Hostel 2 - Eli Roth (2006)

Science-Fiction, Horreur, Epouvante, Merveilleux, Heroic Fantasy et tout le toutim du Fantastique !

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Dragonball
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Message par Dragonball »

Une excellente surprise.

Attention spoilers.

Si Hostel 2 est loin d'être un chef d'oeuvre, il s'avère cependant être un excellent complément au premier film, qui exploitait parésseusement un script pourtant à la base intéréssant et s'averait surtout extremement décevant tant sur la forme (Des scènes soit disant choques ridicules et se limitant en gros à 2/3 coup de perceuses) que sur le fond (Le néant absolue mise à part une ou deux scènes).
Fort heureusement, Hostel 2, contraitement au premier, choisit de creuser plus en profondeur son sujet et d'en exploiter enfin toute la perversité.
Si le film commence assez mal, faisant le lien de manière assez artificielle avec le premier film puis récyclant toute sa première partie, la suite s'avère heureusement beaucoup plus satisfainte.
Tout d'abord, les protagonistes du film sont beaucoup plus travaillé que dans le premier. Exit donc les abrutis obsédé sexuel et fumeur de joint, les protagonistes d'Hostel 2, eux (Ou plutôt elles !), bien qu'encore assez ancré dans les clichés Hollywodiens habituels (Une jolie fille plutôt chaste, une sympathique chaudasse et un boudin névrosé) sont cependant beaucoup plus humains et attachants que les débiles du premier film. Résultat logique, on s'intéresse beaucoup plus à leur histoire et l'impacte des scènes, des scènes par ailleurs ici souvent gore et bien vicieuse, dont un magnifique (Oui magnifique !) hommage au mythe de la comtesse Bathory, probablement la meilleur scène du film, s’en trouve grandement renforcé.
Niveau caméo, c'est aussi très sympa. Si celui d'Edwige Fenech s'avère assez anecdotique, celui de Ruggero Deodato est par contre assez savoureux ! :D
L'humour noir est très présent dans le film, ce qui s'avère être à la fois une bonne chose, et une mauvaise. Une bonne parce que ces touches humoristiques fonctionnent plutôt bien, une mauvaise parce celles ci font régulièrement retomber la tension du film.
Mais là ou Hostel 2 prend véritablement de la consistance, c'est dans sa description minutieuse d'Elite Hunting et de sa clientèle, composé essentiellement d'homme d'affaires propre sur eux, mais aussi de papys gateaux et même de femmes ! La séquence des enchères est à ce niveau particulièrement réussis, de même que la descriptions des 2 principaux clientients de l'Agence. Idem pour celle du centre de torture, très organisé, fourmillant d'hommes de main, certes parfois patibulaire, mais ayant souvent le look du brave O.S d'une usine quelconque. Et cet aspect organisé d'Hostel 2 fait froid dans le dos. Nous ne sommes plus ici dans l'organisation assez amateur de chasse à l'homme pour une poignée de blaireaux comme c'était le cas dans "Chasse à l'homme" ou encore dans "La main droite du diable", mais dans l'édification d'une structure commerciale comme une autre, avec son PDG, son département marketing, ses employés, et même ses ventes flash ! :shock:
Une entreprise qui a celà de spéciale qu'elle vends des êtres humains, une entreprise, qui, si elle n'existe heureusement probablement pas encore dans la réalité sous cette forme extrème, fait cependantt déjà partie du paysage crimminels actuel (Réseaux de prostitution).
Les victimes ne sont de plus ici des paumés, comme c'était le cas généralement dans les films qui traitaient de ce sujet, mais des petits jeune sympa, au comportement plutôt standard ne flattant pas ici nos éventuelles pulsions réactionnaires ! :twisted: :D

Bref, Hostel 2 s'avère un film très intéressant et beaucoup plus réfléchi que le premier, et si, comme je l'ai dit Eli Roth choisit de parsemé son film de touche humoristiques qui éloigne Hostel des Rapes and revenge et autre trip trash italien et américain des années 70, celles ci donnent par contre au film un côté Bande déssinée assez appréciable et Roth justifie enfin ses postures de geeks par ses quelques scènes référentielles bien senties, dont deux scènes assez marrante, rappellant respectivement Cannibal Ferox et Street Trash.

Dragonball approved. 8)
Defest
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Message par Defest »

Une suite excellente qui comblera tous les fans du 1er "chapitre" et une partie des Hostel-sceptiques!

