Oups!!
J'avais pas vu les liens pour les autres films mais par contre je n'ai pas trouvé le lien de BUNMAN pour le VCD de Undo que sa présentation du film m'a bcp donné envie de voir.
Merci donc Nerwhere et Bunman si tu est la j'aimerai beaucoup avoir ce lien et que l'on puisse discuter de ce rapport entre Spider et ce court metrage.
D'ailleurs Nerwhere est que tu as vu Spider et si oui as tu trouvé des rapports autres que des détails visuels entre ces deux films ?
Stefan
Shunji Iwai
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Neverwhere
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Pour ma part je me les ai suis pris en VCD, j'ai les suivant :
- April Story
- Picnic
- Swallowtail Butterfly
Je les avais pris chez musica, mais y a deça bien quatre ans, sur Yesasia, undo est en rupture depuis un moment dejà. April story et Picnic sont vraiment excelent.
Je conseille aussi :
All about lily chouchou
Fireworks
- April Story
- Picnic
- Swallowtail Butterfly
Je les avais pris chez musica, mais y a deça bien quatre ans, sur Yesasia, undo est en rupture depuis un moment dejà. April story et Picnic sont vraiment excelent.
Je conseille aussi :
All about lily chouchou
Fireworks
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Neverwhere
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Hop, vu "PicNic" hier soir. Un film assez court (1 H 10), racontant l'escapade de 3 pensionnaires d'un asile qui s'échappent pour aller assister à la fin du monde, dont ils ont appris la date dans la bible (en fait la date d'impression du bouquin 
).
Sans doute le film le plus poétique du réal, que ce soit au niveau de l'histoire ou du visuel, dont quasiment aucun plan n'est "réaliste". Voir l'hôpital psychiatrique qui ressemble plus à une maison hantée, les hallucinations particulièrement glauques d'un des patients, ou la ville vue sous un angle assez inhabituel: En effet, les persos n'ayant pas le droit de franchir le mur de l'asile, ils marchent de mur en mur sans jamais toucher le sol! Cela donne des plans très travaillés, comme toujours, portés par la musique de Remedios qui assure une fois de plus.
Outre ce visuel, on a droit à des personnages très attachants, dont la fille jouée par Chara (l'héroïne de Swallowtail Butterfly), particulièrement réussie au niveau du look (cheveux noirs ébouriffés, cape en plumes de corbeau... Un "ange noir" comme le dit le curé dans le film).
Ce thème de l'ange n'est pas anodin, puisqu'il trouvera un écho à la fin du film. Difficile d'en dire trop sans spoiler, mais la fin du monde aura effectivement lieu d'une certaine manière... Donnant un plan final magnifique, visuellement et émotionnellement.
Voilà, on aura compris que c'est pas avec ce film que je vais changer d'avis sur Iwai, qui réalise là encore un tour de force visuel doublé d'une histoire qui marque le spectateur.
).Sans doute le film le plus poétique du réal, que ce soit au niveau de l'histoire ou du visuel, dont quasiment aucun plan n'est "réaliste". Voir l'hôpital psychiatrique qui ressemble plus à une maison hantée, les hallucinations particulièrement glauques d'un des patients, ou la ville vue sous un angle assez inhabituel: En effet, les persos n'ayant pas le droit de franchir le mur de l'asile, ils marchent de mur en mur sans jamais toucher le sol! Cela donne des plans très travaillés, comme toujours, portés par la musique de Remedios qui assure une fois de plus.
Outre ce visuel, on a droit à des personnages très attachants, dont la fille jouée par Chara (l'héroïne de Swallowtail Butterfly), particulièrement réussie au niveau du look (cheveux noirs ébouriffés, cape en plumes de corbeau... Un "ange noir" comme le dit le curé dans le film).
Ce thème de l'ange n'est pas anodin, puisqu'il trouvera un écho à la fin du film. Difficile d'en dire trop sans spoiler, mais la fin du monde aura effectivement lieu d'une certaine manière... Donnant un plan final magnifique, visuellement et émotionnellement.
Voilà, on aura compris que c'est pas avec ce film que je vais changer d'avis sur Iwai, qui réalise là encore un tour de force visuel doublé d'une histoire qui marque le spectateur.
