MouarfSuperfly a écrit :non mais les mecs, rien que les plans de la bande-annonce défoncent les films que vous citez![]()
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Ultraviolet - 2006 - Kurt Wimmer
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Je rebondis et je demande Code 5 ou pas code 5? Car j'entends parler d'hémophage par-ci par-là mais pas de codes 5 cher à cette série britannique.fiend471 a écrit :? c'est annoncé comme une suite à la courte série anglaise (6 épisodes) ou rien à voir ?
Recherche tout scan, écrivain ou personne ayant des informations sur la collection gore: collectiongore@hotmail.com
Moi je dis ça va être un film qui va me faire rire, j'aime bien Milla, enfin j'aimais bien Milla... mais là ça va être un film... bah je sais même pas comment le qualifié mais sûrement bien mené grâce au fric de la production mais c'est sans grand intêrét : un monde de révolution ou les humains vont tous mourir!! (tiens ça me dis déjà quelque chose... hum hum)
En gros un film d'action bien gentillet à matter un mardi soir!
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mouais donc...
, niveau combats y'a la bonne dose, mais niveau dialogues insipides ou qui ne mènent à rien là y'a largement la dose, enfin c'est ptet comme le dit si bien "Violette" facile 3-4fois je crois, "je suis née dans un monde que vous ne pouvez pas comprendre
"
le gros problème que j'y voyais et ressentais, ça me faisait trop penser à Equilibrium
, certes ça n'a "presque rien" à voir dans le scénario, mais régime totalitaire, combats à armes blanches et mitraillages hightech, soupçon esthétique, méchant look flandy
, ...
l'autre problème, la relation mère-enfant saoulante
en somme avec des films récents comme V pour Vendetta, Aeon flux, Ultraviolet, on a l'impression vague que le futur sera totalitaire, ce qui m'apparait un peu la vision du monde réel (excepté les gadgets top moumoute)
le gros problème que j'y voyais et ressentais, ça me faisait trop penser à Equilibrium
l'autre problème, la relation mère-enfant saoulante
en somme avec des films récents comme V pour Vendetta, Aeon flux, Ultraviolet, on a l'impression vague que le futur sera totalitaire, ce qui m'apparait un peu la vision du monde réel (excepté les gadgets top moumoute)
Cthulhu vs Macross Zero = my dream !
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Superfly
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Ce film est un chef d'oeuvre de débilités. Le scénario prend l'eau de partout, les incohérences sont incalculables, les dialogues à mourir de rire. Et pourtant j'ai aimé. C'est complétement con .. mais voilà j'aime Milla Jovovich.
Le réal se croit dans un jeu sur PS2. Milla va de tableaux en tableaux sans se soucier de la façon dont elle y va. Elle rentre un peu partout, se bastonne avec tout le monde et affronte le boss final à la fin.
Les combats? Presque tous merdiques où suggérés. La mise en scène ? Un vrai délire de trisomique. West a acheté 30 000t de peinture verte Ripolin pour se faire plaisir, il balance des plans qui traversent des lunettes pour atterrir dans un oreille etc etc ... un gros délire de drogué
Mais bon y'a Milla qui change 300 fois de couleurs de cheveux, de vétements, qui porte de flingues en hologrammes (n'importe quoi), qui se bastonne comme une tigresse avec sa voix si suave à mes oreilles, son petit nombril à l'air pendant tout le film ... un délice ....
Le réal se croit dans un jeu sur PS2. Milla va de tableaux en tableaux sans se soucier de la façon dont elle y va. Elle rentre un peu partout, se bastonne avec tout le monde et affronte le boss final à la fin.
Les combats? Presque tous merdiques où suggérés. La mise en scène ? Un vrai délire de trisomique. West a acheté 30 000t de peinture verte Ripolin pour se faire plaisir, il balance des plans qui traversent des lunettes pour atterrir dans un oreille etc etc ... un gros délire de drogué
Mais bon y'a Milla qui change 300 fois de couleurs de cheveux, de vétements, qui porte de flingues en hologrammes (n'importe quoi), qui se bastonne comme une tigresse avec sa voix si suave à mes oreilles, son petit nombril à l'air pendant tout le film ... un délice ....
- Dragonball
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- Localisation : Dans un Bunker avec Playboy, une Dreamcast et un M16
- F-des-Bois
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Pour résumer, parce qu'on comprend rien à ce que raconte Superfly comme d'hab
, Ultraviolet est une calamité couleur pastel numérique, c'est un peu comme si Kurt Wimmer avait refilé la copie de Sin City à une petite fille de 4 ans pour y faire du coloriage qui bave de partout et gribouiller des hélicoptères. Même les fans d'Equilibrium (dont je fais partie) auront franchement du mal à s'y retrouver. On peut trouver le script du premier film de WImmer un peu concon mais il avait le mérite de jouer l'efficacité. Rien de tout ça ici, c'est inepte et absolument sans intérêt. MAIS...c'est vrai qu'ici et là, y a 1-2 jolies coup de tatannes orchestrées par Saucissovitch. En gros le concept du film c'est Ultrajovovich contre 20 mecs, puis contre 40, puis contre 50. Repeté ad nauseum avec différentes chorégraphies qui ont le mérite d'attirer un minimuml'oeil. Très peu jouissif quand même et surtout très dispensable. En tout cas, la malédiction des femmes d'action au box-office américain se poursuit avec les bides successifs de Catwoman, Aeon Flux, Elektra (pas si mal quand même, je tenais à le redire
) et maintenant Ultraviolet. Ils cherchent aussi faut dire !
