Vincent (1982) : Célébre court-métrage en Stop Motion aux accents mélancoliques et désespérés. Un bel hommage à Price et à Poe, et une fin qui vous mettrait la larme à l'oeil...
6/6
Frankenweenie (1984) : Autre court (et dernier) du grand Tim, livrant un remake canin (mais innofenssif) à "Frankenstein". Un joli casting (Barret Oliver, le Bastien de "L'histoire sans fin" ; Shelley Duvall, la morue de "Shining", Daniel Stern ou encore Sofia Coppola) et une belle fin "clin d'oeil".
5/6
Pee-Wee Big Adventure (1985) :


Beetlejuice (1988) : Du bonheur en barre toujours, avec cette fantaisie ectoplasmique anti-grise mine. Une Winona toute mimi, pleins de bon Fx et une scène de repas musical...hum anthologique

6/6
Batman (1989) : Un film un peu "classique", où l'on préférera le grand Joker à Batman. Le Freaks Burtonien par excellence, qui fait hautement grimpé l'interêt du film.
5,5/6
Edward aux mains d'argent (1990) : Inutile de chanter le même refrain qu'on entend encore et toujours autour du film. Parfait. 6/6
Batman, le défi (1992) : Le Pingouin n'est pas le Freaks Burtonien le plus attirant du lot, mais le résultat est divinement sombre et adulte. Catwoman power !! 6/6
L'étrange noël de Monsieur Jack (1993) : Burton en est le producteur certes, mais sa patte est incroyablement imposante

6/6
Ed Wood (1994) : Portrait touchant et hilarant d'un looser malgré lui. Rien à redire, un film quasi-parfait et un score splendide de Shore.
6/6
Mars Attack (1996) : Du Cartoon live méchant et croustillant, jouissif de bout en bout. Casting monstre.
6/6
Sleepy Hollow (1999) : un magnifique conte gothique et sanglant comme on en voit rarement de nos jours. 6/6
La planète des singes : Le commencement de la fin...
Un remake inutile, repoussant, crispant et sans grand interêt. On a même du mal à reconnaître Burton dans tout ce fracas...
1,5/6
Big Fish (2003) : Burton devient "mature", son héros n'est plus un freaks et les bons sentiments gonflent. Un gentil bon film, mais un mauvais Burton...
3/6
Charlie et la chocolaterie : Une oeuvre en quelque sorte "Schyzophrène" : on retrouve le Burton d'antan (volontiers méchant, inventif, débridé ; avec un héros "freaks") et le nouveau (bons sentiments gênants dans la conclusion, d'ailleurs plus ou moins symboliques...). Cependant, Depp déchire tout.
5,5/6
Les noces funébres de Tim Burton : Des chansons décevantes et une fin scandaleusement conventionelle pour un "Nightmare before christmas" sous calmant. Visuellement superbe.
4/6