Quand je serai star: plus pétasse tu meurs!
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Quand je serai star: plus pétasse tu meurs!
Grosse surprise de la semaine, l'excellent Quand je serai star de Patrick Mimouni avec Arielle Dombasle et Eva Ionesco (géniales de poufiasserie). Film cent pour cent gay, traité avec originalité (aucune morale sur la drogue ou le sida, bien au contraire...) et subtilité sous ses allures pataude de série Z pink où les comédiens se voient imposés un style de jeu excessif digne d'un bon épisode d'Ab FAb. C'est complètement surréalliste. Le genre de films que 80% des spectateurs détestera, mais que ceux qui ont un humour décalé apprécieront sans grand mal.
Arielèle, je t'aime c'est officiel. Draven, ce film est pour toi, Eva est une tigresse méchante et déacdente de dedans. Bref, que du bonheur kitsch!
XXX
Arielèle, je t'aime c'est officiel. Draven, ce film est pour toi, Eva est une tigresse méchante et déacdente de dedans. Bref, que du bonheur kitsch!
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- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
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Ce film est énorme ! Dire que j'ai failli passer a coté !
Je n'avais pas autant ri au cinéma depuis l'excellent eros thérapie (deja avec ionesco d'ailleurs).
Excessif et outrancier, joyeusement kitsch, le film jouit d'une liberté totale qui risque d'agacer. Il est décalé, comme le jeu d'acteur qui sonne tellement faux que cela en devient limite jouissif. Dombasle y est inoubliable et inimitable, totalement délurée. Et puis, comme le dit zecreep, le film se révèle d'une certaine subtilité sur l'homoséxualité, le métier d'actrice, le monde du spectacle.
Seul défaut, un problème de rythme, notamment certaines scènes qui se trainent lorsque la dombasle n'est plus a l'écran.
Et puis, cerise sur le gateau, la classe américaine, le film se paie le luxe, lors de son générique de fin, de remercier BHL pour "son aide et sa participation"
. Si c'est pas un gage de qualité
.
Un vrai péché mignon, hilarant et entétant a l'image de sa cultissime chanson-titre (qui provoquait l'hilarité de la salle a chacune de ses apparaitions ! et elles sont nombreuses !
)
Je n'avais pas autant ri au cinéma depuis l'excellent eros thérapie (deja avec ionesco d'ailleurs).
Excessif et outrancier, joyeusement kitsch, le film jouit d'une liberté totale qui risque d'agacer. Il est décalé, comme le jeu d'acteur qui sonne tellement faux que cela en devient limite jouissif. Dombasle y est inoubliable et inimitable, totalement délurée. Et puis, comme le dit zecreep, le film se révèle d'une certaine subtilité sur l'homoséxualité, le métier d'actrice, le monde du spectacle.
Seul défaut, un problème de rythme, notamment certaines scènes qui se trainent lorsque la dombasle n'est plus a l'écran.
Et puis, cerise sur le gateau, la classe américaine, le film se paie le luxe, lors de son générique de fin, de remercier BHL pour "son aide et sa participation"



Un vrai péché mignon, hilarant et entétant a l'image de sa cultissime chanson-titre (qui provoquait l'hilarité de la salle a chacune de ses apparaitions ! et elles sont nombreuses !

La note finale ? Je ne sais pas vraiment (c'est pour ca que je l'ai omise
).
D'un coté le film est franchement réussi et hilarant (j'ai pleuré de rire a deux trois reprises), de l'autre, il y a quelques pertes de rythmes assez génantes (notamment au niveau des scènes au maroc, qui, si elles ne sont pas inintéressantes, ne convaincent pas totalment). Au final un xx/xxx (soit un poil moins qu'éros thérapie qui était un xxxx !).
La salle (dont j'étais probablement le seul non-gay !) avait l'air d'être enthousiasmé et de s'amuser. En tout cas, on souhaite bonne chance au film qui risque de retourner très rapidement d'ou il vient : de nulle part !
Dommage. Ca fait du bien de voir un cinéma différent.

D'un coté le film est franchement réussi et hilarant (j'ai pleuré de rire a deux trois reprises), de l'autre, il y a quelques pertes de rythmes assez génantes (notamment au niveau des scènes au maroc, qui, si elles ne sont pas inintéressantes, ne convaincent pas totalment). Au final un xx/xxx (soit un poil moins qu'éros thérapie qui était un xxxx !).
La salle (dont j'étais probablement le seul non-gay !) avait l'air d'être enthousiasmé et de s'amuser. En tout cas, on souhaite bonne chance au film qui risque de retourner très rapidement d'ou il vient : de nulle part !
Dommage. Ca fait du bien de voir un cinéma différent.