Ben, sans prendre la défense de ce filou de Dinode Laurentiis, j'ai lu que celui ci avait été obligé de mettre peu à peu en avant Schwarzi parce que la préstation de Brigitte Nielsen s'averait de plus en plus catastrophique au fur et à mesure que le tournage avançait !Jérôme a écrit :y avait une itw très drole de Schwarzy dans starfix à l'époque, et il racontait comment de laurentiis l'avait empapaouté en lui disant, viens tourner quelques jours, dans un rôle secondaire (il lui devait un film par contrat, un truc comme çà). Et au final, il s'est retrouvé en tête d'affiche, alors qu'il doit être présent 10/15 minutes à l'écran, montre en main
Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
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comte vonkrolock
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Mais ptain la musique de Morricone
Ennio Moriconne merde !! C'est pas rien
ce fameux refrain, lorsque Schwarzy apprait lors du générique
et puis Paul L. Smith (Midnight Express) en babysiter, c'est pas rien non plus 
Modifié en dernier par comte vonkrolock le lun. juil. 02, 2007 6:56 pm, modifié 1 fois.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Mmouais... enfin, il n'y a que ça dans la musique de "Kalidor". Et puis Morricone a été infiniment plus inspiré. Il suffit de réécouter "Le bon la brute et le truand" par exemple.comte vonkrolock a écrit :Mais ptain la musique de MorriconeEnnio Moriconne merde !! C'est pas rien
ce fameux refrain, lorsque Schwarzy apprait lors du générique
![]()
Avec "Kalidor", il se montre paresseux.
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comte vonkrolock
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C'était là grand époque Jabba the Hutt avec tous ces animaux de cie, même dans Star Trek 3, Christopher Lloyd qui jouait le commandant Klingon a l'époque avait un espèce de toutou de l'espace a ces piedsHaribo a écrit :Clair que le thème fait illusion... mais dès qu'on voit la grosse araignée faire une rotation sur elle-même aux côtés de Sandhal Bergman, on verse une fois pour toutes dans les tréfonds du Z.
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Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
Bon... je viens à l'amende. Nouvelle vision de Red Sonja hier soir, pour la première fois en VO, 23 ans après.
Bon ben... en fait je crois que j'ai aimé cette fois-ci
Tout du moins, j'ai un peu mieux fait attention aux véritables héros du film : les décors. Je n'avais pas remarqué" à quelq points les décors de Danilo Donati étaient gigantesques et majestueux
.
C'est là où Fleischer excelle, c'est à mettre en valeur les décors, leur profondeur, leur gigantisme, la précision des détails. Qu'il s'agisse du pont-squelette, de la tour de la première scène, de la forteresse de la reine Gedren, du stade où s'entraine Sonja au début et la statute de l'entrée... les mattes d'Albert Whitlock s'avèrent eux aussi très réussis.
Brigitte Nielsen est athlétique, physique et colle finalement pas si mal que cela au personnage. Malheureusement, elle (comme Schwarzie et Birkenstock bergman) est victime de paralysie faciale. Affublée de dialogues pathétiques et du sidekick gamin insupportable, c'est là où le bâs blesse et met le film par terre. Je crois me souvenir que Fleischer savait dès le début que cela allait mal se dérouler et qu'il passé a du temps à tenter de réécrire le scénario. La majeure partie du budget de 15 millions de $ passa dans des effets spéciaux qui posèrent problème (dont le monstre marin), dans la réouverture des studios romains qui n'avaient pas servi depuis près de 15 ans et qui étaient quasi défectueux. Fleischer était très mécontent du résultat final.. on peut le comprendre, car il est vrai que le film est indéniablement mauvais.
Toutefois, Fleischer possède toujours son flair visuel qui donne de l'épaisseur aux combats en face à face, l'utilisation des extérieurs en plan large afin de renforcer la solitude des héros, même les scènes en intérieur (la bataille contre Brytag) Il y a un sens du spectacle qui font décoller le film à plusieurs reprises. Le combat avec le monstre marin démarre mal. Peu rythmée, pauvre en suspense, il ne prend son essor qu'avec l'arrivée de Kalidor où là le spectacle devient intéressant. On réalise à quel point ce fut difficile à concevoir et à animer en temps réel!
Malheureusement, le scénario est assez pitoyable, le coté comique de Paul Smith avec son tibia géant et Ernie Reyes est hautement nuisible et énervant, à force. Il n'y a guère que la quête sexuelle normative de Sonja qui demeure un aspect intéressant du film.
Bizarrement, même si quelques scènes font peine à voir, les 89 mn furent moins pénibles et rigolardes que lors de ma première vision. C'est vrai que l'aspect bissard est bien présent, mais avec du recul et le métier de Fleischer, la pilule passe beaucoup mieux.
