Daywatch - Timur Bekmambetov (2005)
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Nouveau trailer (le 3 sur la page) (source Bloody Disgusting) :
http://www.kino-govno.com/?trailers&id=nochnojdozor2
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- the masqué
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Il vient de sortir aux USA il y a une semaine, je crois. Mais c'est l'embouteillage de sorties jusque 2008 et Fox est-elle vraiment disposée à sortir le film de manière habituelle (à savoir ne pas faire une sortie technique?), je ne sais pas.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- niko13
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La sortie du Z1 (ou la dispo du film par d'autres moyens) va bien flinguer sa carriere je crois.Superwonderscope a écrit :Il vient de sortir aux USA il y a une semaine, je crois. Mais c'est l'embouteillage de sorties jusque 2008 et Fox est-elle vraiment disposée à sortir le film de manière habituelle (à savoir ne pas faire une sortie technique?), je ne sais pas.
What the fuck did I do ?
Re: Daywatch - Timur Bekmambetov (2005)
La sortie de "Daywatch" a été avancée précipitament à cette semaine, dans une combinaison de salles pour le moins chiches... Vu le bide de "Night watch" en France, c'est déjà bien qu'il sorte en salles tout simplement.
Que les choses soient claires : si vous voulez comprendre quelque chose à "Day Watch", vous avez vraiment intérêt à revoir le premier quelques jours avant pour vous rappeler de qui est qui, qui fait quoi, etc... Le micro-résumé placé au début de "Day Watch" est à mon avis très insuffisant pour suivre.
Cela dit, "Day Watch" est vraiment un à découvrir en salles, un film extrêmement spectaculaire, Bekmambetov (vive le copié-collé
) casse tout ce qui lui passe sous la main, multiplie les scènes dantesques, les rebondissements alambiqués... Mais c'est aussi un réalisateur qui a son propre univers visuel, kitsch, hyper coloré, bourré d'inventions complètement folles. l'intrigue fait penser à du underworld, mais mêler à un fond de sorcellerie assumant à fond son côté folklorique russkof - la forteresse avec Tamerlan, la sorcière, les métamorphoses... J'étais sorti à moitié convaincu du premier, mais cette suite fait vraiment pencher la balance du bon côté pour moi !
Au passage, je ne sais pas si le budget annoncé sur imdb est exact : 4,5 millions de dollars seulement . Le film fait au moins 20 fois plus à l'écran !
Vivement le troisième !
Que les choses soient claires : si vous voulez comprendre quelque chose à "Day Watch", vous avez vraiment intérêt à revoir le premier quelques jours avant pour vous rappeler de qui est qui, qui fait quoi, etc... Le micro-résumé placé au début de "Day Watch" est à mon avis très insuffisant pour suivre.
Cela dit, "Day Watch" est vraiment un à découvrir en salles, un film extrêmement spectaculaire, Bekmambetov (vive le copié-collé
Au passage, je ne sais pas si le budget annoncé sur imdb est exact : 4,5 millions de dollars seulement . Le film fait au moins 20 fois plus à l'écran !
Vivement le troisième !
- DPG
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Re: Daywatch - Timur Bekmambetov (2005)
Pas convaincu pour ma part. Certes le spectacle est genereux, mais ce coté "je vais vous en foutre plein la gueule" trouve vite ses limites, et on frole finalement l'indigestion. Plein de trucs qui remuent sans cesse à l'écran, on comprend pas trop ce qui se passe, on prend ça comme un "ride", mais un peu comme un McDo, ça cale sur le coup, mais 2h après il en reste plus rien...
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Re: Daywatch - Timur Bekmambetov (2005)
Un peu comme DPG pour ma part. Indéniables sont les côté inventifs et frénétiques, le mélange propre à la culture russe de relier l'histoire, la mythologie, la sorcellerie, le côté épique (ex: la scène d'introduction fait penser à la scène de bataille de Guerre et Paix filmée avec une caméra aérienne par Serguei Bondartchouk) avec le gore léger... la poésie, aussi, est bien présente. ce côté âme russe, fière et rtebelle. Mais au bout de 2h26, je criais "pitié" dans ma tête car je n'en pouvais plus.
Le début est relativement pénible car, en effet, si on a pas Day watch en tête, c'est virtuellement incompréhensible. Et ce viol permanent du spectateur par des effets numériques plus ou moins réussis, ça frole le gavage d'oie. Les scènes finales, dont la roue qui se détache, sont très réussies à ce niveau. D'autres le sont beaucoup moins (le décollage de l'avion ne vaut guère mieux que du Nu Image routinier et les batailles de pixels avec les corbeaux, au secours). Le célèbre Hotel Cosmos en prend pour son grade de manière spectaculaire.
Il faut savoir lacher la logique par moments et se laisser porter par la multitude d'images qui s'agitent de manière permanente sous les yeux. sauf qu'en fait, et depuis le début, je n'avais pas grand chose à faire des personnages, de leurs éventuelles motivations et de l'action qui se déroulait. Trop, c'est trop et à force de vouloir lacher tout sur le visuel, le scénario a été laché en cours de route (et moi aussi)
Le début est relativement pénible car, en effet, si on a pas Day watch en tête, c'est virtuellement incompréhensible. Et ce viol permanent du spectateur par des effets numériques plus ou moins réussis, ça frole le gavage d'oie. Les scènes finales, dont la roue qui se détache, sont très réussies à ce niveau. D'autres le sont beaucoup moins (le décollage de l'avion ne vaut guère mieux que du Nu Image routinier et les batailles de pixels avec les corbeaux, au secours). Le célèbre Hotel Cosmos en prend pour son grade de manière spectaculaire.
Il faut savoir lacher la logique par moments et se laisser porter par la multitude d'images qui s'agitent de manière permanente sous les yeux. sauf qu'en fait, et depuis le début, je n'avais pas grand chose à faire des personnages, de leurs éventuelles motivations et de l'action qui se déroulait. Trop, c'est trop et à force de vouloir lacher tout sur le visuel, le scénario a été laché en cours de route (et moi aussi)
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