Kyun a écrit :Détail particulier: SPOILER on ne voit mourir que des Blancs a l'écran! On sent le "progressisme" qui va faire plaisir a certains!FIN SPOILER
Snakes On a Plane / Des serpents dans l'avion - David R Ellis (2005)
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- Dragonball
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Ferris Bueller
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le film ne marche pas des masses, à fortiori dans cinémas plus familiaux comme Gaumont, j'ai comme un doute.
maintenant, il faut voir site le site internet des cinémas Gaumont indique si le film quitte l'affiche des-dits cinémas ce soir (ou non). A vérifier.
maintenant, il faut voir site le site internet des cinémas Gaumont indique si le film quitte l'affiche des-dits cinémas ce soir (ou non). A vérifier.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- kookaburra
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Vu la semaine dernière dans une salle quasi vide
Un film qui n'a aucune autre ambition que celle de fournir du fun immédiat mais qui est suffisamment bien emballé pour plaire et qui, surtout, ne prend pas ses spectateurs pour des cons. On attendait des serpents, des avions, du "gore", un peu de cul et un grand Sam Jackson et on a tout eu, cool
Un film qui n'a aucune autre ambition que celle de fournir du fun immédiat mais qui est suffisamment bien emballé pour plaire et qui, surtout, ne prend pas ses spectateurs pour des cons. On attendait des serpents, des avions, du "gore", un peu de cul et un grand Sam Jackson et on a tout eu, cool
Un gentil petit moment assez vite oublié de mon côté. Les gags fonctionnent une fois sur deux, les scènes de gore - notoirement des scènes tournées en post-production à la demande de New Line - tombent parfois un peu comme des cheveux dans la soupe, et il s'agit tout d'un mélange bien classique de thriller et de films catastrophes. Sans surprise, mais amusant...
- Sutter Cane
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Film pas aussi nawak que tout le monde attendait mais film fun quand même.
Pour moi le contrat est rempli : réussir à me distraire pendant 2h avec un concept qui tient dans le titre.
Le film est très bien rythmé et nous laisse sans temps mort, des gens meurent de façon bien gore pour certains, des petites punchlines par moment, des incohérences scénaristiques amusantes, des serpents de toutes les tailles et de toutes les couleurs (je dirais vert ou bleu-vert pour le dessous
), un clip de fin avec des sous-Black Eye Peas, du sexe, des gangsta rap qui font l'apologie du jeu video ( Dieu bénisse la Playstation) et Samuel L. Jackson toujours aussi cool quand il joue dans des séries B voir Z
Vivement le 2
Pour moi le contrat est rempli : réussir à me distraire pendant 2h avec un concept qui tient dans le titre.
Le film est très bien rythmé et nous laisse sans temps mort, des gens meurent de façon bien gore pour certains, des petites punchlines par moment, des incohérences scénaristiques amusantes, des serpents de toutes les tailles et de toutes les couleurs (je dirais vert ou bleu-vert pour le dessous
Vivement le 2
- Dragonball
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Attention spoilers.
Un film ultra généreux et ultra fun, ovni assez hallucinant de la part d'un studio, assez violent (même si cette violence est le plus souvent très cartonesque, quoique le talon aiguille dans l'oreille, outch !).
Très bien rythmé même si après le climax (l'attaque des serpents au milieu du film) la tension retombe un peu. Enfin bon, elle repart de plus belle avec des scènes vraiment excellentes (L'escalier qui s'effondre, Samuel L. Jackson qui tire dans les hublot pour virer les serpents, probablement l'idée la plus débile/Sublime du filmm !
)
Les mecs sont sympa (en particulier samuel L. Jackson, en mode super classe) et les filles sont toute super mignonnes, allant de la jolie et sexy hotesse de l'air (la blonde), à la femme classe au charme flamboyant (Julia Marguiles) en passant par la pétasse qui fait craquer le caleçon (La fille dans les toilettes).
De plus, j'ai trouvé les SFX très satisfaisant. Dans le genre, on a déjà vu largement pire.
Vu dans la salle 12 du Gaumont Ambassade (en gros, la salle la plus pourri !
) dans une véritable ambiance de festival. Les spectateurs étaient très réceptif au film et certaines filles avaient visiblement la phobie des serpents ! 
A la fin du film, de nombreuses personnes ont applaudi, une chose rare qui ne trompe pas.
Bref, contrairement à ce qu'a dit un des tacherons de Mad Movies, une excellente série B faite pour les fans de séries B.
6/6
Et en plus, y a même Saumel L. Jackson drague (avec succes qui plus est !) une blanche ! Ah la la, Griffith mais ou es tu !

Le quota de délire est largement remplie. Quand on voit les merdes de Dimension qui repointent le bout de leur nez et le niveau générale des films d'agréssion animale (le dernier en date que je me suis tapé, c'était "Rats" version française !
), un film comme Snake on plane est un vrai bol d'air frais.
Je trouve aussi assez cocasse qu'un tel film soit sortie à peu près au même moment que Vol 93. Fallait quand même oser !
Un film ultra généreux et ultra fun, ovni assez hallucinant de la part d'un studio, assez violent (même si cette violence est le plus souvent très cartonesque, quoique le talon aiguille dans l'oreille, outch !).
