Non mais tu as tout un panel de phrase magique du même type, et tu ne t'en rend même pas compteProdigy a écrit :Je crois pas avoir jamais employé l'expression "foutage de gueule"...Allan Theo a écrit :Tu es plein de contradiction, j'adore![]()

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
Non mais tu as tout un panel de phrase magique du même type, et tu ne t'en rend même pas compteProdigy a écrit :Je crois pas avoir jamais employé l'expression "foutage de gueule"...Allan Theo a écrit :Tu es plein de contradiction, j'adore![]()
écran barge indique une pellicule 35 mm et un format 1.33:1 . Comment est-ce possible?Allan Theo a écrit :Review sur Ecran Large du dernier film de ce tâcheron (Prodigy style) http://www.ecranlarge.com/critique-cinema-292.php
Merci pour cette critique, qui fait un heureux contrepoids avec celles de la presse presque à sens unique ! Si l'auteur veut faire passer Nirvana pour un groupe underground et extrème alors que c'est vraiment pas le cas, ça ne peut pas être crédible.Manolito a écrit :Mouais, mouais, mouais...J'avoue que j'ai malheureusement un petit problème avec le sujet de départ. Pour moi, Nirvana, c'est un groupe de punk rock comme il y en a eu beaucoup et dont le second album a bien été produit et,; surtout, très bien marketé par Geffen. Donc, Kobain, je l'aime bien, mais de là à en faire le martyr d'une génération, ça ne me parle pas.
Si on ajoute la présence de quelques incônes branchouilles (Sonic Youth, Asia Argento...) et des clichés appuyés (Venus in Furs, un des morceaux les plus usés du Velvet, est censé évoquer la décadence), "Last days" part, pour moi avec des gros handicaps. Mais Van Sant peint ces dernières journées avec une mélancolie et un humour assez touchants et, malgré une aridité de style un peu emprunté, fait preuve d'insparition dans sa mise en scène (la journée qui se répètent, la mort de Blake). Pas mal, mais ça ne m'a pas parlé plus que ça.