Je n'ai décelé aucune amélioration au niveau de l'image :Buralo66 a écrit :Je me réveille un peu tard mais quelqu'un a-t-il comparé les deux éditions ?
Le gain au niveau de l'image justifie-t-il un rachat ?
http://dorian.gray.free.fr/candyman.html
Candyman - Bernard Rose (1992)
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Dorian Gray
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Allan Theo
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Candyman - Bernard Rose (1992)
Hello la foule
J'aurais voulu connaitre vos avis sur ce film, ça vaut quoi ?
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dario carpenter
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eric draven
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Auteur du superbe Paperhouse, Rose recidive avec Candyman ds lequel on retrouve ce qui faisait la force de ce film. A l'univers psychotique et maladif de l'adolescente de Paperhouse, Candyman céde la place a un univers cette fois sordide et délabré mais tt aussi maladif, celui d'un quartier déprimant de L.A, d'immeubles en ruines où trainent dealers et gangs, un quartier où sévit la terrible légende urbaine du Candyman, sorte de croque-mitaine qui apparait lorsque son nom est répété 5 fois de suite et tue ses victimes a l'aide d'un crochet.
Avec brio, Rose film la peur, celle de l'heroïne qui enquête sur le monstre, prise ds une vérité qui la dépasse. Rose réussit magnifiquement bien a nous faire ressentir ses peurs, une peur divine mais la peur est partout... tout suinte la peur ds le film, des décors aux situations.. sans parler des apparitions du candyman et de ses sanglants meurtres, particulièrement gore par moment. Mais Rose montre égaleemnt avec une force incroyable le destrn tragique de celui qui devint ce monstre, peintre noir chatié et mis a mort pour avoir aimé une blanche.
Le tout sur une mise en scéne fort eficace mais toujours simple. Candyman, c'est le réveil de nos peurs les plus profondes, les plus intimes, c'est la peur de l'inconnu mais c'est aussi la peur du demon, des démons semblables aux légendes qui autrefois terrorisaient les campagnes, legende transposée ici ds un cadre urbain. Le temps passe mais les peurs, elles, demeurent et ne font prendre que d'autres aspects.
Candyman , un réel mythe, un grand film d'epouvante.. qui aurait mérité une suite bcp moins fade que ce Candyman 2.
Et certains seront ravis de revoir l'ex égerie 80s, la Madsen, notre violoncelliste fleur bleue de Electric dreams. Et la prestation excellente de Tony Todd ds le role du Candyman.
Avec brio, Rose film la peur, celle de l'heroïne qui enquête sur le monstre, prise ds une vérité qui la dépasse. Rose réussit magnifiquement bien a nous faire ressentir ses peurs, une peur divine mais la peur est partout... tout suinte la peur ds le film, des décors aux situations.. sans parler des apparitions du candyman et de ses sanglants meurtres, particulièrement gore par moment. Mais Rose montre égaleemnt avec une force incroyable le destrn tragique de celui qui devint ce monstre, peintre noir chatié et mis a mort pour avoir aimé une blanche.
Le tout sur une mise en scéne fort eficace mais toujours simple. Candyman, c'est le réveil de nos peurs les plus profondes, les plus intimes, c'est la peur de l'inconnu mais c'est aussi la peur du demon, des démons semblables aux légendes qui autrefois terrorisaient les campagnes, legende transposée ici ds un cadre urbain. Le temps passe mais les peurs, elles, demeurent et ne font prendre que d'autres aspects.
Candyman , un réel mythe, un grand film d'epouvante.. qui aurait mérité une suite bcp moins fade que ce Candyman 2.
Et certains seront ravis de revoir l'ex égerie 80s, la Madsen, notre violoncelliste fleur bleue de Electric dreams. Et la prestation excellente de Tony Todd ds le role du Candyman.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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Dragonball
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jason13thh
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Très bon film et c'est rare: il fait peur (plusieurs spectateurs ont même quitté la salle quand je l'ai vu)
Dès les 1ères images ont est pris dans le film: panoramique des quartiers hlm de Chicago avec une musique lugubre,brrr.
Le méchant est charismatique et les persos assez intéressants poiur qu'on s'intéresse un minimum à leurs sorts.
J'aime bien l'idée de départ à savoir l'utilisation d'une légende urbaine pour créer le personnage de Candyman.
Le film n'est pas vraiment gore et repose plus sur le psychologique et l'atmosphère et ça fonctionne bien dans ce cas.
Le personnage de Helen à la fin devient ambigu et c'est une bonne chose je trouve.
Sinon le bodycount est pas très élevé mais les meurtres restent efficaces et sont bien ammenés.
Dès les 1ères images ont est pris dans le film: panoramique des quartiers hlm de Chicago avec une musique lugubre,brrr.
Le méchant est charismatique et les persos assez intéressants poiur qu'on s'intéresse un minimum à leurs sorts.
J'aime bien l'idée de départ à savoir l'utilisation d'une légende urbaine pour créer le personnage de Candyman.
Le film n'est pas vraiment gore et repose plus sur le psychologique et l'atmosphère et ça fonctionne bien dans ce cas.
Le personnage de Helen à la fin devient ambigu et c'est une bonne chose je trouve.
