Vu apres tout-le-monde grace a Mazon Prime Japan et je rejoins les detracteurs: bouzin.
On sent Roth fan des 70s/80s et visiblement devenu real 1-2 decennie trop tard.
BIlan: Cabin Fever est un mash-up de films de Redneck (coucou a Delivrance) sans jamais reussir a reproduire le cote oppressant limite parano des protagonistes urbains, de contamination--pardon: contaminazione car tres typee all'italianna, lorgnant vers Fulci mais sans jamais retrouver le cote poesie morbide / macabre du maitre, traitant le tout comme un slasher Friday 13th-style a coup de baisouille, de (faux) ados

completement demeures (la party interrompue--WTF), de perigrinations completement a l'ouest, le tout mal joue (puree, le final "emprunte" a Night of the Living Dead, Roth ne doute de rien!)

soupoudrant le tout d'un soupcon de WTF (le gosse qui fait du Kung-Fu

).
Malgre la sincerite du real, ca reste trop cheap, trop n'imp, trop c.n.
Au final, Eli Roth n'aura ete qu'un (sympathique) bourrin, mais une parenthese neanmoins (sa carriere semble faire du sur place depusi un sacre moment).
Cabin Fever: perte de temps / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.