scène, Milian s’éclate, la musique de Micalizzi est top. Un film gonflé, à ne pas prendre au sérieux tout de même …
Napoli violenta – SOS Jaguar : Opération casseurs (1976) 16/20 : Moins nawak et saignant que La Rançon … et Brigade Spéciale et du coup un peu moins percutant, mais avec quelques chouettes morceaux de bravoure côté action et une certaine rigueur dans sa vision du climat socio-politique de l’Italie de l’époque qui en fait le poliziesco le plus ambitieux de Lenzi avec Milano rovente.
Il Trucido e lo sbirro – Le Clan des pourris (1976) 16/20 : Lenzi s’essaie au mélange des genres : comédie – film noir – poliziesco. Ce n’est pas tout à fait convaincant mais ça reste d’un excellent niveau. Une œuvre efficace et très soignée en tout cas.
Il Cinico, l’infame, il violento - Le Cynique, l’infâme et le violent (1977) 15/20 : La suite de Brigade spéciale, en plus beaucoup soft mais musclée quand même, dans mon souvenir. A revoir parce que je ne m’en rappelle pas trop
Il grande attacco – La grande bataille (1978) 16/20 : Film de guerre soap-opera à la Midway, avec une touche bis italienne. La distribution – et quelle distribution ! – fait un peu tout ici. Ca manque un peu de folie, c’est pas un grand Lenzi, mais ça reste du bon boulot.
La Banda del gobbo – Echec au gang (1978) : Le Tomas Milian show. Ca manque un peu de méchanceté mais le film a une belle pêche et les dialogues sont succulents. Que du plaisir.
Contro 4 bandiere – De l’enfer à la victoire (1979) 15/20 : Dans la même veine d’inspiration que La Grande bataille, avec un casting encore plus ahurissant. J’aime presque autant que son grand frère.
Da Corleone a Brooklyn – Corleone à Brooklyn (1979) 16/20 : Le dernier poliziesco de Lenzi. La fin d’un genre qui tente de trouver un second souffle aux States dans un final par ailleurs très beau, qui ne peut manquer d’évoquer dans son ambiance, ses décors, les premiers travaux de Glickenhaus et Lustig. Lenzi revient à quelque chose de plus sérieux, dans l’esprit de Milano rovente. Le film manque un peu de rythme, son scénar n’est pas des plus carrés, mais je l’aime beaucoup, ne serait ce qu’à cause de son aspect fin d’une époque.
Scusi, lei è normale (1979) : Pas vu.
Mangiati vivi – La secte des cannibales (1980) 14/20 : Bon petit film de cannibales avec casting 3 étoiles pour le genre.
Incubo sulla città contaminata – L’Avion de l’apocalypse (1980) 8/20 : A partir de là ça commence à dérailler sérieusement. Le film est fun à regarder mais c’est quand même une belle ânerie au scénario pourri, à l’interprétation médiocre, d’un mauvais goût absolu (mais rigolo). La musique de Cipriani n’est pas trop mal au milieu de tout ça.
Cannibal Ferox (1981) 15/20 : Ce que j’aime chez Lenzi, c’est qu’il n’a jamais peur de trop en faire. Un film d’aventure mâtiné de cannibalisme très con, qui racole dur, mais bien mené avec quelques séquences choc mémorables. Un incontournable du bis transalpin en tout cas.
Pierino la peste alla riscossa (1982) : Pas vu.
Incontro nell’ ultimo paradiso (1982) : Pas vu.
Cicciabomba (1982) : Pas vu.
La Guerra del ferro – La Guerre du fer (1983) : Pas Vu.
I Cinque del condor (1985) : Pas Vu.
Un Ponte per l’inferno (1986) : Pas vu.
Tempi di guerra (1987)
Nightmare Beach (1988) 11/20 : Slasher plutôt correct pour un bis italien tourné aux States, même s’il ne faut évidemment pas s’attendre à un bon film non plus. Quelques restes du savoir-faire d’antan de Lenzi dans la relative efficacité avec laquelle tout ça est bouclé.
La Casa 3 – La Maison du cauchemar (1988) 5/20 : Un vrai cauchemar en effet. Une inquiétante maison délabrée pour unique décor que Lenzi filme plutôt pas mal. Mais tout le reste, de l’interprétation à l’histoire en passant par les effets choc, les dialogues et le doublage dans la VF, est catastrophique.
