en effet, c'est assez médiocre

. Je toruve très étonnant que ce film n'ait pas rejoint la cohorte des DTV et ait trouvé un tel succès aux USA (et un insuccès inversement proportionnel ailleurs)
Si on arrive à éventuellement croire une nano-seconde le phénomène, on peut à la rigueur accrocher. le problème, c'est que je n'y crois pas du tout

Et la réalisation cahotique n'est en rien pour arranger les choses.
Je crois que je préfère la première partie, celle où le scénario nous laisse dans un certain flou quant à sa direction. Dès qu'il s'évertue à vouloir expliquer l'ensemble, c'est patatras. On sombre dans un espèce de sous- Destination Finale, relevé, je suis d'accord avec rusty, par une fin étonnante (et qui ouvre une suite... qui est en trian de se faire d'ailleurs).
Quelques effets de mise en scène m'ont marqué. Une certaine emphase sur l'architecture, la mise en avant de plans où une certaine architecture hors du commun tranche dans le paysage (enr apport avec le métier de Keaton). Les transitions entre certaines scènes (l'omniprésence de l'eau, d'ailleurs), et cette volonté de placer la caméra à la verticale des personnages - un peu démonstratif mais visuellement plutot intéressant.
Ce la ne comble pas, hélas, un scénario qui ne sait plus où aller, si ce n'est donner le quota de frisson final. Comme le disait haribo, les personnages frisent la transparence, etc'est domage pour l'énigmatique Deborah Kara Unger, de loin le meilleur atout du film.
vu sur le DVD belge, avec une piste VOst en 2.0

(et VF 5.1/DTS), avec 16/9 acceptable. Décevant.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?