Wishmaster, tout comme "The Relic", n'est pas le film du siècle.
- Dragonball
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Une belle merde réalisé par un mongolien traumatisé par blade, Matrix et la PS2 !
Le maigre pitch d'ultraviolet n'est que le pretexte à l'enchainement de combats matrixiens plus ou moins bordéliques et aux effets de style aussi pompeux que ridicules. Evidment, au bout d'un moment, on craque et on finit par apprécier, surtout à la fin, ou force est d'avouer que quelques séquences portnawak se révèle assez jouissive, en particulier un combat au sabre assez stylé.
Cependant, on ne peux rester que dubitatif face à cette chose réalisée par le pourtant prometteur Kurt Wimmer (auteur du très sympa "Equilibrium") qui livre ici un film qui aurait très bien pû être signée par Uwe Boll.
Sinon, Milla Jovovich est nulle et le gamin est énervant.
Bientôt testé dans Console + et Joypad !
Le maigre pitch d'ultraviolet n'est que le pretexte à l'enchainement de combats matrixiens plus ou moins bordéliques et aux effets de style aussi pompeux que ridicules. Evidment, au bout d'un moment, on craque et on finit par apprécier, surtout à la fin, ou force est d'avouer que quelques séquences portnawak se révèle assez jouissive, en particulier un combat au sabre assez stylé.
Cependant, on ne peux rester que dubitatif face à cette chose réalisée par le pourtant prometteur Kurt Wimmer (auteur du très sympa "Equilibrium") qui livre ici un film qui aurait très bien pû être signée par Uwe Boll.
Sinon, Milla Jovovich est nulle et le gamin est énervant.
Bientôt testé dans Console + et Joypad !
- Flichtenbloden
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- Enregistré le : sam. mai 22, 2004 12:30 pm
Mon Dieu que c'était laborieux.
Après avoir revu Equilibrium il y a peu et trouvé ça chiant (alors que j'avais bien aimé au ciné), je me suis dit qu'Ultraviolet permettrait à Wimmer de rentrer dans la cour des grands (celles où on peut se courir après et tout, jouer aux billes ou draguer de la salope à couette de 10 ans), en plus le trailer m'avait alléché.
La première demi-heure : impec ! Rythme et scénario gérés à la perfection, des scènes d'action originales et qui dépotent, des gadgets sympas. Ouais cool, on fait même abstraction des SFX à moitié perraves (la poursuite en moto est moche mais fun). Le côté BD est assumé, bon ben ça commence bien.
Mais alors après c'est tout pourri ouhlala, le mec il a décidé de refaire sans arrêt le même film en fait. Donc ben pour moi c'est Equilibrium bis mais en plus lourdingue. Le même type de combats, les mêmes armes, le même passage avec lumières éteintes histoire d'économiser du fric (sauf que là y en a 2, argh), le même final qui n'en finit pas (mais en pire ici) avec le perso principal qui passe de pièce en pièce comme dans un jeu vidéo pour dessouder de plus en plus de mecs sans qu'on cale que dalle pour enfin arriver au grand méchant (le boss final) dans un combat où on cale encore plus que dalle à force de vouloir chercher l'idée qui tue.
Ah et les dialogues ! Je peux tout supporter généralement mais là c'est le summum de la connerie. Pour un peu on se croirait dans House of the Dead. Farpaitement.
En gros j'ai bien aimé.
Ah non.
Après avoir revu Equilibrium il y a peu et trouvé ça chiant (alors que j'avais bien aimé au ciné), je me suis dit qu'Ultraviolet permettrait à Wimmer de rentrer dans la cour des grands (celles où on peut se courir après et tout, jouer aux billes ou draguer de la salope à couette de 10 ans), en plus le trailer m'avait alléché.
La première demi-heure : impec ! Rythme et scénario gérés à la perfection, des scènes d'action originales et qui dépotent, des gadgets sympas. Ouais cool, on fait même abstraction des SFX à moitié perraves (la poursuite en moto est moche mais fun). Le côté BD est assumé, bon ben ça commence bien.
Mais alors après c'est tout pourri ouhlala, le mec il a décidé de refaire sans arrêt le même film en fait. Donc ben pour moi c'est Equilibrium bis mais en plus lourdingue. Le même type de combats, les mêmes armes, le même passage avec lumières éteintes histoire d'économiser du fric (sauf que là y en a 2, argh), le même final qui n'en finit pas (mais en pire ici) avec le perso principal qui passe de pièce en pièce comme dans un jeu vidéo pour dessouder de plus en plus de mecs sans qu'on cale que dalle pour enfin arriver au grand méchant (le boss final) dans un combat où on cale encore plus que dalle à force de vouloir chercher l'idée qui tue.
Ah et les dialogues ! Je peux tout supporter généralement mais là c'est le summum de la connerie. Pour un peu on se croirait dans House of the Dead. Farpaitement.
En gros j'ai bien aimé.
Ah non.