Passé un prélude astucieux (et gore!) résumant brièvement les évènements d'Hostel 1 et clôturant définitivement la première histoire on se retrouve face à un genre de remake du 1er volet avec cette fois ci, comme tout le monde le sait donc, 3 nanas au lieu de 3 gars.

Hostel part 2 (la classe comme titre) est un genre d'über-hostel reprenant et développant toutes les bonnes idées du 1er film et dégageant quasiment toutes les séquences chiantes (le pseudo cul cheap et pas sexy noyé dans l'humour pas drôle).

Très rythmé, Hostel 2 enchaîne un nombre incroyable d'idées excellentes et de retournements de situations jubilatoires.

Le casting est savoureux, avec une mention spéciale pour Richard Burgi monumental :shock: (cf. la scène de la prise électrique, la meilleur du film selon moi)
Image

à voir ce que la suite de 2007 nous reserve mais pour l'instant Hostel 2 est clairement LA sortie ciné horreur de l'année.

à ne pas louper !

PS à Dragonball: ou est ce que tu as vu une reference à street trash ?
Dragonball
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Message par Dragonball »

Attention gros spoilers.
Defest a écrit : Le casting est savoureux, avec une mention spéciale pour Richard Burgi monumental :shock: (cf. la scène de la prise électrique, la meilleur du film selon moi)
Ah mais justement, c'est quand même ça qui est un peu problématique dans Hostel 2 !
Le premier était constitué d'environ une heure d'humour encore plus lourding que dans American Pie avant que les "choses" sérieuses ne commencent. Là, la première partie est assez sérieuses, voir même angoissante (c.f la scène dans le train assez tendue) puis quand les choses sérieuses sont censé arriver, les blagues commencent à fuser ! )8
Alors, je vais pas gueuler parce que moi aussi, ça m'a bien fait marrer (Comme l'ensemble des spectateurs) mais bon, comme je l'ai dit, c'est tout de même dommage parce que ça désamorce vraiment beaucoup toute la tension qu'il y aurait pû avoir dans le film.
Defest a écrit :PS à Dragonball: ou est ce que tu as vu une reference à street trash ?
Tout à la fin, lorsque les gamins jouent avec la tête de la fille. ça m'a fait penser à la scène ou les clodos font une partie de foot avec la bite d'un mec dans "Street Trash".
Defest
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Message par Defest »

rectification!

SPOILER:
en fait que je parle de la scene de la "prise éléctrique" c'est pas specialement le gag en lui meme (quand la disqueuse se debranche) mais plutot juste apres quand Burgi hilare (et avec un regard de dément!) sort à la nana "Tu devrais voir ta tête", on atteind un sumum de folie et d'humour noir suivi en plus d'un retournement de situation inattendu et superbement interpreté.

Du grand art.
END SPOILER
mercredi
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Message par mercredi »

SPOILERS, SPOILERS
Je n’ai rien à ajouter aux excellentes analyses de Dragonball et Defest, si ce n’est quelques petits bémols.
Mieux réalisé, davantage construit, “Hostel 2” s’avère a priori bien supérieur au précédent opus. Néanmoins, à y regarder de plus près, cette séquelle s’écarte légèrement du postulat pourtant fort audacieux qui, selon moi, faisait la force d’ “Hostel”. Le premier film tendait à dénoncer la suffisance des pays riches à l’égard des nations pauvres dont la “valeur” se trouve ici niée au point d’en justifier une présumée neutralité éthique, voire judiciaire. Sans intérêt pour les contrées dont sont originaires nos jeunes touristes, la Slovaquie constitue un idéal “terrain d’entraînement” sexuel (enterrement de vie de garçon symbolique). Partant d’une logique similaire, les riches “bourreaux” exploitent ce qu’ils redéfinissent comme une espèce de no man’s land en vue de laisser libre cours à leurs pulsions meurtrières. Deux perspectives identiques pour un renversement somme toute logique. Le jeu d’écho consacre la réflexivité des dits points de vue afin d’envisager les hommes d’affaire comme de probables synecdoques de la culture occidentale. “Hostel 2” déséquilibre cette dynamique en accordant trop d’importance au deuxième terme. À la différence des crétins complètement incultes qui réduisaient la Slovaquie à de belles paires de jambes, les héroïnes possèdent une “certaine” (on confondra tout de même Slovaquie et Kosovo) culture (étudiantes en Art...), paraissent plus sages (au moins une), plus matures... Point de réelle mainmise culturelle ici. De fait, le pays retrouve une once (c’est déjà ça) d’identité (fête traditionnelle) pour prendre consistance. En cela, la séquelle décide de fustiger cette croyance, prégnante chez nous, au “tout pouvoir” de l’argent, y compris moral. Échapper aux conséquences castratrices du matriarcat implique une mise à mort symbolique de l’Épouse. Une fois de plus, notre société s’observe, s’analyse, se complaît au sein d’une hypocrite car forcément partielle autocritique dont l’originalité force le respect: “l’argent donne tous les pouvoirs, y compris celui de tuer et c’est pas bien” explique le cinéaste au spectateur lambda bien rassuré de ne pouvoir se reconnaître dans ces bourreaux fortunés.
Dragonball
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Message par Dragonball »