Sinon le bodycount est pas très élevé mais les meurtres restent efficaces et sont bien ammenés.
carpe diem
suis-je le seul à preferer le 2 ?eric draven a écrit : un grand film d'epouvante.. qui aurait mérité une suite bcp moins fade que ce Candyman 2.
le 1er est excellent ca ne fait aucun doutes mais l'heroine est bien peu attachante contrairement au 2, de plus vu les origines du candyman je trouve plus logique que l'action se passe en louisianne
(le 3 par contre est assez faible
mais ca reste regardable pour les curieux)-
ZombiGirl
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Revu il y a quelques jours, ce film est une merveille ! Visuellement superbe, une réalisation impeccable, une musique sublime, des acteurs principaux excellents : Virginia Madsen est touchante dans sa vulnérabilité et Tony Todd imposant, beau et irrésistible. Evidemment que sa voix est mieux en vo, c'est pas en vf qu'on ressent toute l'émotion originelle des acteurs 
J'ai pas du tout aimé les suites
J'ai pas du tout aimé les suites
Tout ceux qui aiment Candyman connaissent l'édition Universal Bénélux, la seule disponible jusqu'à ce jour, comportant la VF et la VOST du film de Bernard Rose, édition totalement exempte de bonus hormis la bande annnonce du film.
Eh bien voilà qu'a enfin débarqué dans l'hexagone une édition (toujours chez Universal) de Candyman... mais, cette fois, une édition SPECIALE !
Au menu de ce DVD habillé d'un fourreau reproduisant la jaquette :
- un commentaire audio (sous-titré) du réal Bernard Rose, auquel s'adjoignet les voix de Clive Barker (auteur de la nouvelle initiale), Viginia Madsen (Helen Lyle), Tony Todd (Candyman), Alan Paul (producteur), Kasi Lemmons (Bernadette Walsh).
- Le Mythe de Candyman (Sweets to the Sweet : The Candyman mythos) qui revient sur le thème des mythes urbains, la genèse de l'oeuvre, le tournage du film puis l'impact de Candyman, la ville de Chicago et le quartier de Cabrini Green - dont on apprend qu'il a été rasé depuis, les intervenants du commentaire audio réapparaissant au fil des 23 mn que dure le doc.
- Clive Barker, un créateur d'enfer (Clive Barker : Raising Hell) : un doc de 10 mn axé sur Barker, sa vie, son oeuvre. Il est à noter que l'homme a pris un sacré coup de vieux et que sa voix fait même peine à entendre.
- Les storyboards de Bernard Rose, un documentaire de 5 mn mettant en scène les dessins préparatoires du réal.
Tous les docs sont s-t franç.
(A signaler, par contre : la disparition de la bande-annonce du film parmi les bonus.
)
En bref, on récupère l'intégralité des bonus contenus sur le z1 de la Special Edition sortie en août 2004.
Pour le format du film : 1.78 (16/9 compatible 4/3)
Son : 2.0 surround (angl, franç, polonais) et une batterie de s-t parmi lesquels des s-t fr
A noter que le DVD porte la mention de zone 2, 4 et 5.
La cover de ce nouveau DVD (prix conseillé autour de 15 €) figure déjà dans la database.
Eh bien voilà qu'a enfin débarqué dans l'hexagone une édition (toujours chez Universal) de Candyman... mais, cette fois, une édition SPECIALE !
Au menu de ce DVD habillé d'un fourreau reproduisant la jaquette :
- un commentaire audio (sous-titré) du réal Bernard Rose, auquel s'adjoignet les voix de Clive Barker (auteur de la nouvelle initiale), Viginia Madsen (Helen Lyle), Tony Todd (Candyman), Alan Paul (producteur), Kasi Lemmons (Bernadette Walsh).
- Le Mythe de Candyman (Sweets to the Sweet : The Candyman mythos) qui revient sur le thème des mythes urbains, la genèse de l'oeuvre, le tournage du film puis l'impact de Candyman, la ville de Chicago et le quartier de Cabrini Green - dont on apprend qu'il a été rasé depuis, les intervenants du commentaire audio réapparaissant au fil des 23 mn que dure le doc.
- Clive Barker, un créateur d'enfer (Clive Barker : Raising Hell) : un doc de 10 mn axé sur Barker, sa vie, son oeuvre. Il est à noter que l'homme a pris un sacré coup de vieux et que sa voix fait même peine à entendre.
- Les storyboards de Bernard Rose, un documentaire de 5 mn mettant en scène les dessins préparatoires du réal.
Tous les docs sont s-t franç.
(A signaler, par contre : la disparition de la bande-annonce du film parmi les bonus.
)En bref, on récupère l'intégralité des bonus contenus sur le z1 de la Special Edition sortie en août 2004.
Pour le format du film : 1.78 (16/9 compatible 4/3)
Son : 2.0 surround (angl, franç, polonais) et une batterie de s-t parmi lesquels des s-t fr
A noter que le DVD porte la mention de zone 2, 4 et 5.
La cover de ce nouveau DVD (prix conseillé autour de 15 €) figure déjà dans la database.
Mais que vaut la qualité de l'image de cette édition spéciale? Le DVD européen était tellement terne.
POur ma part, Candyman est avec Simetierre le meileur film d'épouvante américain des années 90. Une claque d'une perspicacité qui me bouleverse toujours autant en 2006.
Ses suites sont boïteuses, surtout le deux (que j'ai affiché en 120X160 chez moi!), tout à fait pathétique. Le trois est un nanar que j'ai vu aux Montparnos, mais il a un charme. Il est par aileurs diffusé ce mois-ci sur TPS.
La critique de The wall: http://www.avoir-alire.com/article.php3?id_article=7720
POur ma part, Candyman est avec Simetierre le meileur film d'épouvante américain des années 90. Une claque d'une perspicacité qui me bouleverse toujours autant en 2006.
Ses suites sont boïteuses, surtout le deux (que j'ai affiché en 120X160 chez moi!), tout à fait pathétique. Le trois est un nanar que j'ai vu aux Montparnos, mais il a un charme. Il est par aileurs diffusé ce mois-ci sur TPS.
La critique de The wall: http://www.avoir-alire.com/article.php3?id_article=7720