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Neverwhere
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April story (1998)
Une jeune femme originaire d'Hokkaido monte à Tôkyô où elle a obtenu une place à l'université. Alors qu'elle s'acclimate tant bien que mal, on apprend que sa venue n'est pas dûe au hasard mais à la recherche d'un ancien copain de lycée dont elle est toujours amoureuse.
Une tranche de vie dans la lignée de Love letter, mais sans le côté dramatique puisqu'on a ici une histoire toute simple, uniquement centrée sur le personnage principal (sublime Takako Matsu).
Le visuel rappelle les scènes de flash-back de Love letter avec leurs couleurs pastel et leur déluge de fleurs de cerisier (printemps au Japon oblige)... La mise en scène privilégiant les déplacements fluides renforce cette impression de quiétude qui émane du film. Les quelques personnages secondaires sont excellents, parfois loufoques et toujours attachants, et tout le film se déroule paisiblement dans un registre tout en finesse.
Il y a quand même un côté un peu frustrant puisqu'outre sa courte durée (1 H 07), l'histoire se termine au moment où elle aurait pu commencer... Ce n'est certes pas le parti-pris du film, mais on aimereit bien savoir ce qui se passe après... Enfin moi en tout cas.
Bon ben y'a plus qu'à attendre "Hana to Alice" (Hana et Alice) qui vient de sortir en salle au Japon... Il faudrait aussi que j'essaye de jeter un oeil sur ce fameux "Jam films".
En attendant... le tant attendu Top à Shunji Iwai par moi-même:
Undo 4/6
Love letter 6/6
PicNic 5/6
Swallowtail butterfly 5/6
April story 5/6
All about Lily Chou-Chou 6/6
Une jeune femme originaire d'Hokkaido monte à Tôkyô où elle a obtenu une place à l'université. Alors qu'elle s'acclimate tant bien que mal, on apprend que sa venue n'est pas dûe au hasard mais à la recherche d'un ancien copain de lycée dont elle est toujours amoureuse.
Une tranche de vie dans la lignée de Love letter, mais sans le côté dramatique puisqu'on a ici une histoire toute simple, uniquement centrée sur le personnage principal (sublime Takako Matsu).
Le visuel rappelle les scènes de flash-back de Love letter avec leurs couleurs pastel et leur déluge de fleurs de cerisier (printemps au Japon oblige)... La mise en scène privilégiant les déplacements fluides renforce cette impression de quiétude qui émane du film. Les quelques personnages secondaires sont excellents, parfois loufoques et toujours attachants, et tout le film se déroule paisiblement dans un registre tout en finesse.
Il y a quand même un côté un peu frustrant puisqu'outre sa courte durée (1 H 07), l'histoire se termine au moment où elle aurait pu commencer... Ce n'est certes pas le parti-pris du film, mais on aimereit bien savoir ce qui se passe après... Enfin moi en tout cas.
Bon ben y'a plus qu'à attendre "Hana to Alice" (Hana et Alice) qui vient de sortir en salle au Japon... Il faudrait aussi que j'essaye de jeter un oeil sur ce fameux "Jam films".
En attendant... le tant attendu Top à Shunji Iwai par moi-même:
Undo 4/6
Love letter 6/6
PicNic 5/6
Swallowtail butterfly 5/6
April story 5/6
All about Lily Chou-Chou 6/6
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White Snake
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Neverwhere
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Découvert le cinéaste recemment. Petit compte-rendu de ce que j'ai vu pour l'instant.