Paura nel buio - Hitcher in the dark (1989) 6/20: Beaucoup de temps morts et de séquences ridicules dans ce psycho-killer pas toujours bien filmé et extrêmement mal joué.
La Casa del sortilegio (1989) (TV) : Pas vu.
La Casa delle anime erranti (1989) (TV) : Pas vu.
Detective Malone (1990) : Pas vu.
Cop Target (1990) : J’avais pas le goût ce jour là, j’ai laissé tombé au bout de 20 minutes ...
Demoni 3 (1991) : Pas vu.
La caccia allo scorpione d’oro (1991) : Pas vu.
Hornsby e Rodriguez – Sfida criminale (1992) : Pas vu.
Sarayevo inferno di fuoco (1996) : Pas vu.
Modifié en dernier par manuma le dim. mai 11, 2008 1:07 am, modifié 2 fois.
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trepanator
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- Localisation : le trou du cul du monde (DOM-TOM)
j'ai pas vu grand chose de Lenzi...
Le Temple De l'Elephant Blanc : petit film d'aventure sympa et sans prétention. c'est pas non plus transcendant et c'est un peu mou du genou... 3/6
Au Pays De l'Exorcisme : plus un film d'aventure exotique (limite tous public) qu'un film de Cannibales avec ses débordements gore. mise en scène et photo soignée, de beaux décors naturels, de jolies scènes érotiques et Me Me Lai est sublime ! très bon ! 5/6
La Secte Des Cannibales : bien meilleurs que CF. c'est trash, gore, racoleur et y'a du cul ! 5/6
l'Avion De l'Apocalypse : sympathique zèderie. des zombies hystériques très laid et quelques excès gore réjouissants. Hugo Stiglitz à la gueule figée, Steven Seagal a un rude concurrent !
4/6
Cannibal Ferox : crade, racoleur, puant, raciste et j'en passe... mais c'est ce qui fait son charme. par contre visuellement c'est franchement laid ! 4/6
Le Temple De l'Elephant Blanc : petit film d'aventure sympa et sans prétention. c'est pas non plus transcendant et c'est un peu mou du genou... 3/6
Au Pays De l'Exorcisme : plus un film d'aventure exotique (limite tous public) qu'un film de Cannibales avec ses débordements gore. mise en scène et photo soignée, de beaux décors naturels, de jolies scènes érotiques et Me Me Lai est sublime ! très bon ! 5/6
La Secte Des Cannibales : bien meilleurs que CF. c'est trash, gore, racoleur et y'a du cul ! 5/6
l'Avion De l'Apocalypse : sympathique zèderie. des zombies hystériques très laid et quelques excès gore réjouissants. Hugo Stiglitz à la gueule figée, Steven Seagal a un rude concurrent !
4/6Cannibal Ferox : crade, racoleur, puant, raciste et j'en passe... mais c'est ce qui fait son charme. par contre visuellement c'est franchement laid ! 4/6
Je n'en ai pas vu beaucoup... par rapport à sa production en tous cas !
L’ultimo gladiatore – Hercule contre les mercenaires (1964) 10/20 : un péplum banal mais pas antipathique. pour les urprises, il faudra repasser quand même... 5/10
Cosi dolce … Cosi perversa – Si douce … si perverse (1969) : Un thriller vaguement dans l'esprit des "Diaboliques", qui ne m'a pas hyper emballé. Bavard, mou, Trintignant est apathique. Une ambiance roman-photo quand même sympa... 5/10
Sette orchidee macchiate di rosso – Le Tueur à l’orchidée (1972) Du giallo sans surprise, mais néanmoins très solidement emballé, avec beaucoup de rythme de variété et de tonus. La test du Néo, bientôt sur le site... 7/10
Il Paese del sesso sevaggio – Au pays de l’exorcisme (1972) Un vraiment bon film d'aventures, joli, naïf, charmant, dépaysant est bien fait... J'aime ! 7/10
Spasmo (1974) Giallo cheap au début très laborieux, mais qui finit quand même par retomber sur ses pattes de façon intéressante dans sa dernière demi-heure... 6/10
Mangiati vivi – La secte des cannibales (1980) Un film redoutablement déplaisant et mal foutu, bourré de stock shot atroces. L'ambiance malsaine passe, c'est quand même du fond de tiroir pas glorieux... 5/10
Incubo sulla città contaminata – L’Avion de l’apocalypse (1980) Ca bouge, ça tire dans tous les sens, ça court, on est dans des décors très variés. Bon, le scénario a été perdu en cours de route, mais j'ai de la sympathie pour ce film très amusant ! 6/10
