
Un homme, frustre et raciste, fait accuser des immigrés magrébhins du crime qu'il vient de commettre
Denonçant tout comme "Train d'enfer", le racisme et les conséquences tragiques auquels celui ci peut parfois menner, "Dupont La joie" est cependant de mon point de vue nettement plus intéréssant que le film de Roger Hanin.
En effet, le film d'Yves Boissets nous brosse le portrait de nombreux personnages, de manière très réaliste, ayant chacun des charactéristiques particulières. Le film n'en est que plus fort.
Il y a évidement le personnage interprété par Jean Carmet, un beauf rustre et lache, mais aussi le pied noir, l'inspecteur de police, l'ancien appelé d'Algérie qui se croit encore en gerre ainsi que tout les autres personnages, des français moyens qui vont être pris dans la tourmente des évements et leur engrenage de haine et de violence, faisant passer ce qui ce qui avait commencé comme une chronique acide des français moyens en camping en film dramatique.
Un film qu'on garde longtemps en mémoire après l'avoir visionné.