Miami Vice : The Movie - Michael Mann (2006)

[DPG]

Et puis le fait que Dario Carpenter comptabilise à lui seul 200.000 entrées a également joué son role !


Alors que moi je n'y suis allé que 45 fois....

[dario carpenter]

Et puis le fait que Dario Carpenter comptabilise à lui seul 200.000 entrées a également joué son role !

non,non,2 entrées seulement!! (car ça fait mal au budget,les allers-retours sur Paname... )

[Superwonderscope]

parce que tu sors de chez toi !

[dario carpenter]

parce que tu sors de chez toi !

[dario carpenter]

dvd français prévu pour le 22 Février...:

http://www.ecranlarge.com/news-dvd-864.php

[Jérôme]

mais sans les bonus du collector australien

[kookaburra]

Donc en gros pour l'édition collector zone 2, le dvd 1 (film version ciné) est totalement obsolète...

Sinon, lu sur dvdrama: (pas la meilleur des sources je sais )

L'éditeur a également pu nous fournir quelques précisions sur cette director's cut, qu'il préfère d'ailleurs appeler "version longue". Si aux Etats-Unis celle ci est seulement présentée comme plus longue de sept minutes, il en est en fait tout autrement.
Oui, le film durera sur le papier sept minutes de plus. Mais dans les faits, ce seront neuf minutes inédites qui apparaîtront. En effet, Michael Mann a profité de l'occasion pour modifier le montage du film, et plus exactement 19 minutes et demi (on admire la précision) sur les 2h15 du montage original. Il s'agira donc d'une version sensiblement différente, qui comme dernièrement pour Ali (inédit en France) risquerait de donner une ampleur supplémentaire au film. On n'en doute pas.

[Superfly]

Mann vient d'accoucher d'un nouveau concept. Le film qui coûté des millions pour une résultat d'un mocheté absolue avec une histoire de débiles mentaux, des persos ridicules qui s'enfoncent dans leur médiocrité au fil du film, un gunfight tourné dans un terrain vague sans une once de mise en scène etc etc ... y'a tellement à dire sur ce film pour le démolir que c'est presque trop facile.

Autant j'avais adoré la HD pour son précédent film, autant là, le résultat est assez laid et proche d'un reportage pour France 3 La mise en scène est quand même ultra nulle pour un réal comme Mann. A part quelques beaux plans de bateaux et d'avions (sûrement non tournés par lui) le reste manque d'envolés.
La lumière est dégeulasse pour un film censé ce passer à Miami... Si un réal avait torché un film comme ca, tout le monde lui serait tombé dessus.

Combien de millions pour ca film ?? 135 000 000$ !!! Mais ils sont passés où ? Il semblait que la HD devait coûté moins cher que la peloche. C'est du vol pur et simple. Les effets spéciaux sont nuls. Putain l'explosion de la maison (gros comme une maison d'ailleurs) ... mais c'est impossible qu'un mec avec un ordi puisse faire aussi raté.

Bon on oublie le scénario écrit avec les pieds. Les héros ne sont jamais mis en valeur comme dans la série. Se sont 2 couillons à la poursuite d'un méchant dealer. Ils comme se sont les héros ils savent tout faire comme des pros. Ricardo à une gonz avec un beau cul, ce qui nous vaut une scène d'amour chiante à mourir, Sonny rame un peu plus mais n'hésite pas à foutre en l'airune opération juste pour foutre son kiki dans la toujours laide Gong Li qui joue comme ses narines. N'importe quoi. Je pensais ne plus voir ce genre de conneries sur grand écran... mais c'est conceptuel je vous dis.
Heureusement qu'ils sont accompagnés de leur équipe dont on ne saura rien. Ils ne sont là que pour se prendre des plombs dans le cul.

Et on oublie la fin dans le terrain vague. Même Nobert Moutier aurait pu réaliser cette scène avec plus de talent ...

Bon reste 2 scènes pas trop mal.
Un méchant qui se prend une grosse bastos dans le buffet lors d'une scène mal réalisée mais néanmoins plaisante.
Et le coup de la flic qui balance son speech avant de plomber un méchant ... excellent...

Oups j'ai oublié de parlé des nazis. Vaut mieux pas ...

En clair, une belle merde qui a coûté la peau du cul. Les aficionados trouveront 300 excuses à cette chiasse...

[Fatalis rex]

Hé bé... Moi qui croyais ma critique hardcore... Un de plus qui n'a pas l'intelligence et la culture cinématographique pour saisir la subtilité de l'expérience expérimentale à expérimenter de Mann (ironie inside). C'est le film du futur, c'est ce qu'il fallait comprendre : on vire tout ce qui n'est pas indispensable, genre un début, une histoire, des personnages et une belle photo, et on ne garde que des coups d'oeil complices de 2 sec "qui en disent long".

