Dragonball a écrit :Putain, et après tu critiques les Bronzés !
Ben justement, pour moi CAMPING c'est un peu ce qu'aurait dû être LES BRONZES 3 : on se prend pas la tête, on se tape un délire sans se la raconter, on pose la caméra pour filmer les gags... Bref, rester humble et faire une comédie en bon artisan plutôt que de se la péter et capitaliser sur un succes vieux de 20 ans.
Ben c'est le principe d'une comédie comme celle-là : un étranger (Lanvin) représente le spectateur qui découvre un univers inconnu (le camping). Il y a un fil rouge (la réparation de la bagnole) qui le force à rester sur place et il va de surprise en surprise au rythme des gags. Dubosc, c'est le guide, l'initiateur qui lui fait (nous fait) découvrir l'univers en question.
Les 2 premiers bronzés suivaient aussi ce principe. Lhermitte tenait le rôle du guide dans l'univers inconnu.
Le film se laisse assez bien regarder. J'accroche bien au p'tit numéro de Dubosc, Lanvin fait une tronche pas possible pendant tout le film, ce qui est assez marrant. Mais ce qui me dérange un peu, c'est l'attitude ambigue des auteurs du film, qui un coup se payent méchamment la tête de leur personnages et dans la minute suivante semblent chercher à s'acoquiner avec eux. Ca fait un peu faux-cul. Et puis la fin, quand Lanvin file un boulot à ce gros loser de Dubosc comme on file une cahouette à un singe, je trouve ça douteux.
Après, je vais peut-être chercher un peu loin. C'est pas non plus un film devant lequel il faut trop cogiter.
Fatalis rex a écrit :Ben c'est le principe d'une comédie comme celle-là : un étranger (Lanvin) représente le spectateur qui découvre un univers inconnu (le camping). Il y a un fil rouge (la réparation de la bagnole) qui le force à rester sur place et il va de surprise en surprise au rythme des gags. Dubosc, c'est le guide, l'initiateur qui lui fait (nous fait) découvrir l'univers en question.