(mais quand, l'araignée
... comment ont-ils pu laisser ce truc au final?)
Bon ben... en fait je crois que j'ai aimé cette fois-ci
C'est là où Fleischer excelle, c'est à mettre en valeur les décors, leur profondeur, leur gigantisme, la précision des détails. Qu'il s'agisse du pont-squelette, de la tour de la première scène, de la forteresse de la reine Gedren, du stade où s'entraine Sonja au début et la statute de l'entrée... les mattes d'Albert Whitlock s'avèrent eux aussi très réussis.
Brigitte Nielsen est athlétique, physique et colle finalement pas si mal que cela au personnage. Malheureusement, elle (comme Schwarzie et Birkenstock bergman) est victime de paralysie faciale. Affublée de dialogues pathétiques et du sidekick gamin insupportable, c'est là où le bâs blesse et met le film par terre. Je crois me souvenir que Fleischer savait dès le début que cela allait mal se dérouler et qu'il passé a du temps à tenter de réécrire le scénario. La majeure partie du budget de 15 millions de $ passa dans des effets spéciaux qui posèrent problème (dont le monstre marin), dans la réouverture des studios romains qui n'avaient pas servi depuis près de 15 ans et qui étaient quasi défectueux. Fleischer était très mécontent du résultat final.. on peut le comprendre, car il est vrai que le film est indéniablement mauvais.
Toutefois, Fleischer possède toujours son flair visuel qui donne de l'épaisseur aux combats en face à face, l'utilisation des extérieurs en plan large afin de renforcer la solitude des héros, même les scènes en intérieur (la bataille contre Brytag) Il y a un sens du spectacle qui font décoller le film à plusieurs reprises. Le combat avec le monstre marin démarre mal. Peu rythmée, pauvre en suspense, il ne prend son essor qu'avec l'arrivée de Kalidor où là le spectacle devient intéressant. On réalise à quel point ce fut difficile à concevoir et à animer en temps réel!
Malheureusement, le scénario est assez pitoyable, le coté comique de Paul Smith avec son tibia géant et Ernie Reyes est hautement nuisible et énervant, à force. Il n'y a guère que la quête sexuelle normative de Sonja qui demeure un aspect intéressant du film.
Bizarrement, même si quelques scènes font peine à voir, les 89 mn furent moins pénibles et rigolardes que lors de ma première vision. C'est vrai que l'aspect bissard est bien présent, mais avec du recul et le métier de Fleischer, la pilule passe beaucoup mieux.
(mais quand, l'araignée
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
Un bien curieux projet que ce "Kalidor". Peut-être De Laurentiis cherchait-il à éviter de renouer avec le "réalisme" des deux Conan pour refaire un gros délire Comic Books dans le style de ses productions du type "Barbarella", "Danger Diabolik" ou "Flash Gordon" ?
Néanmoins, l'échec est patent, la faute à un scénario qui s'est apparemment égaré quelque part entre deux plateaux de cinecitta, d'un montage absurde, qui sent le bricolage de dernière minute à tous les niveaux (effectivement, le prologue complètement plaqué en est un bon exemple). Et la pauvre Nielsen, complètement atone, au regard bovin, ânonnant son texte comme sous hypnose !
Et pourtant, "Kalidor" reste le film de deux génies, deux des plus grands artisans du cinéma italien : le décorateur Danielo Donati bien sûr, qui multiplie les inventions époustouflantes, les trouvailles délirantes dont ce décorateur de "caligula" ou "flash gordon" a le secret ; et aussi l'immense chef opérateur Giuseppe Rotunno. Quand bien même on brasse le vide et l'absurdité, ce tandem ayant collaboré avec Fellini de la fin des années 60 aux années 70, fait de "kalidor" un livre d'images délirants et sublimes. On se surprend alors à retrouver des ambiances évoquant "Casanova" (le palais en ruines du petit roi, avec la main géante), "Roma" (la grotte inondée), ou de "satyricon" (la forteresse de la méchante reine) - ou encore des costumes dans le style de ceux que Donati signa pour Pasolini dans "Les contes de Canterbury"... Bref, c'est un régal pour les yeux... Même si l'esprit, lui, a du mal devant ces rebondissement mous, cet humour au ras des pâquerettes, ces scènes d'action incroyablement molles (on a peine à croire qu'elles soient le fruit de la collaboration de Vic Armstrong et Richard Fleischer)... Bref, d'un côté, c'est un ratage quasi-total. D'un autre, c'est un film visuellement exceptionnel, indispensable à voir pour tout amateur de "grand" cinéma italien ! Tout le paradoxe de ce "Kalidor" !