Cannibal Ferox (1981) C'est quand même la pointure au-dessus de "La secte...". Pas de stock-shot, une ambiance racoleuse savoureuse, des acteurs histrioniques à souhait. Sympa dans sa catégorie. 6/10
La Guerra del ferro – La Guerre du fer (1983) : Lenzi fait du Rahan et c'est plutôt amusant. Toute une époque du Bis italien qui renouait avec sa période péplum au travers des sous-guerre du feu et sous-conan. Sympa et bis ! 6/10
L’ultimo gladiatore – Hercule contre les mercenaires (1964) 10/20 : un péplum banal mais pas antipathique. pour les urprises, il faudra repasser quand même... 5/10
Cosi dolce … Cosi perversa – Si douce … si perverse (1969) : Un thriller vaguement dans l'esprit des "Diaboliques", qui ne m'a pas hyper emballé. Bavard, mou, Trintignant est apathique. Une ambiance roman-photo quand même sympa... 5/10
Sette orchidee macchiate di rosso – Le Tueur à l’orchidée (1972) Du giallo sans surprise, mais néanmoins très solidement emballé, avec beaucoup de rythme de variété et de tonus. La test du Néo, bientôt sur le site... 7/10
Il Paese del sesso sevaggio – Au pays de l’exorcisme (1972) Un vraiment bon film d'aventures, joli, naïf, charmant, dépaysant est bien fait... J'aime ! 7/10
Spasmo (1974) Giallo cheap au début très laborieux, mais qui finit quand même par retomber sur ses pattes de façon intéressante dans sa dernière demi-heure... 6/10
Mangiati vivi – La secte des cannibales (1980) Un film redoutablement déplaisant et mal foutu, bourré de stock shot atroces. L'ambiance malsaine passe, c'est quand même du fond de tiroir pas glorieux... 5/10
Incubo sulla città contaminata – L’Avion de l’apocalypse (1980) Ca bouge, ça tire dans tous les sens, ça court, on est dans des décors très variés. Bon, le scénario a été perdu en cours de route, mais j'ai de la sympathie pour ce film très amusant ! 6/10
Cannibal Ferox (1981) C'est quand même la pointure au-dessus de "La secte...". Pas de stock-shot, une ambiance racoleuse savoureuse, des acteurs histrioniques à souhait. Sympa dans sa catégorie. 6/10
La Guerra del ferro – La Guerre du fer (1983) : Lenzi fait du Rahan et c'est plutôt amusant. Toute une époque du Bis italien qui renouait avec sa période péplum au travers des sous-guerre du feu et sous-conan. Sympa et bis ! 6/10
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Superwonderscope
- DeVilDead Team
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
R.I.P : Umberto Lenzi
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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bluesoul
- Messages : 5040
- Enregistré le : sam. sept. 27, 2008 4:09 pm
- Localisation : Tokyo dans les annees 70s, baby! Yeah!
Re: R.I.P : Umberto Lenzi
Ah, m..... 
Autant bibi ne peut pas dire qu'il etait l'un de ses "fans" ou qu'il connaissait sa filmo, autant je dois avouer que via les covers dans le magazine tele K7, les jacquettes de video-clubs, les sites internets que je frequente ou mes listes sur Amazon, autant je ne peux que me rendre a l'evidence qu'il a toujours fait partie de mon univers et ce, a n'importe quel age que j'ai pu avoir...
Un copieur. Un roublard. Un opportuniste. Un stakhanoviste. Oui, peut-etre. Peut-etre meme pire en fait. Mais aussi, quelqu'un dont les peloches m'ont toujours fait rever.
En attendant de rattraper mon impardonable retard.
Grazie mille, Signore Lenzi.
Autant bibi ne peut pas dire qu'il etait l'un de ses "fans" ou qu'il connaissait sa filmo, autant je dois avouer que via les covers dans le magazine tele K7, les jacquettes de video-clubs, les sites internets que je frequente ou mes listes sur Amazon, autant je ne peux que me rendre a l'evidence qu'il a toujours fait partie de mon univers et ce, a n'importe quel age que j'ai pu avoir...
Un copieur. Un roublard. Un opportuniste. Un stakhanoviste. Oui, peut-etre. Peut-etre meme pire en fait. Mais aussi, quelqu'un dont les peloches m'ont toujours fait rever.
En attendant de rattraper mon impardonable retard.
Grazie mille, Signore Lenzi.
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.