Spoilers.
mercredi a écrit :En cela, la séquelle décide de fustiger cette croyance, prégnante chez nous, au “tout pouvoir” de l’argent, y compris moral. Échapper aux conséquences castratrices du matriarcat implique une mise à mort symbolique de l’Épouse. Une fois de plus, notre société s’observe, s’analyse, se complaît au sein d’une hypocrite car forcément partielle autocritique dont l’originalité force le respect: “l’argent donne tous les pouvoirs, y compris celui de tuer et c’est pas bien” explique le cinéaste au spectateur lambda bien rassuré de ne pouvoir se reconnaître dans ces bourreaux fortunés.
Hum, en fait, je crois que c'est beaucoup plus pervers que ça et c'est là ou le film fait fort.

Car si la fille s'en sort à la fin, ce n'est pas finalerment grâce à son courage, ni grâce à sa tenacité, mais parce qu'elle s'avère plus fortuné que son bourreau et tout aussi cruelle. Ce n'est pas la justice qui triomphe à la fin d'Hostel 2, mais finalement les lois de l'ultra liberalisme, au sein duquel l'être humain devient lui même une marchandise quelconque (Elle négocie d'ailleurs directement sa vie avec le Boss d'Elite Hunting), et les principes qui sous tendent cette idéologie : Argent, violence, ammoralité.
Si elle n'avait pas été une riche héritière, elle ne s'en serait pas sortie.C'est avant tout sa fortune qui la sauve.

Et si en effet on peut difficilement se reconnaitre dans les bourreaux, difficile de ne pas ressentir une certaine jouissance face à cette jeune héritière retournant la situation à son avantage alors qu'on la croyait perdue et se montrant encore plus vicieuse que son pathétique bourreau, psychopathe minable et endetté à cause de sa maison et de ses gosses ! (Le truc de beauf typique !)

Et qu'on ne s'y trompe pas, même si on peut comprendre son geste par l'instinct de survie, elle porte aujourd'hui le tatouage d'Elite Hunting, désormais, elle est des leurs, et pourtant, on l'admire ! :twisted:
mercredi
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Message par mercredi »

Dragonball a écrit :Spoilers.
Hum, en fait, je crois que c'est beaucoup plus pervers que ça et c'est là ou le film fait fort.

Car si la fille s'en sort à la fin, ce n'est pas finalerment grâce à son courage, ni grâce à sa tenacité, mais parce qu'elle s'avère plus fortuné que son bourreau et tout aussi cruelle. Ce n'est pas la justice qui triomphe à la fin d'Hostel 2, mais finalement les lois de l'ultra liberalisme, au sein duquel l'être humain devient lui même une marchandise quelconque (Elle négocie d'ailleurs directement sa vie avec le Boss d'Elite Hunting), et les principes qui sous tendent cette idéologie : Argent, violence, ammoralité.
Si elle n'avait pas été une riche héritière, elle ne s'en serait pas sortie.C'est avant tout sa fortune qui la sauve.
Justement, Dragonball, cette critique de l'ultra libéralisme me paraît bien facile, voire convenue (version laique de l'idéologie judéo chrétienne qui fonde nos sociétés). CULPABILITÉ des nations riches envers leurs homologues "pauvres", voilà un sentiment, fort naturel d'ailleurs, vulgarisé par maintes et maintes métrages, quitte à se faire dorénavant consensuel. En revanche, le dénie culturel, réel de nos jours, demeure encore tabou (peut-être parce que le spectateur serait ici contraint de SE remettre en cause personnellement). Au final, le cinéaste soutient implicitement (et certainement de manière inconsciente) le système de valeur auquel Hostel 2 tendait à s'opposer. Insister sur l'asservissement économique au détriment du "culturel" revient à accorder plus d'importance au premier et donc à le légitimer (comme "moteur" du monde).
Dragonball
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Message par Dragonball »