Enfin... Bienheureux les simples d'esprit, comme disait l'autre, ils pourront apprécier comme il se doit les CASINO ROYALE et autres TRANSFORMERS à venir.

[F-des-Bois]

Vous craquez là.

[Superfly]

et on ne garde que des coups d'oeil complices de 2 sec "qui en disent long".

Et encore ... ces "moments" qui passent si bien dans le cinéma de Mann sont totalement loupés ici...

Franchement, le premier qui sort (je n'ai pas lu les autres pages) que le film a un pur scénario, que la mise en scène est top, doit être abattu sur place où on le vire du forum. C'est pas possible

[Capricornnoshura]

je suis très heureux de lire les avis de Fatalis et ( surtout !!) Superfly, auxquels je me rallie immédiatement.

J'avoue qu'après avoir vu les 2 flics amis-amis cet été, je n'avais pas eu envie ( oser ?) de poster ici un avis sur ce film, complètement estomaqué par le triomphe critique l'entourant...

Moi j'ai detesté, trouvé que ça ne ressemblait à rien ( ce qui est à la fois sa plus grande qualité et son défaut le plus rédhibitoire) et pour l'intégralité des raisons posés par Fly.

Le film m'a fait tellement halluciner dès son début d'ailleurs, que je dois avouer être sorti au bout d'une demi-heure de projection pour aller demander au projectionniste s'il ne s'etait pas trompé dans l'ordre des bobines( véridique ! ) !!!...

Voilà je rejoins avec plaisir le rang des simples d'esprits

[Fatalis rex]

Pour une critique plus... diplomate, je crois qu'il vaut mieux remonter la mienne

---SPOILERS---

Une vraie déception que ce MIAMI VICE. Le film rentre directement dans le vif du sujet par une ouverture dans une discothèque où nos 2 flics de choc sont en mission. Pourquoi pas ? On s'imagine que les 2 personnages nous seront exposés par la suite... Grave erreur ! Jamais on n'en saura plus sur eux, alors que l'on sera censé trembler pour leur peau tout au long du film. Nous avons là 2 gars visiblement super entraînés à qui on confie les missions les plus dangereuses, mais on ne sait même pas d'où ils sortent ! Nous assisterons en fait aux péripéties de 2 fantômes, sans passé ni avenir, sans grande complicité, pas attachants pour un sou, qui ne cessent de changer d'identité. Dans COLLATERAL, Tom Cruise, dirigé par Mann, parvenait à faire exister un personnage dont on ne savait rien, ce ne sera ici à aucun moment le cas.

Le concept des flics undercover était diablement excitant ; pourtant, ici, on peut dire qu'il est terriblement mal exploité, surprenant de la part de Mann (mais peut-être est-ce du aux déboires du tournage...). On assiste donc aux pires clichés télévisuels (normal pour une adaptation de série TV me dira-t-on, mais tout de même...) ; tout y passe : la première rencontre tendue avec un trafiquant colombien, présenté comme un tortionnaire mais qui ne ferait pas peur à ma grand-mère, le chef du cartel avec ses gros sourcils, la taupe du FBI, l'échange qui tourne mal... Déjà vu dans HEAT, en plus... Mann essaye de donner un cachet réaliste à ses clichés en employant un baratin policier (au passage, les répliques du film sont à pleurer) et en recourrant à une manipulation très technique des armes, mais rien n'y fait : on navigue en pleine série B. Quand arrive les scènes de cul sans aucun intérêt et totalement gratuites, c'est le ponpon.

Pire : la réalisation est à 1000 lieues de ce qu'on est en droit d'attendre du maître. Mann est tombé dans le syndrome 24 HEURES : et vas-y que je fais bouger la caméra, que je décadre subrepticement, que je filme mon action en me planquant derrière une bagnole... Résultat : on a la gerbe au bout de 10 mn et on prie pour qu'il pose sa caméra. Dans certain plans, filmés de nuit, le grain est d'ailleurs épouvantable, digne d'une VHS : des plans aussi dégueulasses dans un film avec ce budget, ça laisse songeur.

Le meilleur pour la fin : la romance improbable entre Sonny Crocket, l'homme qui n'a jamais peur, et l'assistante du chef du cartel. On boit un verre, on baise, on danse (dans cet ordre, de mémoire) et c'est l'amour fou. Evidemment ça met en rogne le chef du cartel... Cliché cliché cliché.

[Manolito]

Pas la peine de faire remonter les vieilles critiques, si tout le monde fait ça, on n'est pas sorti... Et pas la peine de poster cinquante fois pour dire toujours la même chose, surtout sur des sujets faisant déjà des pages et des pages, merci d'avance - je pense à rex et dario, chacun dans leur genre...

[Superfly]

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