Undo : Beau film, gros travail esthétique. Le thème du bondage et de l'obsession est traité avec efficacité, de manière purement visuelle (ca ne parle quasiment pas). Une ambiance finalement assez unique, inquiétante et poétique, parfois romantique. xx
Picnic : La encore, gros travail atmosphérique. Le film se contente de montrer le parcours de trois "fous", a cheval entre deux mondes (symbolisés ici par des murs). Le réalisateur n'explique rien, il filme cet étrange et attachant voyage. Certaines scènes sont d'une efficacité sidérante (une mort mi-grotesque, mi-surréaliste). le directeur photo affirme son talent et parvient a filmer des ciels d'un autre monde, aux dégradé proprement incroyable (du beige a l'orange, toutes les couleurs y passent). Le plan final est a couper le souffle. xxx
April story : Une vague de chaleur émotionnelle et de tendresses. Le réalisateur film sa jeune héroine avec pudeur et bienveillance. Petite (ne rien voir de péjoratif dans ce terme) histoire d'amour futile, mais nécessaire, April story capte la vie et l'amour dans sa banalité et parvient a en faire quelque chose d'extraordinaire. En cela on n'est en effet pas très loin de Wong-kar-wai (même mélange de chaleur, d'histoires d'alour improbables, d'espoir, l'utilisation des objets). xx/xxx
All about lily chou-chou : Beau portrait d'une jeunnesses japonaise un peu larguée. Un beau personnage principal, perdu, qui tente de trouver la chaleur qui lui manque dans la musique. Le film aborde des thèmes souvent assez durs, le racket, l'humiliation, ou la prostitution adolescente. Comment espérer se débrouiller seul dans une société fortement collective (dont l'école est le premier passage vers l'intégration) ? Avec ses images d'une entétante beauté (décidemment) le réalisateur nous montre le malaise d'une certaine jeunnesse. La mise en scène est au diapason. Très bonne utilisation de la musique de debussy.xxx
A noter que toutes les musqiues de ses films sont excellentes dans leur style lyrico-mélancolique. Il me reste a voir love letter et swallowtail que je vais essayer de voir dans la semaine. Une belle découverte.
Undo : Beau film, gros travail esthétique. Le thème du bondage et de l'obsession est traité avec efficacité, de manière purement visuelle (ca ne parle quasiment pas). Une ambiance finalement assez unique, inquiétante et poétique, parfois romantique. xx
Picnic : La encore, gros travail atmosphérique. Le film se contente de montrer le parcours de trois "fous", a cheval entre deux mondes (symbolisés ici par des murs). Le réalisateur n'explique rien, il filme cet étrange et attachant voyage. Certaines scènes sont d'une efficacité sidérante (une mort mi-grotesque, mi-surréaliste). le directeur photo affirme son talent et parvient a filmer des ciels d'un autre monde, aux dégradé proprement incroyable (du beige a l'orange, toutes les couleurs y passent). Le plan final est a couper le souffle. xxx
April story : Une vague de chaleur émotionnelle et de tendresses. Le réalisateur film sa jeune héroine avec pudeur et bienveillance. Petite (ne rien voir de péjoratif dans ce terme) histoire d'amour futile, mais nécessaire, April story capte la vie et l'amour dans sa banalité et parvient a en faire quelque chose d'extraordinaire. En cela on n'est en effet pas très loin de Wong-kar-wai (même mélange de chaleur, d'histoires d'alour improbables, d'espoir, l'utilisation des objets). xx/xxx
All about lily chou-chou : Beau portrait d'une jeunnesses japonaise un peu larguée. Un beau personnage principal, perdu, qui tente de trouver la chaleur qui lui manque dans la musique. Le film aborde des thèmes souvent assez durs, le racket, l'humiliation, ou la prostitution adolescente. Comment espérer se débrouiller seul dans une société fortement collective (dont l'école est le premier passage vers l'intégration) ? Avec ses images d'une entétante beauté (décidemment) le réalisateur nous montre le malaise d'une certaine jeunnesse. La mise en scène est au diapason. Très bonne utilisation de la musique de debussy.xxx
A noter que toutes les musqiues de ses films sont excellentes dans leur style lyrico-mélancolique. Il me reste a voir love letter et swallowtail que je vais essayer de voir dans la semaine. Une belle découverte.
Modifié en dernier par Battosai le mar. févr. 22, 2005 12:39 am, modifié 1 fois.
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Allan Theo
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Allan Theo
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Un coca, une montre laser et un calendrier holographique et on en parle plus !Battosai a écrit :Celui-la, j'ai lu un peu partout qu'il était hyper décevant. Du genre livre photo joli, mais sans aucun intéret...Enfin, tu nous dira (et après tu me revendras le dvd pour 5 euros
)
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."