mercredi a écrit :Au final, le cinéaste soutient implicitement (et certainement de manière inconsciente) le système de valeur auquel Hostel 2 tendait à s'opposer. Insister sur l'asservissement économique au détriment du "culturel" revient à accorder plus d'importance au premier et donc à le légitimer (comme "moteur" du monde).
Oui, c'est ce que je pense aussi, et c'est ce qui fait l'originalité du film et je pense aussi, comme toi, que c'est assez inconscient de la part d'Eli Roth. Enfin bon, ça m'aurait aussi étonné qu'il soit marxiste celui là ! :D
Le monde d'Hostel 2 pousse la logique de la loi de la jungle jusqu'a son maximun. Si les bourreaux ne sont pas assez armer pour l'expérience qu'ils désirent eux même tenter, si ils n'ont pas à la fois le pouvoir financier, la dertermination (On le voit avec le personnage interprété par Richard Burgi) et la cruauté nécéssaire, les mécanismes réagissant cette entreprise de mort peuvent très rapidement se retourner contre eux.
celia0
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Message par celia0 »

J'hallucine déjà de lire un texte gentil de dragonball sur un film d'eli roth :D

PS: au risque de passer pour un inculte, que signifie "synecdoques " ?
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
Allan Theo
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Message par Allan Theo »

celia0 a écrit :PS: au risque de passer pour un inculte, que signifie "synecdoques " ?
Cela veut dire "qui mange son caca"
"Comme disait mon ami Richard Nixon, mieux vaut une petite tâche sur la conscience qu'une grosse sur l'honneur. Allez en vous remerciant bonsoir."
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Message par Defest »

hé! qui c'est qui a dégagé ma photo d'Eli Roth !? :evil:
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Message par Dragonball »

Ah oui, est il besoin de préciser que c'était pas son vrai zizi ? )8 :mrgreen:
celia0 a écrit :J'hallucine déjà de lire un texte gentil de dragonball sur un film d'eli roth :D
Ah ben il a enfin fini sa puberté, ça se fête quand même ! :D

Quoiqu'il faut a mon avisil faut quand même toujours éviter de lire ses ITW ! :D
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Message par infernalia »

Allan Theo a écrit :
celia0 a écrit :PS: au risque de passer pour un inculte, que signifie "synecdoques " ?
Cela veut dire "qui mange son caca"
La synecdoque, c'est la "partie pour le tout"... en gros si je parle de ton pied pour te definir, ou d'une voile pour parler d'un bateau, j'utilise une synecdoque. Donc, ici c'est visiblement l'homme d'affaire utilisé pour stigmatiser la culture occidentale.
Et un synecdocophage est en revanche un mangeur de synecdoques, ce que je suis parfois :wink:
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Message par Dragonball »

infernalia a écrit : La synecdoque, c'est la "partie pour le tout"... en gros si je parle de ton pied pour te definir, ou d'une voile pour parler d'un bateau, j'utilise une synecdoque. Donc, ici c'est visiblement l'homme d'affaire utilisé pour stigmatiser la culture occidentale.
Une allégorie, ou encore plus simplement, un symbole donc.

Si j'ai faux dite le moi hein ! :mrgreen:
infernalia
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Message par infernalia »

Dragonball a écrit :
infernalia a écrit : La synecdoque, c'est la "partie pour le tout"... en gros si je parle de ton pied pour te definir, ou d'une voile pour parler d'un bateau, j'utilise une synecdoque. Donc, ici c'est visiblement l'homme d'affaire utilisé pour stigmatiser la culture occidentale.
Une allégorie, ou encore plus simplement, un symbole donc.

Si j'ai faux dite le moi hein ! :mrgreen:
Disons que dans la synecdoque il y a vraiment la notion de "détail" pour définir la "totalité". c'est une figure de style qui peut se rapprocher du symbole. Mais Mercredi a l'air plus précise en définissant "l'homme d'affaires" comme un élément (le détail) de notre société (le tout)... Maintenant en ce qui concerne Hostel II, je ne l'ai pas vu, alors...
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