Vu sur le dvd Warner zone 1, vraiment pas exceptionnel au niveau de la copie (parfois très granuleuses, un peu sombre, avec un léger souci de fixité sensible durant tout le métrage), mais qui a le mérite de restituer assez proprement et naturellement le raffinement du visuel de "Kalidor"...
Néanmoins, l'échec est patent, la faute à un scénario qui s'est apparemment égaré quelque part entre deux plateaux de cinecitta, d'un montage absurde, qui sent le bricolage de dernière minute à tous les niveaux (effectivement, le prologue complètement plaqué en est un bon exemple). Et la pauvre Nielsen, complètement atone, au regard bovin, ânonnant son texte comme sous hypnose !
Et pourtant, "Kalidor" reste le film de deux génies, deux des plus grands artisans du cinéma italien : le décorateur Danielo Donati bien sûr, qui multiplie les inventions époustouflantes, les trouvailles délirantes dont ce décorateur de "caligula" ou "flash gordon" a le secret ; et aussi l'immense chef opérateur Giuseppe Rotunno. Quand bien même on brasse le vide et l'absurdité, ce tandem ayant collaboré avec Fellini de la fin des années 60 aux années 70, fait de "kalidor" un livre d'images délirants et sublimes. On se surprend alors à retrouver des ambiances évoquant "Casanova" (le palais en ruines du petit roi, avec la main géante), "Roma" (la grotte inondée), ou de "satyricon" (la forteresse de la méchante reine) - ou encore des costumes dans le style de ceux que Donati signa pour Pasolini dans "Les contes de Canterbury"... Bref, c'est un régal pour les yeux... Même si l'esprit, lui, a du mal devant ces rebondissement mous, cet humour au ras des pâquerettes, ces scènes d'action incroyablement molles (on a peine à croire qu'elles soient le fruit de la collaboration de Vic Armstrong et Richard Fleischer)... Bref, d'un côté, c'est un ratage quasi-total. D'un autre, c'est un film visuellement exceptionnel, indispensable à voir pour tout amateur de "grand" cinéma italien ! Tout le paradoxe de ce "Kalidor" !
Vu sur le dvd Warner zone 1, vraiment pas exceptionnel au niveau de la copie (parfois très granuleuses, un peu sombre, avec un léger souci de fixité sensible durant tout le métrage), mais qui a le mérite de restituer assez proprement et naturellement le raffinement du visuel de "Kalidor"...
- Jérôme
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Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
BR chez Studio canal le 27 avril, avec un petit bonus fait par bibi 
Sa place est dans un Blu-Ray !
- RobertoTobias
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Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
Le DVD trône dans le bacs à soldes en ce début d'année. Je l'ai acheté juste pour le bonus : l'interview de 50 mn de Richard Fleisher. Sinon plus aucun souvenir du film. Mais l'association Fleisher / Morricone / Schwarzenegger ne peut pas être si nulle que ça 
- Jérôme
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Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
une intw très mal montée de fleischer avec des cartons pour les questions mais à de nombreuses reprises on ne sait pas de quel film il parle, il faut attendre quelques longues secondes avant de se dire "ah, il parle de kirk douglas, là, donc c'est les Vikings qu'il évoque..."
Et pas un mot sur conan ou Kalidor dans cette itw
Et pas un mot sur conan ou Kalidor dans cette itw
Sa place est dans un Blu-Ray !
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comte vonkrolock
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Re: Kalidor la légende du talisman (1985) de Richard Fleischer
Attention l'interview qu'il donne dans ce DVD C+ de Kalidor est plus une review générale de sa longue carrier dans le cinéma, Conan le Destructeur et Kalidor étant très mineur dans sa filmo. Elle est pas mauvaise en soit, mais s'est vrai que pour des personnes qui ne connaisse pas le personnage, y a de fort chance d'être perdue en court. C'est pas le top du montage documentaire, mais c'est pas non plus catastrophique...Jérôme a écrit :une intw très mal montée de fleischer avec des cartons pour les questions mais à de nombreuses reprises on ne sait pas de quel film il parle, il faut attendre quelques longues secondes avant de se dire "ah, il parle de kirk douglas, là, donc c'est les Vikings qu'il évoque..."![]()
Et pas un mot sur conan ou Kalidor dans cette itw
Mais dis donc Jêrome, comme Kalidor c'est pas un film sur lequel j'irais me jeter dessus en HD. Est ce que le nouveau bonus vaut le coup d'œil. Apporte-t-il des réponses sur ce Conan 3bis qu'on sens que Schwarzy a du faire pour cause de contrat plus que pour réellement apporté quekchose au genre ou a sa carrière ??
La birgitte Nielsen a l'air perdu même s'y pour un premier film elle s'en sort honorablement. Et puis aussi pourquoi Sandahl Bergman n'a telle pas été choisi pour jouer le rôle, alors qu'elle joue dans se film ???
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