Très bien rythmé même si après le climax (l'attaque des serpents au milieu du film) la tension retombe un peu. Enfin bon, elle repart de plus belle avec des scènes vraiment excellentes (L'escalier qui s'effondre, Samuel L. Jackson qui tire dans les hublot pour virer les serpents, probablement l'idée la plus débile/Sublime du filmm !
Les mecs sont sympa (en particulier samuel L. Jackson, en mode super classe) et les filles sont toute super mignonnes, allant de la jolie et sexy hotesse de l'air (la blonde), à la femme classe au charme flamboyant (Julia Marguiles) en passant par la pétasse qui fait craquer le caleçon (La fille dans les toilettes).
De plus, j'ai trouvé les SFX très satisfaisant. Dans le genre, on a déjà vu largement pire.
Vu dans la salle 12 du Gaumont Ambassade (en gros, la salle la plus pourri !
A la fin du film, de nombreuses personnes ont applaudi, une chose rare qui ne trompe pas.
Bref, contrairement à ce qu'a dit un des tacherons de Mad Movies, une excellente série B faite pour les fans de séries B.
6/6
Ah, ça à par contre visiblement déplu aux fachos !Kyun a écrit :Détail particulier: SPOILER on ne voit mourir que des Blancs a l'écran! On sent le "progressisme" qui va faire plaisir a certains!FIN SPOILER
Et en plus, y a même Saumel L. Jackson drague (avec succes qui plus est !) une blanche ! Ah la la, Griffith mais ou es tu !
Oui enfin bon, tu voulais quoi de plus, des serpents volants ?Abyssanctum a écrit :Vu ce WE, et mon jugement est mitigé. Mitigé parce qu'on sent que l'auteur aurait pu aller beaucoup, beaucoup plus loin
Le quota de délire est largement remplie. Quand on voit les merdes de Dimension qui repointent le bout de leur nez et le niveau générale des films d'agréssion animale (le dernier en date que je me suis tapé, c'était "Rats" version française !
Je trouve aussi assez cocasse qu'un tel film soit sortie à peu près au même moment que Vol 93. Fallait quand même oser !
Le film hésite entre thriller, film gore, comédie type "Y a-til un pilote..." et bien d'autres. Et quand bien même si il se voudrait tout ça à la fois, la mixture ne prend (quasiment) jamais. Il n'y a pas de point de vu, pas de ligne directrice.
Le côté "3ème degré" lourdement surligné — pour que tout le monde comprenne bien que la production n'est pas dupe — n'a pas fonctionné sur moi et rend le film finalement assez peu sympathique (car cynique). Ça se veut nanar sans l'être...
Heureusement il y a quelques passages réussis qui tiennent en éveil, comme celui, suffisamment con et cruel, avec l'anaconda et le chien. Là on est dans Gremlins et ça marche.
Un vrai nanar a ça de marrant qu'il est réalisé au 1er degré. ID4 est marrant car sincère. Le nanar conscient de lui-même comme ce Snakes on a plane n'a rien de palpitant.
Mais ça se laisse regarder, c'est deja ça.
Le côté "3ème degré" lourdement surligné — pour que tout le monde comprenne bien que la production n'est pas dupe — n'a pas fonctionné sur moi et rend le film finalement assez peu sympathique (car cynique). Ça se veut nanar sans l'être...
Heureusement il y a quelques passages réussis qui tiennent en éveil, comme celui, suffisamment con et cruel, avec l'anaconda et le chien. Là on est dans Gremlins et ça marche.
Un vrai nanar a ça de marrant qu'il est réalisé au 1er degré. ID4 est marrant car sincère. Le nanar conscient de lui-même comme ce Snakes on a plane n'a rien de palpitant.
Mais ça se laisse regarder, c'est deja ça.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
Cela a déja été dit précédemment mais c'est vrai que le plus gros plaisir que procure le film est sans doute de voir les auteurs de celui-ci aligner tout d’abord, dans une ambiance plutôt gentillette, les personnages typés et situations convenues caractéristiques des films catastrophe aérien des seventies pour ensuite prendre un malin plaisir à nous secouer tout ça en injectant dans l’histoire tout ce que l’on a pas l’habitude de voir dans ce type de divertissement : plein de morts violentes, du gore, un peu de fesse.
Ca ne va pas chercher très loin mais c’est très plaisant, marrant tout en respectant, non sans malice, certaines règles du genre, comme en témoigne le final, qui vire franchement au n’importe quoi, dans la grande tradition des Airport.
Troisième mini-réussite pour David R. Ellis.
Ca ne va pas chercher très loin mais c’est très plaisant, marrant tout en respectant, non sans malice, certaines règles du genre, comme en témoigne le final, qui vire franchement au n’importe quoi, dans la grande tradition des Airport.
Troisième mini-réussite pour David R. Ellis.
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Cancer No Deathmask
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Marrant, je l'ai pas vecu comme ça du tout, déja j'ai pas trouvé que le coté troisieme degré était si surligné, et surtout finalement je trouve le film très sincere, genre il te prend par le bras et il te dit "Ok, chu un ptit film un peu nanar, mais j'assume, et si toi, t'assume que tu regarde un ptit film un peu nanar, on peut passer un bon moment ensemble"Le côté "3ème degré" lourdement surligné — pour que tout le monde comprenne bien que la production n'est pas dupe — n'a pas fonctionné sur moi et rend le film finalement assez peu sympathique (car cynique). Ça se veut nanar sans l'être...








